La baguette de Julija mesure 26,5 centimètres et elle est fait de bois d’hêtre, réputé par sa façon d’être attiré par des gens d’une grande sagesse et d’une immense sensibilité. Elle contient en son cœur une pierre d’ambre. Elle est cependant bien particulière; la baguette de la jeune femme a été brisée lors de sa cinquième année à Durmstrang. Mais la demoiselle était tant attachée à sa baguette qu’elle a supplié son père de trouver une façon de la faire reconstruire. Suivant le principe japonais du Kinstugi, la baguette a été reformée, des coulisses d’or fondu répandues dans les craques du bois afin de les joindre ensemble.

École élémentaire: Durmstrang
   
Résultats des ASPIC: Julija est très douée au niveau académique. Elle a obtenu la note d’O dans ses cours de Sortilèges, d’Histoire de la Magie, de Défense contre les forces du mal et de Duel, ainsi que EE en métamorphose et en divination


   
Domaine d'études & cours à option choisi: Litriù, Pouvoirs et Auras

Année d'Étude en cours: Elle en est à sa dernière année de Maestria, donc à sa sixième année de scolarité universitaire.
   
Cours Optionnel hors programme: Anomalies magiques et temporelles
   
Aspiration(s) académique(s): La jeune femme souhaiterait devenir Langue-de-Plomb au sein du Ministère de la magie.
   
Extra-scolaire et implications: Lorsqu’elle n’est pas occupée à veiller que tout le monde va bien, elle est dans la salle de musique.
   

Julija est la fille unique de Jonas et Vita Sirvydas. Elle n’a jamais trop souffert de son état d’enfant unique; la famille de son père était plutôt étendue, elle a passé beaucoup de son temps avec ses cousins et cousines, aimant quelques-uns d’entre eux comme s’ils étaient ses frères et sœurs. C’est une famille très aisée où l’argent n’a jamais été un problème, grâce au travail acharné de Jonas mais aussi suite aux héritages familiaux du côté de Vita, qui a perdu ses deux parents dans un accident alors que Julija avait deux ans. Vita a longtemps travaillé comme enseignante d’Histoire de la magie à Durmstrang mais elle ne travaille plus depuis maintenant une quinzaine d’années, pour de simple raisons ludiques – elle n’a plus besoin de travailler. Jonas, lui, est un entrepreneur et créateur d’une multitude d’objets magiques. Il travaille encore comme inventeur dans ses temps libres mais il gère son entreprise à distance, profitant de la résidence familiale au bord de la mer Baltique, ainsi que de leur maison de vacances sur les rives de la Méditerranée, à Naples, en Italie. C’est un couple qui s’aime et qui se ressemble. Ils sont tous les deux âgés de 55 ans et bien que leur relation n’aille pas toujours été rose et facile, ils sont devenus de plus en plus complices avec le temps et ils se connaissent à présent mieux que n’importe qui.  

Il aime:
 

     
• Le violoncelle : Elle a appris jeune à jouer de cet instrument de musique et à présent, elle ne peut plus s’en passer. Par souci de transport, elle garde le sien dans sa chambre et, lorsqu’elle ne joue pas là, elle utilise ceux de la salle de musique, bien qu’ils soient bien moins doux que le sien.

     
• La sensation de la nature au bout de ses doigts : Qu’il s’agisse du bois, de l’herbe, des pétales de fleurs, de la terre froide, il y a quelque chose de particulier et de rafraîchissant à être en contact avec les fruits de la terre.

     
• Les bonbons et les confiseries : Des jujubes, des réglisses, du taffy aux fruits. Du chocolat, du nougat.  Les sucreries font office de collations pour la jeune femme.

     
• La lecture et l’étude : Bien que ce soit quelque chose qu’elle ne fasse pas comme la majorité des gens, elle prend un plaisir particulier à se plonger dans un livre, qu’il s’agisse d’un roman ou d’un livre pour un cours.

     
• Être capable de ressentir les émotions des autres : Les premiers éclats de son don d’Empathe ont été tout particulièrement difficiles, entre ces pulsions soudaines et son handicap, mais elle le maîtrise à présent depuis quelques années et elle considère cela comme un véritable cadeau qui lui permet de palier à certains manques physiologiques.

     
• Les chiens : Ce sont des animaux que l’on sous-estime, selon elle. Ils sont intelligents, sensibles et affectueux. Et puis, de toute façon, ils sont presque une nécessité pour elle

     
• L’odeur de pâtisseries et de pain tout juste sortis du four : Vraiment, y-a-t-il quelque chose de plus réconfortant que cela?

     
• Les rires des gens : C’est la musique de l’être humain. Une mélodie unique à chacun qui permet de tracer son portrait à la fois physique et moral.

     
• Le goût frais des fruits et des légumes : Ça éclate contre les papilles, ça réveille, c’est parfois sucré, parfois acidulé, peut-être même un peu amer, mais c’est toujours délicieux.

     
• La sensation qu’on a au réveil et que l’on sait qu’on a pas besoin de se lever : Le confort, la chaleur, ce sentiment de repos et de satisfaction qui nous prend aux membres.

 

   
Il n'aime pas:
 

     
• Les odeurs trop fortes : Quand certains de nos sens sont surdéveloppés, cela se traduit aussi par le fait qu’ils sont plus facilement agressés. L’odeur du soufre, l’acidité, les mauvaises odeurs sont tout particulièrement désagréables pour la Lituanienne.

