Walter Armstrong
RPGFeuille de personnageAge: 22Niveau: 4e année MaestriaBaguette Magique: 29,5 cm, bois de tilleul argenté, coeur de poussière de fantôme
| Sujet: I've slept so long without you [Instant-RP Walter/Zòhra] Sam 31 Jan - 23:39 | |
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Elle n’était nulle part. Ni dans sa chambre, ni dans les couloirs qu’il avait arpenté pendant de longues minutes, l’observatoire était vide, les salles de classe aussi. Il fallait qu’il la trouve, le plus vite possible. Il ne pouvait tout simplement plus être séparé d’elle plus longtemps. La distance était douloureuse, plus que jamais éveillée par cette envie qu’il avait de changer les choses. Il avait été au bord du gouffre pendant si longtemps. Maintenant qu’il s’était ouvert les yeux, il avait besoin d’elle. De son amour, de son support, de ses beaux yeux.
C’est donc dans un espoir désespéré qu’il se retrouve au parc, l’extérieur l’accueillant d’épaisses gouttes de pluie qui vinrent vite noyer le haut de sa chemise et ses cheveux. Il passe sa main dans ceux-ci, grogne de frustration puis, le regard attentif, se promène sur le terrain.
« Zòhra! Zòhra, where are you? Please! », crie-t-il, réprimant difficilement une envie de pleurer dans sa gorge.
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La pluie lui tombe dessus depuis un moment, a déjà détrempé ses vêtements, mais elle en avait besoin. C'était ça ou tomber dans la bouteille encore, comme sa mère qui s'y était si promptement jetée en perdant son mari, tout en mélangeant les médicaments et en se laissant sombrer dans la folie. Alors la blonde avait fui. Sa chambre, les murs de l'école et s'était retrouvée dans le parc en pleine pluie, assise sur un banc de pierre.
Sa force d'habitude présente, ne cédant qu'en de rares occasion l'abandonne aussi de plus en plus fréquemment, laissant Zòhra en proie à ses pensées et la solitude qui la transperce. Assise, elle regarde dans le vide, légèrement penchée tout en s'appuyant de ses mains sur la pierre du banc.
Puis une voix, qui la cherche et qui l'implore. Qui lui donne autant envie de se lever d'un bond que de partir pour contenir les aiguilles qui la transperce. Peut-être qu'elle hallucine sa voix, maintenant? Telle mère, telle fille, hein. Mais c'est plus fort qu'elle, la blonde se retourne et le voit qui la cherche. Reprends-toi Zòhra, il a surement besoin de toi, ravale la douleur aigre.
"Walter? What's going on?" demande-t-elle inquiète, comme si c'était tout à fait normal qu'il la retrouve transie sous la pluie.
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La voix lui caresse la tête, l’enlace et le berce. L’entendre dire son nom éveille en lui ces souvenirs d’avant, ces soirées à discuter, ses mains sur sa nuque, se lèvres sur son menton. Il se tourne tout de suite vers la source de ces quelques mots et la voit assise sur le banc de pierre. Seule, trempée de la tête au pied, la voix tordue d’inquiétude et d’amertume. Il faut qu’il fasse quelque chose, qu’il se rachète à tout prix. Le noiraud se mordille les lèvres, rendu hésitant par l’appréhension, puis se dirige d’un pas stable vers la Slave. Le cœur battant à tout rompre.
Il est à ses côtés. Finalement. Il reste debout un instant puis s’accroupit à ses côtés, son regard bleu-gris se fixant contre celui de la jeune femme. Sa main se tend vers elle, mais hésite… Puis se pose contre son genou, lui implorant clémence.
« We need to talk… I… I can’t let this go on. », peine-t-il à dire, la gorge serrée et l'air presque pitoyable.
