Alexius Ousmane Brickingham

L'histoire mes enfants, ne cesse de se répéter. Mais c'est à vous de trouver ce qui en a fait une chose si unique et si incroyable.
Alexius Brickingham, discours aux premières années.

INFORMATIONS PERSONNELLES

Nom: Brickingham

Prénom: Alexius Ousmane

Date de naissance: 11 Août 1901

Lieu de naissance: Ipswitch, Angleterre

Citoyenneté(s): Anglais d'origine, Kényan de visa

Statut Sanguin: Sang-Pur

INFORMATIONS SUR LA BAGUETTE

En bois de hêtre, 33cm, Plume de phénix. La baguette en elle-même est pleine d'histoire, mais aucune que Alexius ne connaisse pas.

FORMATION ACADÉMIQUE

École élémentaire: Poudlard, À Serdaigle

Résultats des ASPIC: Optimal en histoire de la magie, potions et DCFM, EE en Métamorphose, sortilège et Études des Runes, A en botanique, Études des Moldus et Astronomie, P en Divination.

Compétences/Formation Professionnelle/ Expériences de travail : Professeur d'histoire de la magie à la prestigieuse école de magie Japonaise Mahoutokoro pendant presque 5 ans avant de passer 46 ans au service de l'école Shule Ngai ya uchawi ou Ngai's School Of Wizardry, en Afrique, au Kenya.

Poste Occupé :Professeur d'histoire de la magie

SITUATION FAMILIALE

Ses parents, Bresna et Marcus, étaient deux sorciers de la noble lignée des Brickingham. Marcus était imposant, son regard de serpent noisette dardant tous ceux qui osaient le regarder de travers, comme si il était prêt à les tuer. Il travaillait en tant que langue-de-plomb au ministère et s'avérait être un fier partisan de Gellert Grindelwald. Normal. Bresna, une petite femme aux yeux noirs et aux cheveux de la même teinte, elle restait neutre, complètement blasée. Elle faisait de la broderie, s'occupait, donnait des ordres farfelus à son elfe de maison et allait dépenser l'argent familial sur le chemin de traverse ou bien l'allée des embrumes. Sérieusement, cette famille paraissait pompeuse, mais banale chez les sangs-purs. Sauf aux yeux d'Alexius, leur cadet de deux enfants. Lui il les voyait comme ils étaient, des lâches, pleins de préjugés et de cruauté. Deux espèces d'énergumènes sans talents, avec pour seul but d'être là et lécher des bottes. C'était pareil pour tous les Serpentard, d'ailleurs. Et Les gryffondors n'étaient pas mieux. Une version plus intrépide, moins sadique, mais tout aussi stupides. Aucun des deux ne savaient chercher, apprendre et comprendre. Il étaient des pertes totales, le seraient toujours. Pendant des années, Alexius et son grand frère, Bartholomé, étaient la fierté de leur parents. Bien assis dans leur rang, Alexius par dépit ruminant un jour son dessein de quitter cette famille, Bart' par plaisir. Il était dans son élément. Frêle et surtout stupide comme il était, les notions de pouvoir pour avoir le respect lui convenaient parfaitement. Non, aucun d'eux ne valaient la peine, à se pourrir mutuellement de leur méchanceté, de leur racisme. À dix-sept ans, Alexius Ousmane prit ses bagages et partit étudier à l'UMA. Et non, il ne revit presque jamais sa famille en 58 ans. Sauf Bart'... il avait finit par être un peu moins stupide avec les années, semblait-il.

VOTRE PERSONNAGE EN QUELQUES MOTS

Il aime:

• Le soleil


• Les fraises


• La famille qu'il a fondé


• l'histoire


• Sa femme


• Les élèves intéressants


• La bonne musique


• Son statut de guerrier Masaaï ( durement gagné)


• Son tattoo(fait à 70 ans en Polynésie)


• La guinness et le coca-cola


• La beauté d'une femme

Il n'aime pas:

• La bière Blonde


• Les élèves ennuyants


• Les noix brésiliennes


• Ses parents


• Le manque de toilettes au Kenya


• Les infidélités de sa fille(ou de toute personne en général)


• L'arrogance mal placée


• Le manque de respect


• Manger de la pieuvre


• Se faire courser par un tigre en pleine savane


• Les pro sangs-purs radicaux

Les cinq objets dont votre personnage ne peut pas se passer:

• Des toilettes. Merci, Kenya.


