Invité
| Sujet: Because the Fire cannot kill the Dragon ~ Athénendora C. Winchester [ Fini ] Ven 9 Aoû - 14:40 | |
| Athénendora Circérys Winchester Yes. All the men can die. But we're not men. We're women. INFORMATIONS PERSONNELLES Nom: Winchester Héliodore Prénom: Athénendora Circérys Date de naissance: 6 août Lieu de naissance: Angleterre Citoyenneté(s): Anglo-grecque Statut Sanguin: Sang-Pur INFORMATIONS SUR LA BAGUETTE 27.3 centimètres, bois de cerisier chinois, ventricule de dragon. FORMATION ACADÉMIQUE École élémentaire:J'ai passées mes deux premières années d'étude élémentaires à Diogène, en Grèce, et le reste à Poudlard. Résultats des ASPIC: Optimal partout, sauf Histoire de la magie, où j'ai obtenu un Effort Exceptionnel. Domaine d'études & cours à option choisi:Année d'intégration. Année d'Étude en cours: Cognita Cours Optionnel hors programme: Créatures magiques et dangereuses. Aspiration(s) académique(s): Devenir la plus grande Dragonologue du monde magique. Autant viser haut ! Extra-scolaire et implications: Je tir à l'arc le plus souvent possible, et en dehors de la période scolaire, je travaille avec mon père en tant qu'assistante. SITUATION FAMILIALE Ma famille est plutôt à part, quoique... Je suis fille unique, pour commencer , donc pas de frères ou de sœurs pour me casser les pieds ! Et j'ai la chance d'avoir des parents tout simplement géniaux ! Commençons par mon père si vous voulez bien. Mon père ? Et bien c'est un phénomène ! Dragonologue de renom, il est sollicité à tous les coins de la planète ! Ce grand brun aux yeux marrons s'appelle Adrian Héliodore et il a actuellement 47 ans. D'origine grecque, il a vécu avec ses parents à Delphes jusqu'à ses 14 ans d'où il s'est ensuite rendu en Angleterre pour se qui devait être une visite chez son oncle Bastian qui vivait à Londres depuis déjà plusieurs années. Sauf que finalement, il se surprit à beaucoup apprécier cette ville et réussi à convaincre ses parents ( après maintes et maintes supplications ) de le laisser vivre en Angleterre chez son oncle. Mes grands parents, même si un peu effrayés à l'idée de laisser leur fils unique vivre dans une ville moldue, décidèrent finalement de le laisser faire, cela en grande partie grâce à mon grand père, étant passionné par la culture moldue qu'il trouvait, je cite, " Absolument interloquante ! ". C'est ainsi qu'il fit ses études à Poudlard chez les Serdaigles, et où il rencontra ma mère, Théodora Winchester. C'est aussi une sorte de savant fou, il adore bricoler ces nouveaux gadgets complètement fous dont seul lui trouve l'utilité. Quant à ma mère, elle aussi était dragonologue et formait un duo de choc en compagnie de mon père. A eux deux ils étaient tout simplement incroyables ! Ma mère contrairement à mon père, est née en Angleterre dans la ville Liverpool. Elle vécu elle aussi avec ses parents , d'une grande famille de sorciers de sang pur, tous issus de la maison Serpentard : une vraie fierté familiale ! Ma mère était mon modèle, elle représentait tout ce que je voulais être. Elle était intelligente, combative, d'une douceur inimaginable, mais était aussi d'une beauté à couper le souffle, mais bon en même temps quand on est Vélane, ça aide. etc.) VOTRE PERSONNAGE EN QUELQUES MOTS Il aime: - Les dragons
- La mythologie moldue
- Les créatures magiques
- La lecture
- Le tir à l'arc
- Bricoler
- La natation
- L'art
- Lézarder au soleil
- Les potions
Il n'aime pas: - Les menteurs
- Les insectes
- Nettoyer les crottes de dragons
- Louper mes sorts
- Les épinards
- Les gens stupides
- Ceux qui parlent pour rien dire
- Et aussi ceux qui parlent trop tout court
- Les émissions de télé moldue
- Les piqures de moustique
Les cinq objets dont votre personnage ne peut pas se passer: - Ma baguette, évidemment
- Ma sacoche en cuir à frange
- Mon collier, légué par ma mère
- Mon arc miniaturisé
- un baume à lèvre parfum melon
DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE Voler haut dans le ciel, respirer la fournaise et vivre pour une éternité. Les dragons sont définitivement les créatures les plus magnifiques qui soient. J'aime à penser que mon caractère reflète le leur. Indépendante, parfois solitaire, assoiffée de connaissance et indomptable comme le vent. Ces traits de personnalité seraient ceux qui me correspondraient le mieux, si on voulait faire bref. Oui, je peux être très poétique parfois. Cependant, si je voudrais développer sans me la jouer à la Beaudelaire, j'ajouterais ceci : Alors voilà, je dirais que je suis une fille plutôt lunatique. Oui c'est bien le mot ça ! Lunatique ! Je peux m'avérer très gentille, avenante et tout et tout, et une minute plus tard, me montrer très aigrie et agressive. Je peux parfois me révéler hautaine, voire méprisante, tout dépend de mon humeur du jour. Et puis, parfois, il y a des personnes qui ne me reviennent tout simplement pas. Dans ces cas là, en général, il n'y a que le temps qui puisse défaire l'image toute faite que j'ai de ces personnes. Disons qu'avec moi, tout est une question d'habitude. Les personnes avec qui je passe mon temps ne s'en formaliseront en aucun cas, là où des personnes ne connaissant ma personnalité pourraient être plutôt prise de court. Cependant, n'allez pas croire que je suis une petite garce sans cœur, loin de là ! Même si je préfère gardez mes distance avec les inconnus, je suis aussi très loyale et aimante envers mes proches, et gare à ceux qui tenteraient de toucher à ne serait-ce qu'à un seul de leurs cheveux ! Les amis et la famille occupent une très grande place dans mon cœur, et il me serait impossible de vivre sans. Par ailleurs, j'ai une fâcheuse tendance à n'en faire qu'à ma tête. Et oui ! Tête de mule un jour, tête de mule toujours ! On ne me refera pas. Et cela ne datait pas de la dernière pluie à vrai dire. Mes parents en avaient vu des vertes et des pas mûres avec moi, les pauvres. Quand j'y repense, je me dis que je n'y allais déjà pas avec le dos de la cuillère étant petite... Il faut dire que des défauts, j'en ai à citer... Par exemple, j'ai une sainte horreur d'attendre et par conséquent, je devient très irritable dans les moments où je suis forcée de faire preuve de patience. Et puis, il ne faudrait surtout pas oublier de mentionner ma nature rancunière ! Oh oui, pour être rancunière, ça je l'étais, et pas qu'un peu." Plante moi un couteau dans le dos, et je te planterai dix flèches dans le ventre.", autrement dit : si qui que ce soit s'avisait de trahir ma confiance si difficilement accordée, non seulement je ne l'oublierai jamais, mais je le lui ferai payer de surcroit. Je suis si très créative ( sans vouloir me vanter, bien sûr ), j'adore tout ce qui touche à l'art, à la musique et à tout ce qui s'en suit. Une vraie passion ! Je ne peux m'empêcher de m'émerveiller devant les tableaux de Botticelli ou de de Vinci, ou de m'emballer sur les rythmes de Ray Charles et Tchaikovsky. Et puis, ce que j'aime par dessus tout, c'est créer de nouveaux objets ( qui ne me servent pas la plupart du temps mais que je garde précieusement, tels de petits trésors ). J'adore passer mon temps à confectionner ces gadgets, seules, et tranquillement installée; voir la manière à laquelle ils prennent peu à peu forme au fur et à mesure que je les bricole... sur le Styx ! C'est un vrai bonheur ! Grande dévoreuse de livres, il ne serait pas étonnant de me retrouver à une heure très avancée de la nuit, cachée sous ma couette, à lire grâce à un Lumos ! Ces livres et toutes ces pages qui pouvaient nous faire remonter des centaines voire des milliers d'années dans le passé en quelques minutes m'ont toujours rendue admirative. Curieuse affirmée, et parce-que le Savoir c'est le Pouvoir, je ne manque jamais une occasion de poser une question (ou une centaine) à mes proches ou à mes professeurs, à chaque fois que j'en vois l'utilité ! Soif de savoir quand tu nous tiens ! Du coups, quand quelqu'un commence à aborder un sujet qui me tient à cœur, inutile de préciser que je devenais intarissable, et que je pouvais tenir la conversation pendant une durée indéterminée. DESCRIPTION PHYSIQUE Vous connaissez l'expression "beauté froide" ? Et bah voilà ! C'est tout moi ! Au risque de paraitre très narcissique et egocentrique, les personnes que je rencontrais me disaient très souvent que dame nature avait été généreuse avec moi... ou du moins si ce n'était pas Mère Nature, c'était au moins ma mère tout court. Cette dernière étant la plus femme à mes yeux, m'avait, avec