Vladimir Khasar Tchoskov

" La plupart du temps, je ne rigole pas beaucoup. Et le reste du temps je ne rigole pas du tout. "

INFORMATIONS PERSONNELLES

Nom: Khazar Tchoskov

Prénom: Vladimir

Date de naissance: 21 décembre 1959

Lieu de naissance: inconnu

Citoyenneté(s): Russe

Statut Sanguin: inconnu

INFORMATIONS SUR LA BAGUETTE

La Baguette de Vladimir est en ébène. Elle possède un coeur en ventricule de Dragon. Elle mesure 31,75 centimètres et est inflexible. Cette baguette convient très bien aux sorciers anti-conformistes qui ont le courage d'etre eux-meme et assument leur marginalité. C'est la parfaite compagne des individualistes un brin borné.

FORMATION ACADÉMIQUE

École élémentaire: Orphelinat russe très strict.

Résultats des ASPIC:

Métamorphose : Efforts exceptionnels

Astronomie : Acceptable

Potion : Efforts Exceptionnels

Histoire de la magie : Optimal

Sortilège : Optimal

DCFM : Optimal

Arithmancie : Acceptable


Domaine d'études & cours à option choisi: Litriù. Métamorphose avancée.

Année d'Étude en cours: 1ère année : Cognita

Cours Optionnel hors programme: Arithmancie

Aspiration(s) académique(s): Langues de Plombs

Extra-scolaire et implications: x

SITUATION FAMILIALE

Vladimir n'a pas de famille. Il est orphelin. Il a été trouvé tout bébé à la porte d'un orphelinat, en Russie. Pour tout renseignement un petit mot avait été rapidemment gribouillé sur un papier journal, à moitié trempé par la neige qui tombait du ciel en cette période hivernale. "Il est né le jour du solistice d'hiver. Il s'appelle Vladimir Khazar Tchoskov." La femme qui l'avait trouvé là avait réussi à le faire accepter par l'orphelinat, meme si personne n'avait de quoi payer sa place. C'était en quelque sorte la bonne action des gens qui y commandaient. Khazar a toujours été seul dans la vie. Il n'a jamais eu d'amis, de famille. Il était la parfaite illustration de l'expression "seul au monde".

VOTRE PERSONNAGE EN QUELQUES MOTS

Il aime:

• Lire


• Le silence


• Rever


• Ecrire


• La solitude


Et dans ses mauvais jours ...


• Blesser les gens


• Decripter les expressions


• Enerver


• Pousser à bout


• Etre insolent

Il n'aime pas:

• Le bruit


• La compagnie


• Les rires


• Les fetes


• Parler


• Sourire


• Les gens


• Devoir parler de lui


• Les endroits trop fréquentés


• Son ancien orphelinat

Les cinq objets dont votre personnage ne peut pas se passer:

• Sa baguette


• Un poignard


• Une chaine en argent


• Un livre de Tchekhov


• Une sacoche en cuir

DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE

Vladimir a une personnalité très complexe que personne n'a jamais compris. C'est un garçon très sombre, très réservé, il ne parle presque pas, ou alors très peu. Il n'aime pas les gens et est extremement associable. Si bien que les personnes de l'orphelinat étaient persuadés qu'il était autiste. Il passé le plus clair de son temps seul, dans un coin, à écrire, ou à lire des livres d'écrivains de son pays. Bien que cela dépasse toutes les personnes de l'orphelinat, ceux-ci ne venaient que très rarement l'embeter, et préféraient se désinteresser totalement de sa présence. D'autant plus que le garçon ne paraissait pas totalement sain d'esprit. Il avait des phases de méchanceté, de colère, ou son but était de vexer les gens, de les rendre tristes. Il devenait agressif et insolent, ce qui lui avait valu de nombreuses punitions et quelques baffes bien méritées. C'était un personnage très étrange, comme venu d'un autre monde. Il ne semblait pas en phase avec les autres, il ne les comprenait pas. Le Tchoskov ne se rappelait meme plus de la dernière fois qu'il avait sourit et rit, encore moins.