• Un livre d'histoire, de philo ou de magie


• ses albums photos


• Sa multitude d'objets magiques de diverses origines


• Ses armes masaai (Les douanier étaient pô conteeeents)

DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE

La passion est la chose qui a toujours caractérisé cet homme. Une passion pour le combat, qu'il soit traditionnel masaï, escrime, tire à l'arc ou tir au pistolet. Une passion pour les femmes aussi. Il en a vu, en a eu, en a aimé beaucoup, mais jamais autant qu'elle. Meïtamei, qu'il n'oubliera jamais. Une passion pour l'histoire. Celle magique d'abord, puis avec les années, il découvrit celle moldue, haute en couleur, en changement et en fait surprenant. Ça lui avait donné du respect pour eux. Une dernière chose le passionne. Le peuple Kényan. Il mit tant d'effort à s'intégrer, les comprendre et vivre en harmonie avec eux qu'un jour, on ne se douta plus qu'il fut Anglais. Et même qu'après quelque années, on lui fit le plus grand honneur. Le titre de guerrier Masaï. Il fut nommé Nguvu ya ng'ombe, qui signifiait "La force du boeuf". Il était maintenant membre à part entière et actif du village Kényan avoisinant l'École de Ngai's school of wizardry, aussi appelée NSOW. Il en avait tous les critères, d'ailleurs. Le sens de l'honneur, le respect, que ce soit des traditions ou des autres, la sagesse et les aptitudes physiques. Oui, mais aussi une personne d'une minutie extrême. Presque artistique. Presque. Pas pour lui ça, admirer une œuvre d'accord, y passer des heures, si vraiment il le faut… mais en faire? Allez au diable, ça n'arrivera pas. Aussi est-ce un homme de bien, pacifique. Autant capable d'éviter les combat lorsque possible, mais tout autant capable de se jeter sur vous tel le lion affamé. Un homme d'une lignée de sang noble, mais contrairement au reste de sa famille, doté d'un cœur des plus noble.

DESCRIPTION PHYSIQUE

Le premier mot qui vient à l'esprit pour le décrire est : Imposant. Cet homme a une carrure et des yeux noisettes à vous figer sur place jusqu'à la fin des temps. Des traits taillés au couteau – autant au sens figuratif que propre. – une bouche aux lèvres épaisses, pas trop bombées, recouverte d'une barbe séparée en deux tresses et une moustache se fondant avec la sus-mentionnée barbe et des sourcils formant un arc naturel lui donne un air de dur, presque d'homme dangereux. Ce qui n'est pas totalement faux, à vrai dire. Il a toujours entretenu un corps, plutôt musclé, pas trop, déjà jeune, il n'avait pas envie de se voir difforme le jour où il déciderait de vivre une vie de petit vieux - chose qui n'arriva jamais au final - mais déjà en partant, il n'avait pas vraiment besoin d'être plus fort. En fait, il a littéralement l'air sortit d'un autre monde avec a barbe séparée en deux tresses et son teint basané, dont les rides d'âge et d'expression donne un léger aspect de parchemin. En fait, on peu presque dire qu'il est sortit d'un autre monde, arborant des tenues sorcières Anglaises, mais aux motifs bien plus apparentés à l'Afrique, à ses couleurs chaudes et ses motifs tribaux. Avec sa grandeur, 1m98, il est d'autant plus intimidant. La blancheur de sa barbe indique que si il n'avait pas le crâne rasé, le sorcier aurait les cheveux blancs. Le plus étonnant avec cette homme reste cette dernière petite chose. Son sourire. Qui transforme un visage aux traits bourrin en un visage de vieux sage en paix. Oui, cet homme est fait de contrastes et de simplicité.