ma plus grande fierté, légué sa très longue et brillante chevelure ,qui, si elle n'était pas d'un blanc argenté comme toute vélane qui se respecte, était chez moi brune et bouclée. M'arrivant au creux du dos, j'ai coutume de les coiffer en haute queue de cheval pour éviter de les avoir dans les yeux toute la journée. En parlant de mes yeux, ces derniers sont d'un profond marrons chocolat, là où les siens étaient d'une couleur envoutante mêlant habilement le bleu, le vert, le gris et le doré. Depuis toute petite, on me dit que j'ai un regard à faire pâlir de peur un détraqueur, tant il est intense et insistant. Et pour cause, car je regardais toujours les gens de manière à les sonder jusqu'au plus profond. Après tout les yeux sont les fenêtres de l'âme, non ? Concernant mon gabarit, je ne peux pas me vanter d'être très grande du haut de mon mètre soixante. Et oui, personne n'est parfait ! Cependant cette petite taille, me donnait une grâce et une agilité peu commune, ce qui en faisait finalement plus un avantage qu'autre chose. Grâce mes séances quasi quotidiennes de pseudo chasse pendant laquelle je me mettais à traquer ma fléreuse Némésis à travers des milieux plus ou moins exotiques, mon corps se fait fin et plutôt musclé. Aussi, mes nombreux voyages dans des pays plus ensoleillés les uns que les autres a rendu ma peau halée et toute dorée. Concernant mon style vestimentaire, j'avais l'habitude de faire simple... mais ça c'était avant. En grandissant, j'ai pris goût à l'art de l'habillement si je puis dire. Du coups, j'aime beaucoup changer de look comme de chemise. Tantôt rock, tantôt bobo, parfois plusieurs styles en même temps. Ca me permet de me différencier des autres et de sortir de la banalité ennuyeuse des accoutrements tout proprets que certaines étudiantes pouvaient porter. Enfin bref, même si j'adore diversifier mes tenues, j'apprécie quand même le coté confortable de la chose. Du coups, une tenue que je pourrais facilement porter au quotidien se composerait d'un d'une petite robe brodée vintage, mes rangers noires et un blouson en cuir, sans oublier ma fidèle sacoche à frange en daim que je trimballe avec moi depuis mes dix ans, et le collier au médaillon en forme de dragon que ma mère m'avait cédé à sa mort. HISTOIRE Je marchais lentement, me faisant un chemin à travers les hautes herbes sèches couleurs de sable, m'efforçant tant bien que mal d'éviter les gros et petits rochers qui s'étalaient un peu partout sur le sol de terre aride. Il faisait une chaleur étouffante aujourd'hui, et le soleil tapait si fort que je parvenait presque à sentir mon front cuir en dessous du châle que j'avais lâchement déposé sur ma tête pour éviter l'insolation. Je laissais l'odeur âpre et douce à la fois de la savane environnante m'envahir avec un plaisir non dissimulé, et de là où j'étais, je commençais dors et déjà à percevoir les rugissements tenus qui provenaient de l'endroit vers lequel je me dirigeais. Arrivée en haut de la dune que j'escaladais, je décidai de marquer une pause pour me rendre compte de la distance qu'il me restait encore à parcourir. De cette hauteur, la beauté du paysage me tira un petit sourire de contentement. Un petit pincement au cœur aussi, peut-être. Me dire que le lendemain, j'aurai troqué le temps très ensoleillé et les contrées sauvages de sable dorées pour le climat humide et changeant de l'écosse n'y était pas pour rien, à vrai dire. L'université. Rien que prononcer ce mot me donnait des frissons d'excitation. D'accord, le temps ne serrait probablement pas parfait, mais dans un sens, ça ne serait sûrement pas pire que le froid glacial de l'Alaska ! J'avais pour la première fois entendu parler de l'université St-Barnaby des années auparavant , par le biais de mon père. Ce dernier ayant fait ses études dans ce même établissement n'avait cessé de m'en faire ses louanges ! Autant dire que cela aurait relevé de l'euphémisme de dire que la passion qui transparaissait dans les histoires qu'il me racontait, faisait qu'à sept ans seulement, je m'imaginais déjà flâner dans les couloirs de ladite université en tant qu'étudiante à part entière. Or, on y était. Le soir même je me rendrait à l'aéroport le de Sydney direction l'île Lewis !