DESCRIPTION PHYSIQUE

Vladimir est ce qu'on pourrait définir comme un beau garçon. Il est grand, a de larges épaules et est bien batit. Il est plutot maigre, mais son allure fière lui donne de la prestance et de la distinction, une grace naturelle. Il a des cheveux très foncés, plutot longs et le plus souvent ébouriffés, car il ne se donne pas la peine de les coiffer. Le garcon a souvent une expression grave collée à son visage fin mais mature, dénué d'expression. Ses yeux sont d'un noir presque effrayant, perçants, légérement en amande. Son nez fin et bien dessiné, ses sourcils idéalement placés, ses paumettes hautes, tout cela contribue à lui donner une sorte d'aura mystérieuse et attirante. Il a également très souvent des méches ébènes qui lui tombent sur le front, lorsqu'il a la tete penché et qu'il lit par exemple. Le jeune homme a l'air un peu sauvage, il posséde un coté félin assez prononcé. De plus, le Khazar porte une chaine d'argent au cou, dont il ne se sépare jamais. Il est le plus souvent habillé avec des vetements simples et passe partout, dans des teintes sombres et mates. Ses vetements contrastent par ailleurs avec son teint d'ivoire, qui lui donne parfois l'air un peu maladif . Toute son apparence est basée sur le contraste entre le noir et le blanc.

HISTOIRE

Vladimir entra dans le vieux wagon, dont les sièges avaient été soigneusement dépiotés. Ce n'était pas un de ses magnifiques trains que l'on trouvaient dans les environs de Moscou. Non, c'était ceux dont plus personne ne prenait la peine de véritablement s'occuper et qui menaient leurs passagers hors de Russie, filant à une vitesse folle, presque inconsciente sur les rails. Le garçon s'assit sur la banquette d'un rouge déteint et observa le paysage qui s'offrait à lui. La vieille gare, qu'il allait quitter. Il n'y reviendrait pas. Il ne reviendrait jamais en Russie. Il y avait ici trop de souvenirs qu'il souhaitait oublier. Vladimir avait été trouvé près d'un orphelinat très renomé pour sa sévérité. Tout y était beaucoup trop strict et les coups de canne dans les tibias y étaient meme autorisés. Le débat avait était immédiat: Allait on garder cet enfant tombé du ciel ? Alors on avait cherché un Khazar Tchoskov ... mais on avait rien trouvé du tout. L'enfant était seul. Le directeur décida de le receuillir et convoqua bien vite tous les journalistes des alentours pour conter sa bonne action. Le brave homme ! Mais le résultat était la: Vladimir avait un toit sur la tete. Il grandit donc là, entre coups de canne et soufflets, bonnes notes et pétages de plombs. Il avait fini par devenir un marginal. Le garçon dont personne n'approchait par crainte de se retrouver planté par le petit couteau qu'il gardait toujours dans sa pochette de cuir. Pourtant, il n'avait pas le droit d'avoir une arme. Et personne ne savait pourquoi on lui avait permis de la garder. Certainement parce que personne n'avait pris la peine de vérifier l'information... Il n'y avait pas plus solitaire que lui à l'orphelinat. Et tout le monde avait réelement fini par le prendre pour un cas social. Un sauvageon. Ou meme un fou, parfois. Puis enfin, par une ame possédée par le diable.

C'était un dimanche après midi comme les autres. Vladimir cherchait un coin tranquille, un bouquin de Tolstoi dans la main, son air grave, qui ne le quittait jamais, au visage. En vérité il ne cherchait pas. Il savait ou il se rendait. Dans le renfoncement du mur, deuxième étage, porte 7. C'était son petit coin, il n'y avait jamais personne là-bas. C'était calme, silencieux, parfait. Le garçon, agé à l'époque d'une dizaine d'années, grimpa les marches, sans un regard pour les élèves qu'ils croisaient et qui eux, pour la plupart descendaient. Bingo. Le couloir était vide. Peut etre parce qu'il était plutot sombre, de grand rideaux pourpre cachant la lumière du jour qui émanait des fenetres . Les élèves n'avaient pas le droit de les ouvrir, un soucis de sécurité disaient les professeurs. Il n'y avait pas de vitres, et c'était dangereux. Personne n'avait cherché d'autres explications et tout le monde s'en était tenu à cette interdiction. Parfois, Vladimir poussait le lourd tissu et jetait un coup d'oeil dehors. Le vent ébouriffait ses cheveux noirs et il restait là un moment là, jusqu'à ce qu'il se rappelle que c'était interdit et qu'un professeur allait certainement le réprimander. Il avait été pris plusieurs fois la main dans le sac. Et la dernière fois avait d'ailleurs été mémorable. Il s'était fait prendre le nez dehors par Mr Stakavoff. L'adjoint du principal. Celui-ci avait penché sa tete de vieux corbeau vers lui avec un air mauvais et lui avait dit " Cela fait combien de fois exactement que l'on vous dit et répète que c'est IN-TER-DIT ? Faut il que je vous fasse rentrer cela dans le crane à coup de canne ?". Le Tchoskov lui avait simplement répondu: "A coups de marteau. On dit à coups de marteau." Son insolence reprenait souvent le dessus lorsqu'il se retrouvait face à une personne qu'il détestait et il oubliait facilement sa nature réservé lorsqu'il le fallait. La sentence avait été immédiate. Le vieux corbeau avait levé sa grosse main aussi grande que deux livres de Tolstoi cote à cote, tout abord en signe de menace. Mais au final, il giffla Vladimir si fort que celui ci failli tomber par la fenetre derrière lui. Il fut sonné pendant quelque temps et mit encore plus longtemps à se rendre compte de ce qui venait de lui arriver; Le vieux piaf l'avait frappé ! Et le pire c'est que ce ne fut pas la dernière fois ... Non. Vladimir n'était pas non plus maltraité. Mais il lui arrivait souvent de recevoir une bonne claque, résultat de ses nombreuses insolences, ou alors un coup de canne dans les tibias.