HISTOIRE

1925, c'est un des plus beau début de printemps Londonien qu'on ait connu jusqu'à maintenant. Le soleil brille, les bourgeons éclosent à peine et l'humeur des gens en est positivement influencé. Un homme, tout aussi influencé que les autres, entre dans la gare de King's Cross. On pourrait croire qu'il connait l'endroit, vu qu'il y venait plusieurs fois par an lorsqu'il était plus jeune. Mais voilà, il n'allait qu'à un quai, toujours le même, entre le quai numéro 9 et 10. Oui. Ce jeune homme prenait le quai 9 et ¾, qui menait au majestueux Poudlard Express... mais tout cela était au delà de sept ans plus tôt. Aujourd'hui, cet homme, avec ses airs de colosse et son look d'homme d'affaires prospère, devait s'en tenir aux directions données par la gare. Car oui, il prendrait un train de moldu cette fois. Pour une toute nouvelle aventure. La destination finale était Mahoutokoro, l'école Japonaise de sorcellerie, où il avait obtenu un poste de professeur d'histoire de la magie. Ainsi, il prenait le train jusqu'en Écosse, faire ses adieux à une femme qui lui fût chère à l'UMA. Tous deux ne pouvaient entretenir quelque lien que ce soit dorénavant, elle étant fiancée, mariée bientôt. Ce serait trop dur d'essayer d'être simplement ami et Merlin savait qu'il ne supportait pas l'infidélité. D'Écosse ensuite, il partirait jusqu'à Halifax, au Canada, par bateau. Le lendemain, il prendrait le train jusqu'à Vancouver avant de prendre un portoloin de là au Japon. Oui, ça pouvait paraître stupide, tant de moyens de transports moldu alors qu'il y avait les portoloin, mais le voyage était le plus intéressant, donc cet itinéraire était parfait.

- Tous les passagers en direction d'Édimbourg sont priés de prendre place à bord du train! Cria le chef de train.