Mais bon, le fait est que nous n'étions pas encore « demain ». Je profitais donc de la dernière après-midi que je passais dans le désert australien pour dire au revoir au deux Opaloeil des Atipodes pour lesquels mon père avait pris la peine de se déplacer avec son équipe. Sachant que je prendrai le large très tôt le lendemain, je savais que ce serait le seul moment opportun. Je descendis donc l'immense dune de sable d'un pas saccadé pour éviter de tomber et me dirigeai vers la sorte de campement se trouvant, à présent, à quelques centaines de mètre de l'endroit où je me trouvais. D'ici, les rugissements se faisait gargantuesques, et je n'étais même pas encore sur place. C'est dire ! Je pressai le pas, impatiente d'y être, quand je sentis quelques chose me filer entre es jambes. Je baissais aussitôt les yeux en me stoppant net, pour découvrir une boule de poils noire se frotter à mes mollets. Némésis ! Une vraie incorrigible celle là ! Je pouffai de rire en secouant la tête de droite à gauche avec un air pas du tout surpris. Je mis un genoux à terre et me mis à caresser ma fléreuse entre ses deux oreilles.
- Qu'est-ce que tu fais là toi ? Lui demandai-je tendrement. Tu me suis c'est ça hein ? Alala...,soupirai-je ensuite avant de me relever. Bon, et bien soit ? Fis à son intention en reprenant ma route avec ma compagne sur les talons.
Il me fallut moins de dix minutes pour atteindre la « zone de détention ». Là où ne serait-ce que quelques semaines plus tôt ne se trouvait rien de plus qu'un pan de terre vide désolé, se trouvait à présent un espace complètement et minutieusement aménagé. En premier plan, des dizaines et des dizaines de tentes étaient installées en formant un cube parfait de rectangles bruns beiges. A ses quatre coins se trouvaient quatre mini châteaux de briques, tous surmontés de deux grandes tours s'élevant à environ 15 mètre du sol. Au premier coups d'oeil, on aurait pu se croire dans une espèce de camp militaire romain nouvelle génération. La différence se faisait par rapport aux immenses box se trouvant plusieurs mètres derrière le camps, qui était entouré d'une toute aussi immense haie de fer. Ni une ni deux, je m'élançai dans cette direction en saluant les employés de mon père au passage. Une fois arrivée devant la porte de plus d'une vingtaine de mètre de haut, je fis signe à Lorens, le gardien se trouvant dans une cabine postée devant le grillage, qui m'ouvrit aussitôt. Je lui criai un merci, puis m'engouffrai dans le deuxième box à ma gauche. Tout de suite, je me sentis à l'aise. Petite déjà, j'avais l'habitude de me faufiler jusqu'à la zone de " détention", comme je le disait si bien, zone où étaient logés les dragons en état de convalescence. J'adorais les regarder dormir, observer la manière dont leur immenses dos se soulevaient comme ils respiraient, dont leurs naseaux émettaient ces petits nuages de fumée lorsqu'ils expiraient, et surtout le profond grondement provenant de leur gorge, qui parvenait si bien à m'apaiser. Même l'odeur de souffre mêlée à celle de terre et d'autre chose dont je tairai le nom, qui y régnait me plaisait. Il n'était d'ailleurs pas rare que mes parents me retrouve endormie devant l'un de ces immenses box aménagés.