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Zòhra le regarde arriver et le laisse poser une main sur son genou, allant même jusqu'à la serrer dans la sienne, ravalant la rancœur pour laisser place au soutien. Et ce qu'il dit, sur ce ton fébrile lui envoie une vague d'inquiétude, s'attendant de suite à se faire quitter, à sentir la rage de s'être tant donné lui éclater le cœur.
"What do you mean? Y-you're not..." breaking up, right? Était ce qu'elle avait voulu dire, mais sa gorgée s'était violemment serrée à l'idée de concrétiser l'éventuel. Enfin, rompre était un grand mot, vu qu'ils ne s'étaient pas officiellement comptés en couple un jour, l'incident de la possession ayant mis un frein - peut-être définitif selon ce qu'elle le croyait vouloir dire - à cette annonce.
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« God, no. Don’t think that for a moment », dit-il directement à la suite des paroles soufflées par Zòhra, son autre main venant tout de suite rejoindre sa joue pour la caresser de son pouce.
C’était si doux, sentir sa peau sous la sienne. Ça faisait tellement longtemps. Et il s’en voulait de ne pas s’être réveillé plus tôt, de ne pas avoir entendu ses supplications à elle. Assourdi par ses remords et son envie de mourir. Le jeune homme reste silencieux un instant, tente de garder son calme malgré cette tempête désespérée et navrée qui rugit en lui. Et cette pluie qui s’alourdit autour d’eux. Il voudrait la prendre contre lui, mais il n’ose pas. Peur qu’elle le rejette. Qu’au fond, elle en aille eut assez.
« I’ve let you slip away and I can’t stand it. »
La voix grave se brise, un sanglot étouffé jaillit de sa gorge et ses yeux s’emplissent soudainement de larmes... Les images de cette nuit-là l’attaquent violemment. Le sang, les cris, la douleur, sa bouche hideuse agressant la peau de la blonde. Son torse subit le brasier des remords une énième fois alors qu’il se secoue en sanglots, réussissant malgré tout à reprendre un discours éloquent.
« I can’t do this on my own. I can’t fight this by myself, but I’m determined to try my best. I can’t let myself die anymore and I’m so sorry it took me so long to realize it. »
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Il parle, pleure, la regarde, avec ces yeux gris qu'elle aime du fond de son être. Et elle pleure aussi, les larmes chaudes offrant un contraste sur ses joues déjà trempées et refroidies par la pluie. Les pensées s'affrontait dans sa tête, son être entier sentait une joie revenir après longtemps, mais ressentait aussi une colère la ravager. C'est pour ça qu'elle ne se permet pas d'avoir d'émotion, parce que quand elle se le permet, trop sortent en même temps, c'est le foutoir ces choses-là.
Elle se lève, fait un ou deux pas de côté et s'éloigne un peu de Walter, à court de mots, ou plutôt en train de s'étouffer avec tous ceux qui veulent sortir en plus des sanglots. Il revenait maintenant, s'excusait et puis quoi? Elle devrait seulement oublier les mois à pleurer, à s'en vouloir et à lui en vouloir? Tout accepter comme d'habitude et se permettre d'y repenser seulement quand personne ne serait autour. Ça changerait quoi?
Passant ses mains dans son visage, elle sent l'explosion, d'un coup, apparemment une émotion en particulier a gagné, fait sa place parmi toutes les autres et la slave lâche brusquement son visage, tout d'abord impassible jusqu'à ce que les mots sortent, son accent remontant sous la colère.
"Yeah, it took you a really long time, didn't it? I've waited so long to hear you say that, so long it broke me! I paid in solitude for saving you. I finally stepped up, saved someone I love and that STILL left me ALONE!" Elle marque une pause pour laisser échapper ce sanglot qui lui frappe la gorge et ajoute. "I saw you, pity yourself, hate yourself while I was in pain, trying to help you the minute I came back here."
Puis deux ou trois injures en russes, de la rage, de la tristesse, traduite dans sa langue natale, le plus naturellement du monde. Elle n'a rien su faire, ni le sortir de sa torpeur, ni le sauver comme il fallait. Elle s'en veut autant qu'elle lui en veut.