À cet instant, toute une masse de gens d'aspects et d'origines bien différentes commencèrent à monter à bord, notre voyageur y comprit. On entendu le bruit distinct de la vapeur s'échapper et le train commencer à bouger dans un crissement de ferraille. Et voilà, Alexius O. Brickingham était partit vivre son rêve d'aventures et d'enseignement. Et ça ne faisait que commencer.
1934, un petit village Kenyan bien particulier. Alexius y était arrivé voilà quatre ans, maintenant. C'était la seule tribu de Masaaï sédentaires de tout le Kenya. Bien sûr ils avaient de ces traditions qu'Alexius n'appréciait pas du tout, mais il n'était pas venu en homme blanc typique, pour tout changer. Il avait seulement aimé l'endroit et tout ce qui en faisait un endroit unique. L'école était à environs une demie-heure de route, entre le village et la ville de Mombasa, ce qui n'était déjà pas si long, mais l'école lui avait fourni un tapis volant pour lui et les écoliers du même village qui s'y rendaient, raccourcissant ainsi le trajet de moitié. Et dans ce patelin, des étudiants sorciers, il y en avait beaucoup. Pour 200 habitants, la moitié était sorcière de quelconque statut de sang. Beaucoup de magie, beaucoup à apprendre, donc. cela ravissait notre jeune professeur.
En tant que prof d'histoire de la magie, les anciens se plaisaient énormément à lui conter les légendes, les faits et les accomplissement de la tribu et de toute l'Afrique, pour ceux qui avaient voyagé. Pas seulement pour l'air extatique que cet homme blanc avait, mais aussi pour qu'ainsi, rien ne se perde, que ces histoires atteignent toutes les petites oreilles d'Afrique de l'est. Et dieu savait que ces petites oreilles étaient attentives. Ces enfants-là, ils prenaient l'idée d'être dans une belle école comme un honneur et faisaient presque tous l'effort de toujours bien réussir. Ça avait toujours eu le don d'attendrir le coeur d'Alex'. C'était de bons enfants, souvent très drôles, très gentils, leur parents l'étant également. Il y avait aussi quelque cancres, quelle école n'en a pas, mais Alexius avait toujours eu le don, avec les enfants, alors c'était gérable. En fait, tout cela était si gérable qu'il avait le temps d'avoir une vie sociale, des hobbys et... une vie privé assez animée. C'était un professeur, mais aussi un homme à femmes. Un amoureux de la beauté et du charme de la féminité. Néanmoins il ne pouvait nier que depuis quelque temps, il n'arrivait plus à penser qu'à une seule femme. Splendide, à la peau et les cheveux d'un ébène chatoyant, aux lèvres délicieusement pulpeuses et au regard qui se distinguait de par cette petite lumière encrée dans ses yeux chocolat, qui témoignait d'une vivacité d'esprit accrue. Elle était intelligente, plaisante, ouverte d'esprit, belle comme le jour - ce qui était très appréciée vu cette saison des pluie pour le moins... fructueuse, cette année, douce comme la nuit... et aussi inaccessible qu'une ombre. C'était une moldue fille de riche marchand vivant au village. Bien sûr, marier un sorcier n'était pas mal vu, mais lui il était blanc. Ça ne l'empêcherait pas. Il DEVAIT conquérir son coeur. Alexius ne pouvait simplement pas laisser passer la première femme pour qui il ferait tout seulement de par son regard. Et son nom, si doux en bouche, comme du miel... Meitamei...
Alexius avait la bouche pâteuse, le regard anxieux, quelque perles de sueurs qui parsemaient son front et ne savait clairement plus quoi faire de ses mains, dont il faisait craquer les jointures. Le stress pré-cérémonie, lui disait Umbé, son meilleur ami et collègue. Une cérémonie qui allait commencer par les voeux habituels occidentaux et se finir par une suite plus... plus Masaaï.

- Umbé! Je... je ne peux pas! Elle mérite mieux, un homme bien plus pieux que moi, son père a entièrement raison!
- Tu ne vas pas donner raison à ce vieux vendeur rabougri Alexius, par pitié! Il posa sa main sur l'épaule du colosse, elle ne mérite pas mieux que toi, parce qu'il n'y aura jamais mieux pour elle à ses yeux en ce bas monde. Tu lui ferais un sale coup de lui refuser l'amour de sa vie, prof!
- Et si je ne l'étais pas, l'amour de sa vie?
- En angleterre, vous vous mariez peut-être sans raisons, mais ici, nous marions nos filles à de jeunes hommes qui les mériteront! Alors maintenant, respire.

Alexius se regardait dans la glace. Il aimait Meitamei au point d'avoir peur de ne pas la satisfaire. Il l'aimait à ce point-là. Il prit une grande respiration et ajusta un peu la veste de son habit. Il avait toujours cru qu'il aurait l'air d'un sacré pingouin colossal dans un smoking moldu, mais il devait l'avouer, ça n'était pas si mal. Très élégant, même. Était-il vraient prêt à se marier? à 33 ans, on osa le croire, mais lui n'en était pas sûr. Il avait si peur de tout faire foirer, que magiquement, lorsque cet anneau serait à son doigt, il deviendrait le pire et le plus primitif rustre de toute l'humanité. Il avait peur de l'avenir, comme toutes personnes normalement constituée.

- Alexius, c'Est maintenant ou jamais, sinon nous allons être en retard et tu connais Mei là-dessus.
- Oui, oui. Je suis prêt.