C'était peu etre de là que venait son agressivité, du fait qu'il n'avait pas vraiment été épargné par la violence enfant. Le garçon, donc marchait vers son coin, bien décidé à lire un peu. Sauf qu'il se trouvait déjà quelqu'un dans ce coin. Et d'ailleurs pas une, mais deux personnes. Un petit couple qui se calinait avec un amour qui crevait le superficiel. Vladimir leva les yeux au ciel et se planta devant eux, histoire de les voir tous deux se ratatiner sur place. En effet, la fille rougit furieusement et le garçon semblait sur le point de se jeter sur le malheureux qui venait de les déranger. Vladimir se souvient leur avoir simplement dit de dégager comme si les deux amoureux allaient ramasser leurs affaires, et lui obéir au doigt et à l'oeil. Ce ne fut pas le cas. Bien sur. Les deux touteraux rièrent et le regardèrent de haut, comme s'il s'agissait d'un insecte tout particulièrement dégoutant. Alors Vladimir sentit la colère monter en lui. Une colère que les rideaux pourpres de derrière semblaient ressentir eux aussi car ils se levèrent simultanèment, comme soulevés par un vent bien trop fort. Le tissu voleta avec une force hors du commun, dans un sorte de ballet aérien véritablement inquiétant. Alors que la lumière du jour illuminait furieusement le couloir, les deux amoureux, à moitié aveuglés par la forte luminosité, partirent en courant, en traitant le Khazar de démon. Rapidement , la rumeur avait fait le tour de l'école et le statut de gosse possédé du diable avait été attribué au pauvre Vladimir. Mais l'histoire était parvenue aux oreilles de tous. Et tous n'était pas aussi ignorants que ces moldus crédules qui peuplaient l'orphelinat. On avait donc finit par lui expliquer qu'il était un sorcier. Ca lui avait fait un sacré choc, mais il était plutot heureux ensuite. C'était comme un miracle. Il n'allait pas rester ici. Il ne pouvait plus, maintenant qu'il savait rester ici. Alors on lui avait cherché une école, et puis, on avait choisi de l'envoyer à Dumstrang. Un collège magique de russie très strict et composés uniquement d'élèves de sexe masculin.