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Elle se lève de sous ses doigts, installe entre eux la distance qu’il redoute, celle qu’il a créé, tant par sa faute que par celle du démon. Ses doigts lui semblent froids, glacés alors qu’il ne trouve rien d’autre à faire qu’enlacer ses genoux de ses bras, toujours accroupi, voire recroquevillé. Ses paupières se ferment alors qu’il tente, au meilleur de ses capacités, de garder son propre calme qui lui a échappé un peu plus tôt. L’heure n’est plus aux larmes et aux remords mais c’est plus fort que lui. S’il n’avait pas cette malédiction. S’il avait verrouillé la porte du labyrinthe derrière lui. S’il n’avait pas noyé sa honte dans l’alcool et la solitude.
Les paroles de la Slave se jettent sur lui comme un venin acide et fatal. Lui brûlent la peau lui lacèrent la chair. Il en tremble, même. De peine et de révolte tout à la fois. C’en avait été trop pour elle autant que pour lui. Elle se déchaîne, elle laisse ces mois de retenue s’échapper subitement. Et lui tente d’endurer, de garder son calme, de ne pas s’indigner. L’Écossais se redresse à son tour et s’approche d’elle de quelques pas. Dans ses yeux se mélangent les mêmes émotions que celles qui font gronder sa belle. La rage, la frustration, la peur et la tristesse.
« I’m sorry! I’m sorry I locked myself up, I’m sorry I didn’t understand what you tried to tell me. I’m sorry I spent the last months drinking and being a pathetic piece of shit. »
Il ravale ses larmes et ses cris. Sa voix tremble, gronde, poussée de haine envers lui-même, envers l’univers.
« I left you alone because I was terrified of what I could do! Because I didn’t want to risk your life a second time. Because I… I didn’t believe I was worth it. And don’t you DARE tell me you would have done something different because you don’t know. You don’t know what it’s like to wake up from that prison and know you almost raped and killed the one and only person you love. »
Il halète. Sentant presque ses nombreuses cicatrices brûler de se souvenir. Il fait un autre pas vers elle. Ses traits brisés de peine et d’un désir de repentance. Il s’en mettrait à genoux s’il n’avait pas si peur qu’elle se sauve.
« But you have every right to be angry, to be frustrated at me. And I… »
Le silence. Sauf la pluie qui tombe doucement. La main de l’Écossais couvre sa bouche alors qu’il combat ses sanglots.
« I’ll understand if you want to leave me. But you have to know that… I – need – you, Zòhra. I need your love. »
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À chaque phrase de Walt, la blonde s'en veut un peu plus. Elle aurait certainement réagit de la même manière, fuit, laissé Walter en se disant qu'il souffrirait moins de la perdre que l'endurer. Elle voudrait lui dire d'arrêter de l'écouter, qu'elle dit des stupidités, qu'elle n'est qu'une sale égoïste de lui en vouloir ainsi.
Pourtant il ajoute quelque chose qui la retient de parler. Qu'elle a le droit d'être en colère. Qu'elle a le droit de ressentir ce qu'elle ressent et elle se sent calmée un peu, rassurée. Il ne lui en veut pas d'être en colère, il ne lui en veut pas de ressentir tout ce torrent d'émotions et soudainement, elle se sent bien plus mélancolique et déçue qu'enragée. Elle s'approche et sa voix s'élève à nouveau, moins comme un fouet, plus comme un fardeau qu'elle se pose à elle-même.
"I need you too Walter. I couldn't leave you, not now, not ever. The nights I cried, I cried longing for you and no one else." Elle s'approche, pose une main sur sa joue. "It's just so frustrating that you couldn't see how much I needed you too, your love and everything about you, all those times I tried showing you. You were so blind, I know, I would've been too." Elle marque une pause, caresse la peau de son Écossais. "Don't go blind again, I beg you, just let me care and love you, please."