Alexius alla se placer devant l'autel et soudainement, le stress tomba. La chose qu'il voulait depuis plus d'un an et demi maintenant, lui arrivait. Il n'y avait pas de raisons d'être incertain. Il n'y avait pas de raison d'avoir peur. Il fit un sourire à Umbé, ça allait mieux. Presque plus de doute, il ne manquait plus que la mariée...
Et quand elle arriva, les derniers soupçons d'incertitude de notre Prof favori partirent en flamme, elle était la plus belle, dans sa longue robe de mariée. Le contraste avec sa splendide peau d'ébène ne faisait que le faire fondre un peu plus et désormais, il lui tardait d'épouser la Kényane. Meitamei resplendissait et même Umbé ne opuvait retenir un regard appréciateur. Une chance que ce fut lui et pas un ami moins proche, parce qu'Alexius était du type jaloux. Elle arriva à la hauteur de l'Anglais et lui fit un sourire.

- Prêt?
- Comme jamais, mon amour. Et toi?
- Comme jamais. À jamais.

Cette simple phrase fit comprendre à Alexius que "jusqu'à ce que la mort vous sépare" devenait légitime et véritable. À son plus grand bonheur, d'ailleurs.
1er Septembre 1949. Les années ont passées. Alexius est toujours au même poste, à la même école, toujours autant apprécié de ses élèves. Lui et Meitamei ont deux enfants, Edward, 11 ans, qui allait entrer à l'école des sorciers cette même journée et Aneesha, sept ans. Chacun avait son rôle bien définit. Edward était le petit garçon tout gentil et si intelligent, Aneesha était la si charmante petite fille avec un caractère de peste que sa mère avait encore du mal à garder sous contrôle après sept longues années, Papa 'lexius était un papa gâteau, toujours enrichissant et amusant et maman était une sacrée matrone, tout de même empreinte d'une douceur évidente.

- Edward et Alexius Brickingham, j'en ai assez de vous appeler ici! Cria Meitamei.
- Oui, oui! s'exclamèrent les deux hommes de la maison en remontant quatre à quatre les escaliers du sous-sol.
Mei était toujours aussi belle, même plus après toutes ces années. Même comme ça, les sourcils froncés, les mains sur les hanches et l'air mécontent. Alexius ne s'en lasserait jamais, vraiment.
- Vous comptez me tuer, peut-être?
- Calme toi, Eddy finissait de s'habiller, regarde comme il est charmant!

Edward apparu de derrière son papa, tout petit qu'il était. En effet, il pourtait déjà son uniforme et était bien peigné et tout. Son teint brun chocolat au lait, splendide métissage de deux peaux de continents différents, embellissait le tout, alors qu'Aneesha venait l'observer, touchant l'uniforme, observant son frère, tout fier qu'il était. Ça la rendait verte d'envie, tout ça, mais un jour elle l'aurait, elle aussi. C'était bien une chose qui caractérisais là Aneesha. LA détermination. Alors que son frère était plus calme et conciliant, elle, elle était explosive et déterminée, voire capricieuse par moment. Alexius ne laissait pas ce dernier trait se développer. Une chance, sinon sa pauvre épouse n'aurait plus su où donner de la tête

INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES

Votre personnage séjourne-t-il au collège ou au village la semaine et le
week-end? : Il vit la plupart du temps dans ses appartements du château, mais parfois le luxe d'une auberge est toujours la bienvenue.

Votre personnage possède-t-il un animal de compagnie? : Willipou, un chat de bengal et Milda, sa fidèle chouette hulotte

Quel serait le patronus de votre personnage? Le patronus d'Alexius est un Aigle Royal, avec la particularité d'un plumage noir du côté droit de la tête.

Autre informations supplémentaires à fournir? : Si vous avez l'impression qu'il a de grandes mains, vous ne vous trompez pas, elles le sont. Et alexius est une oreille très attentive à l'école, toujours là pour ses élèves en problèmes, si votre étudiant a besoin d'une figure sympathique et aidante, Alexius et votre homme.

HORS RP

• Comment avez-vous connu le forum : Par des amis.


• Votre âge :24 Ans


• Suggestions et commentaires :C'est superbe ici


• Votre plat préféré :Contre-Filet façon New-york


• Une dernière chose ?TOUT NU SUR LA PLAAAAAGE J'ÉTAIS, TOUT NU SUR LA PLAAAAAGE