Le train démarra. Vladimir cala sa valise entre sa banquette et celle d'en face. Le train était à moitié vide, et il n'y avait personne dans son compartiment. C'était tant mieux. Le jeune homme replongea alors dans ses pensées. Du neuf. Enfin. Il ne s'était pas fait prié pour faire ses valises, et avait quitté l'établissement d'un pas pressé. Il était le seul maitre de son destin maintenant. Il était seul, certes. Mais libre. Et ça ça valait tout l'or du monde. Il avait donc passé sa scolarité à Dumstrang, école qu'il avait apprécié, mais qui ne l'avait nullement sorti de la solitude ou il se trouvait. Il y avait eu d'excellents résultats, et les professeurs l'avaient laissé partir avec un petit pincement au coeur. Mais il ne savait pas ou aller maintenant. Retourner à l'orphelinat ? Jamais ! Et puis vu ce qui s'y était passé le dernier hiver .. Vladimir retournait toujours à l'orphelinat en hiver. Il n'avait nul part d'autre ou aller et puis, il pouvait se faire un peu d'argent là-bas, à aider dans les cuisines. Cependant, il avait bien failli avoir de gros problèmes lors de son dernier hiver à l'orphelinat . Vladimir, qui avait à cette époque dix sept ans, avait toujours eu un caractère plutot violent et agressif, mais ce n'était bien sur pas le pire de l'orphelinat. Ce genre d'institussions russes abritaient toutes sortes de délinquants, et ils n'étaient pas rares qu'il y ai des blessées. Parmis les pires qui y logeaient,Krom. Une grosse brute d'une vingtaine d'année qui stagnait là, dressé comme un gros bouledogue à surveiller les couloirs, juste pour ne pas trop avoir l'air d'un parasite. Mais tout le monde savait qu'en vérité, il passait le plus clair de son temps à voler les gosses de l'orphelinat, en distribuant en prime des coups de poings dans les dents. Et c'était Vladimir, ce jour là, qui en avait fait les frais. Bouledogue l'avait coincé dans son coin favori et l'avait menacé à l'aide d'un couteau piqué dans les cuisines. Il voulait sa chaine, la chaine en argent qu'il portait autour du cou, seul objet qui avait été retrouvé avec lui, bébé. Le Tchoskov lui avait si bien tenu tete que Krom en était resté un instant abasourdi. Mais avait rapidemment retrouvé son air méchant et tout particulièrement bete. Alors pour bien montrer à sa victime qu'il ne plaisantait pas, il écorcha vivement le bras de Vladimir d'un coup de couteau, avec un sourire cruel. Puis, alors que le Khazar tenait en grimaçant de douleur son bras ensanglanté, Korm avança sa main libre vers la chaine, certain d'avoir maintenant ce qu'il désirait. Il dirait que le garçon s'était blessé en cuisine. Cela marcherait. D'ailleurs il ne parlerait pas. Il aurait trop peur. C'était toujours comme cela que ça se passait. Mais le sang de Vladimir ne fit qu'un tour et dans un reflexe de survie, il se recula et saisit sa baguette magique. La haine montait en lui, cette haine qui le faisait devenir fou . Et le rire de Bouledogue devant ce qu'il ne voyait que comme un simple bout de bois, l'énerva encore davantage. Le russe pointa sa baguette vers son agresseur et récita la formule avec un sang froid sans pareil. Avada Kedavra. Une lumière verte. Le corps immobile, froid, recroquevillé de Krom sur le carelage. Vladimir l'avait regardé un moment, sans une once de regret, avec seulement, une satisfaction sadique. Puis, il tourna les talons, et se dépecha de quitter le lieu du crime. On ne trouva pas ce qui l'avait tué. Les moldus penchèrent pour une crise cardiaques, et les autres étaient bien trop contents de s'en débarrasser pour mener l'enquete à propos de l'assassinat. Alors Vladimir s'en était sortit. Et il en avait été vraiment étonné. A sa sortie de Dumstrang, il avait tout de meme eu peur de retourner à l'orphelinat. Et puis, il n'était pas encore sur de ce qu'il voulait faire. Bien sur il y avait des tas d'universités, mais laquelle choisir ? Alors le jeune garçon avait attendu, avait réfléchit et un jour qu'il s'était attablé dans un bar, pour relire un chef d'oeuvre de Tolstoi, il avait entendu une discussion à propos de St Barnaby. Deux vieillards qui causaient. "St Barnaby! Tu parles ! N'envoie jamais ton fils dans ce patelin ! Les gosses sont tous des névrosés là bas ! Juste bon pour St Mangouste !" Le Khazar avait sourit légèrement. St Barnaby. C'était là-bas qu'il irait.

INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES

L'étudiant séjourne-t-il au collège ou au village la semaine et le
week-end? : Au collège.

L'étudiant possède-t-il un animal de compagnie? : Non, pas pour l'instant.

Quel serait le patronus de votre personnage? Un loup.

Autre informations supplémentaires à fournir? : x

HORS RP

• Comment avez-vous connu le forum : Petites recherches !
  
  
• Votre âge : 16 ans ! J'ai eu chaud !!
  
  
• Suggestions et commentaires : C'est magnifique ici !! Bon, j'avoue que c'est aussi un peu compliqué ... mais le graphisme est extra !
  
  
• Votre plat préféré : Mmmh ... Pizza.
  
  
• Une dernière chose ? Nan, c'est bon.