Je fis quelques pas à et me retrouvai dans l'antichambre ( si je puis dire ) précédant un second box qui, lui, détenait les dragons. Les rugissements que j'avais entendu sur le chemin se firent plus forts que jamais. J'avais l'impression que mes tympans étaient sur le point d'exploser ! Rien d'étonnant à cela, c'était l'heure du déjeuner pour eux. J'avais bien fais en sorte d'arriver à cette heure ci pour pouvoir les nourrir moi même. Sans plus attendre, je sortis ma baguette de ma poche, et grâce à un « Wingardium Leviosa », je pus sans difficultés, transposer les gigantesques morceaux de viande de mouton, de la réserve, au chariot qui me permettrait de la donner aux principaux intéressés. C'est donc sans plus attendre que je poussai lentement et prudemment la porte qui me séparait des créatures ailées. Encore une fois, une barrière se trouvait entre nous. Néanmoins, cette dernière se trouvant être en verre et non en bois, je pus enfin voir les dragons. En me voyant, ou plutôt en voyant la nourriture que je leur apportais, leur rugissement se firent plus fort encore, à mon plus grand dam. Ils commencèrent à s'agiter dans tous les sens pour venir se jeter sur la baie, les pattes sur la vitre. Je sortis alors une deuxième fois ma baguette, et après avoir disposé le chariot bien devant la barrière, j'en frappai cette dernière de trois coups. Aussitôt, ledit chariot fut comme engloutit par la vitre et se retrouva du côté des dragons. Ces derniers se jetèrent instantanément dessus et vinrent à bout des 40 kilos de viande en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. J'attendis cependant patiemment qu'ils eurent fini leur repas pour me décider à pénétrer dans leur repaire. Il aurait été plus dangereux pour moi ( et plus stupide aussi ) de prendre directement contact avec eux alors qu'il étaient affamés. Maintenant qu'ils étaient repus, ils s'étaient lourdement affalés au sol. J'avançai en prenant bien soins de ne pas faire de gestes brusques et m'assis sur le foins à leurs côtés. Bien qu'ils soient encore très jeunes, les deux créatures mesuraient déjà près de 5 mètres de long. Leurs écailles iridescentes et nacrées luisaient de mille feux sous les rayons de soleils qui nous parvenaient par les hautes et larges fenêtres inscrites dans le plafond, et leurs yeux étincelant de reflets multicolores dépourvus de pupilles, me scrutaient d'un air paisible teinté de curiosité. Les deux roublards avaient maintenant l'habitude de me voir débarquer dans leur box, et s'ils réagissaient plutôt agressivement au début, mes attentions pour eux avaient vite fait mouche car ils semblaient à présent me prendre pour une de leurs confrères. Cela faisait maintenant presque deux mois qu'il étaient au camp. Papa les avait récupéré sur un appel au secours d'un jeune sorcier. Les deux jeunes dragons étant livrés à eux même après la mort de leur mère s'étaient mis à décimer des troupeaux entiers dans toute la région. Lorsque mon père m'avait raconter leur histoire, j'en avais eu le cœur brisé. Les pauvres petits...
C'est bien plus tard, alors que je caressais affectueusement le museau d'un des dragons qui avaient vite fait de s'endormir après leur festin, que je fus interrompue par Rana, ma nourrice. Cette dernière faisait pour moi, partie intégrante de ma famille. Elle avait toujours été là pour moi, et je l'aimais comme une seconde grand-mère.
- Dora chérie, c'est l'heure d'y aller, me dit-elle en tapant un petit coups sec sur la baie vitrée.
- Quoi, déjà ? Fis-je alors d'un ton surpris. Je n'avais décidément pas vu le temps passer.
- Et oui, déjà, me répondit-elle gentiment. Tes bagages sont près et ton père nous attend pour transplaner jusqu'à la gare.
- J'arrive lui, lui dis-je alors. Juste deux minutes.
Elle acquiesça avant de sortir. Je me redressai un peu, et tournant vers les deux specimens, je fis :
- Au revoir mes bébés, et tâchez de ne pas faire trop de bêtises quand vous serez relâchés, hein...
Je leurs déposai un léger baiser sur le bout de leur museau, et sortit silencieusement du box pour ne pas les réveiller. Une fois dehors, je vis que Rana m'attendais sur le pas de la porte.
- Alors, prête pour une nouvelle aventure, me demanda-t-elle sur un ton guilleret.
- Toujours, lui répondis-je avec un grand sourire. INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES L'étudiant séjourne-t-il au collège ou au village la semaine et le week-end? : Au collège. L'étudiant possède-t-il un animal de compagnie? : Oui, une fléreuse au pelage noir comme la nuit, et aux yeux dorés. Quel serait le patronus de votre personnage? Une lionne noire. Autre informations supplémentaires à fournir? : Je possède du sang de vélane. HORS RP - Comment avez-vous connu le forum : Grâce à un partenaire
- Votre âge : 17 ans
- Suggestions et commentaires : J'aime beaucoup le design et tout. Mon seul problème sera de trouver un avatar qui ne soit pas photographié...
- Votre plat préféré : La pizza quatre fromages !! Miaaam Miouum
- Une dernière chose ? Nope, Pénélope !
Dernière édition par Athénendora C. Winchester le Lun 19 Aoû - 1:42, édité 3 fois |
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