Ses dernières paroles sont secouées de sanglots, de peur aussi, que ça réarrive, que le fait qu'elle ait explosé un peu plus tôt renferme à nouveau le noiraud dans son idée qu'elle pourrait un jour le détester.
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La distance qui s’était imposée entre eux lui est à présent insupportable. La rage s’est estompée, la peine s’est calmée pour ne laisser plus que cette douleur d’être loin d’elle. Il veut tellement qu’elle comprenne, qu’elle voit ce qu’il a vu, qu’elle réalise qu’il ne s’est pas éloigné pour la faire souffrir mais pour la protéger de quelque chose d’à la fois terrifiant et dangereux. L’appréhension et le stress lui collent les mains aux côtés du cou alors qu’il la fixe directement, pendu à ses mots qu’elle n’a pas encore prononcés.
Puis les traits de sa belle Slave s’adoucissent alors qu’elle s’approche de lui de quelques pas. Elle se met à parler, le touche, caresse sa peau qui en frissonne de plaisir. Jamais n’avait-il eu si soif de contact humain. Jamais n’avait-il ressenti un pareil élan d’apaisement. Ses propres traits se calment, sa mâchoire carrée se détend et ses yeux, plutôt que pris de frustration, affichent un air profondément désolé. Bien vite, ses propres bras viennent chercher le contact de la blonde, l’un d’entre eux la cueillant au creux des reins alors que l’autre lui enlace le haut du dos, sa main se posant contre sa nuque fine.
« I missed you so much, Zòhra. », dit-il dans un sanglot à son tour alors que son front se presse à celui de la jeune femme. « I won’t let you go. »
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Walter la serre dans ses bras. Il lui arrive exactement ce qu'elle a souhaité chaque fois où la solitude la rattrapait. C'était presque incroyable, si ce n'était de l'odeur de l'Écossais bien présente malgré la pluie, son regard, sa voix. Sa voix qui ne veut plus la laisser partir et qui envoie à la slave une sensation de joie bien présente cette fois. No, you won't. I know you won't. Ses mains viennent se poser sur la nuque du noiraud et elle rapproche un peu plus son front, leur nez se touchant désormais.
"I missed you too Walt. I don't want to leave your arms tonight." murmure-t-elle, finalement apaisée malgré les restes de pleurs dans son intonation.
Leur lèvres sont si proches et en même temps, la belle a peur de pousser ça, veut le laisser se rapprocher plutôt que simplement se pendre à son cou. La blonde veut seulement pouvoir sentir à quel point il l'aime, qu'il ne partira pas.
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Il se sent plein. Pour la première fois en des mois, il sent qu’il est entier, complet. Il n’a plus ce trou béant et atroce dans le torse et dans le ventre, il n’a plus ce désespoir profond qui lui gruge la tête. Zòhra l’a comblé de son corps pressé contre le sien, de son nez qui effleure le bout du sien. Les lèvres du noiraud sont entrouvertes, son être s’abreuve d’elle, totalement. De l’odeur de ses cheveux et de ses larmes à son corps chaleureusement appuyé sur le sien, en passant par la sensation de sa nuque moite sous ses doigts.
Puis ses lèvres glissent. D’abord timidement, explorant la commissure des lèvres de la Slave d’un court baiser. Il ouvre les yeux une autre fois, croise le regard de la jeune femme alors que sa main glisse de son cou à sa mâchoire. Il en suit le tracé de l’os du bord du pouce puis finalement, détruit ce qui restait de distance entre eux. Ses lèvres se pressent contre celles de Zòhra avec l’avidité de celui qui n’a pas eu d’eau fraîche depuis des mois. Ses lèvres et sa langue arides s’hydratent d’elle alors que le baiser persiste, s’approfondit, dicté par tout cet amour qu’il s’est empêché d’exprimer. Le Todhchai en pousse une plaine sourde, gorgée de satisfaction et d’apaisement.