     
• La méchanceté gratuite : C’est quelque chose de particulièrement aberrant et triste aux yeux de la jeune femme, que certaines personnes prennent plaisir à être méchants avec les autres, pour leur propre gratification.

     
• La tristesse et le désespoir : C’est son don d’empathie qui l’a forcé à avoir une certaine aversion pour ces sentiments humains qui lui font mal, tant moralement que physiquement. C’est sans doute pour ça aussi qu’elle cherche toujours à consoler les gens qui sont tristes.

     
• La rigidité d’esprit : Non seulement c’est désagréable, mais c’est dommage que certaines personnes refusent de voir plus loin que leur nez et restent intolérants à ce qui est différent d’eux.

     
• Le manque de culture : … qui est souvent relié au point nommé plus haut.

     
• Qu’on la prenne en pitié : Elle apprécie que les gens soient compatissants face à ce qu’elle vit à tous les jours, mais elle déteste qu’on la prenne en pitié et qu’on s’obstine à l’identifier à son handicap et rien de plus.

 

   

   
Les cinq objets dont votre personnage ne peut pas se passer:
 

     
• Son chien bouvier bernois, Charles. Un gros toutou de 50 kilos – environ 110 livres.

     
• Des bonbons ou du chocolat. En petites portions, mais elle en a toujours avec elle.

     
• Des lunettes fumées, au cas où elle doive se promener dans des endroits où les gens ne la connaissent pas

     
• Une pince dorée et sertie de pierres précieuses – on lui a dit que c’était des opales -  qu’elle porte presque toujours dans ses cheveux.

     
• Une petite fiole de son parfum qu’elle traîne dans son sac, présentant une odeur sucrée de cerisier.

 

   

Julija est une jeune femme d’un optimisme absolument contagieux. On la voit très rarement sans un sourire aux lèvres ou un rire dans la gorge. Elle est douce, généreuse, délicate et attentionnée, poussée à la fois par son instinct et par son don afin de rendre les gens autour d’elle heureux. C’est à la fin de sa scolarité à Durmstrang que la demoiselle a appris qu’elle portait en elle le don de l’empathie, qui s’est développé un peu du jour au lendemain. Ceci la rend capable de ressentir les émotions des autres autour d’elle, que ce soit au niveau émotionnel – comme un élan de mélancolie ou une joie intense – ou encore au niveau physique – une boule dans la gorge, une envie soudaine d’éclater de rire. Bien que celui-ci lui ait causé beaucoup de problèmes lors des premiers mois, le don est maintenant sous contrôle et elle arrive à gérer les informations qui assaillissent l’esprit. Elle ressent donc la détresse ou la joie des gens mais à un niveau plus externe, plus rationnel. La Lituanienne est toujours partante pour un verre ou pour festoyer, tant que ce soit des endroits qui acceptent les animaux, puisque Charles ne la quitte presque jamais. C’est une amie fidèle et dévouée, n’hésitant pas à prendre parole lorsqu’elle sent qu’il y a injustice. Bien qu’elle soit très consciente de ses limites, elle ne s’empêche pas de participer à la plupart des activités sociales de l’université. C’est une jeune femme que l’on aime avoir dans son entourage; sa présence est douce et rassurante. Et, peut-être qu’on se sent plus à l’aise avec quelqu’un qui ne peut pas nous juger par notre apparence...

Julija est réellement une magnifique jeune femme. Les traits teintés d’une tendresse authentique, tout en symétrie, une mâchoire délicate  se terminant par un menton doucement pointu. Son visage est bien encadré par des sourcils bien définis mais pas trop larges. Son nez est plutôt petit, son bout juste un peu pointu et retroussé. Elle a de jolies lèvres charnues, son sourire large dévoilant de belles dents blanches. Sa voix, bien que plutôt aigue, se brise parfois en de courts éclats rauques. On devine que ses yeux seraient d’un vert olive, mais ils sont brumeux de cataractes bleutées, donnant à ses yeux un aspect laiteux et opalin. Le tout est complété d’une épaisse chevelure châtaine claire et cendrée, ondulante en de belles boucles sur les épaules de la jeune femme, le plus souvent à moitié retenus sur le côté par sa pince dorée. Elle n’est ni spécialement grande, ni spécialement petite, et son corps bien que bien féminin, reste plutôt élancé. Elle ne choisit généralement pas ses vêtements, c’est sa mère qui lui envoie des paquets, mais sa garde-robe est assez variée. Et autant elle aime la sensation des robes, elle n’est pas confortable en jupe. Bien qu’elle sache marcher en talons, elle porte surtout, pour sa sécurité, des souliers plats.

L'étudiant séjourne-t-il au collège ou au village la semaine et le
   week-end? : Elle séjourne à l’université
   
L'étudiant possède-t-il un animal de compagnie? : Charles, son bouvier bernois, ses yeux, son ami.
   
Quel serait le patronus de votre personnage? Un gorille
   
Autre informations supplémentaires à fournir? : Au cas où  vous ne l’auriez pas compris encore, elle est aveugle, plus précisément suite à une forme très rare de cataractes qu’elle a développé lorsqu’elle était jeune enfant.