Il voudrait lui dire qu’il l’aime. Seulement ses lèvres ne veulent tout simplement pas s’arrêter. Il les laisse donc parler à sa place, dans l’espoir qu’elle comprenne, qu’elle le sente.
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Zòhra se laisse porter par le baiser, l'une de ses mains descend contre l'une des omoplates de Walter alors que l'autre monte s'enfouir dans ses cheveux et elle se presse contre lui, veut sentir chaque parcelle de son corps contre le sien alors que la pluie commence à se déchaîner. Elle soupire contre les lèvres et la langue de l'Écossais, heureuse de le retrouver, de le ravoir auprès d'elle.
Néanmoins son corps est bientôt parcouru d'un grand frisson, le froid de la pluie la rattrapant enfin, mais elle refuse de briser le baiser. Il l'aime bien plus que tous les mots qu'il aurait pu dire à ce moment et rien que pour ça, la peau de la blonde refuse de céder au froid.
Jusqu'à ce ne soit plus possible et qu'elle se recule, tremblant contre le beau Todchai, le regardant de ses yeux maintenant brillants de bonheur plutôt que de larmes. "Walter, I-I'm..." un autre frisson et elle mord sa lèvre inférieure, car elle veut encore l'embrasser fiévreusement rester contre lui, mais veut aussi rentrer, sentir la chaleur à nouveau.
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Le frisson qui parcoure le corps de la Slave résonne contre ses lèvres et le prend aux nerfs. La pluie n’est pas spécialement froide mais le vent qui souffle vient vite crisper leurs peaux. Pourtant le baiser perdure, gagne en tendresse alors que leurs mains semblent déterminées à ne pas se quitter. Le dos trempé de l’Écossais se couvre de chair de poule. De froid, peut-être, mais également du plaisir qu’il prend à sentir sa belle le toucher. Bien vite, toutefois, celle-ci vient briser l’étreinte de leurs lèvres pour lâcher deux mots. Il ouvre lentement les yeux et lui adresse un sourire, doux et compréhensif.
« Me too. How about we go somewhere? So I can hold you, maybe get warmed up with a glass of whisky, hm? »
Il passe son bras autour de ses épaules puis ajoute, cette fois dans un soupir murmuré :
« And, if you let me, maybe make love to you. »
Il embrasse la jeune femme juste sous l’oreille puis, la tenant toujours près de lui, accueillant son corps contre le sien et sa tête près de son épaule, il se met en marche vers l’université.
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La slave rougit lorsqu'elle entend son soupir. Par envie, mais aussi par gêne. C'est qu'une certaine pudeur s'est réinstallée, ou peut-être une peur de ne pas le satisfaire complètement, du fait qu'elle n'a pas eu une vie sexuelle bien... fournie, avant de le rencontrer, mais elle ne dément rien, parce qu'elle n'est certainement pas contre l'idée de finalement le retrouver comme ça aussi.
Après un moment ils rentrent finalement dans l'école et la jeune femme frissonne du contraste de température, toujours contre lui. Elle s'Arrête un moment et le regarde, sourire aux lèvres.
"Your room or mine?" Une réalisation la prend et elle dit, l'air un peu d'une gamine à noël. "Wow, I haven’t asked that in a long time."
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L’Écossais frotte bien l’épaule de la Slave de sa main lorsqu’ils entrent dans l’université. On y est bien, il fait chaud, l’ambiance y est agréable. Il hésite un instant à sa question, un petit sourire aux lèvres, puis il dit, un petit sourire aux lèvres :
« How about yours? I haven’t been there in so long. Plus, I feel like that’s where we’ll have the least chance of getting interrupted by anyone. »
Il se penche donc vers elle, pose un baiser sur son front et se remet en marche. Il a hâte d’arriver dans sa chambre, d’enlever ses vêtements trempés et de retrouver sa belle sous une couette chaude. |
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