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 [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie

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MessageSujet: [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie   [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie Icon_minitimeMer 26 Juin - 9:50


Que diable fais-tu là ?

Car il faut vraiment que tu te le demandes, à finir dans la forêt avec McCallister. Cela vient certainement de pas mal de choses. Déjà, cette faculté, tu ne l'apprécies guère et encore moins les gens qu'il y a dedans. Il y en a bien des fragiles, comme Blondie qui s'est frottée à toi et qui s'en mord les doigts, ce qui te fait beaucoup rire et suffit en ce moment à te mettre de bonne humeur, de fil en aiguille ce sera aussi cet enfoiré d'O'Brady qui en prendra plein les dents. Le salaud a cogné fort mais ça n'a servi qu'à te rendre encore plus mauvais, tu te dis que tu as de la chance d'être grand et costaud, que ce vilain coup à ta mâchoire ne se voit déjà plus. Ces deux-là... Des vrais cas d'amour aveugle et profondément dégoûtant, que tu apprécies briser du bout des doigts. Le genre d'amour con qui résiste cependant, c'en est à vomir. Aussi les voir se fricoter devant ton nez au café t'as lessivé et tu te demandes si, le jour où O'Brady lui demandera de se jeter du haut d'une falaise, cette idiote de Lukeither le fera. Elle en est bien capable cette gueuse. Et encore ce n'était pas le pire. Quand tu discutais tranquillement avec ton frère, cette peste d'Elwood ne pouvait s'empêcher de creuser un trou entre vous deux. Dangereuse cette fille. Encore le courant aurait pu passer quand elle a voulu jouer la carte de la provocation, ce que ton joli jouet fait bien mieux à ton goût, mais elle a vite franchi une limite de trop. Menacer ton frère, puis entrer dans son esprit. Oh oui, tu étais enragé, pire qu'une bête, et la surprise mêlée à la peur qu'elle a ressenti quand tu as grogné et fracassé ce verre à ses pieds était jouissif. Tu aurais voulu lui tordre le cou, sentir ses os craquer sous tes doigts, mais ton frère comme toujours a voulu te calmer. Lui t'avait mis en garde contre McCallister, mais aujourd'hui ce discours sonne faux. Tu n'aimes pas Elwood, tu as déjà prévenu ton frère du danger, mais apparemment il n'a pas écouté, il joue même avec elle. Alors pourquoi toi tu ne savourerais pas aussi ta liberté ? Après tout tu apprécies la blonde platine.

Oui, d'une certaine façon. Elle ne se laisse pas faire, elle ne sombre pas dans ton jeu et essaie d'y résister, tu lui appartiens comme elle t'appartient. C 'est une relation étrange, si on peut appeler ça une relation. Ce jour-là, quand elle avait défait son corset devant toi, avec ce ruban qui lui chatouillait les seins, tu avais senti comme une envie monter en toi, un feu s'allumer dans ton bas-ventre, un instinc primaire se réveiller, pas seulement pour briser une vie, mais bel et bien par curiosité, par passion dévorante et empoisonnée. Tu avais voulu toucher sa chair, tu l'as même fait, a attrapé cette parcelle de chair tendre dans ta main, t'en es amusé, et l'a laissée remettre son vêtement. Trop de monde, pas assez d'ouverture. Tu t'es même demandé si elle voulait de toi, et à en juger par ses paroles, il semblerait que oui. Tu pensais même l'avoir déjà rendue accro avant de l'avoir touchée complètement et dans des positions plus charnelles livrées à la luxure.

Tu ne comprends pas trop pourquoi son visage t'es apparu quand tu as pensé à quitter le café pour te calmer. Ce fut comme une évidence et tu filais vers ta chambre pour attraper un morceau de papier, lui ordonner de te rejoindre le plus vite possible à la sortie de la fac. Fichues protections, tu n'as pas encore trouvé le moyen de pénétrer le dortoir des filles, bien que tu en ais des plans. Une semaine et le tour sera régler, tu pourras te glisser dans la chambre de McCallister, en virer les autres occupantes pour peu qu'il y en ait, et la dévorer. Comme le grand méchant loup. Le temps que ton hibou se heurte à la retrouver, tu espères qu'elle est dans sa chambre, la tâche sera plus facile. Tu juges que tu as le temps de prendre une douche, tes nerfs se détendent sous l'eau chaude mais tu maudis encore cette vile Elwood. Si quelque chose arrive à Alcide, elle sera la première que tu viseras. Et tu ne comptes pas finir à Azkaban à cause de cette histoire avec Lukeither, cette fille est de toute façon trop idiote pour découvrir la vérité. Mais ne devrais-tu pas mettre en garde McCallister aussi ? La prévenir que si elle fouine, tu la feras brûler ? Seulement si elle pose les mauvaises questions. C'est les cheveux en bataille que tu sors de ta chambre, un T-shirt et un jeans sont bien suffisants, pour ce que tu comptes faire, à l'endroit où tu comptes le faire, tu ne vas pas salir tes belles chemises. Bizarrement tu te dis que tu ne forcerais pas Hagie à le faire avec toi, pour une raison obscure, tu la tenterais tellement qu'elle serait bien obligée de dire mais tu sais d'avance qu'elle vas résister si tu essaies de le faire, tu penses avoir cerné le personnage. Pourtant vous en avez tous les deux envie, alors pourquoi passer des heures à se tourner autour en se lançant des provocations si vous pouvez obtenir de suite ce que vous voulez ? Si ce n'est pas elle, ce sera une autre, tu trouveras bien quelqu'un sur qui déverser ta fougue, mais Hagie reste ton principal jouet, celle qui t'amuse et t'attire le plus.

Tu te retrouves à l'entrée de la fac, la patience n'a jamais été ton fort mais pour elle tu veux bien faire un maigre effort. Tu sors ton briquet, en grille une, le cliquetis du métal semble t'apaiser autant que la flamme te fascine, le feu est tout un art. Quand tu la vois approcher, tu la dévores des yeux comme un dément en proie à une folie meurtrière et malsaine, tu recherches encore ce corset qui titille les sens de la demoiselle. Tu lâches un sourire amusé, décroches de ton mur et lui fais un signe de tête en direction de la forêt.

« Toi et moi. Là-bas. »


Tu ouvres la marche dans un silence, tes gestes et tes paroles sont plutôt éloquentes. Si elle n'a pas compris où tu voulais en venir c'est qu'elle est idiote, et surtout aveugle. La proximité charnelle ne vous a pas encore rapprochés que déjà quelque chose en toi hurle de la prendre, quelque part. Ça ne saurait tarder. Tu tournes la tête, la regardes de tes beaux yeux de nuit. Les siens sont mauves, surnaturels, ça aussi ça t'attire. Plus besoin de dessin. Celle la tu la veux et personne ne prendra ta place ce soir.


Dernière édition par Aelig Fearg le Dim 7 Juil - 7:34, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie   [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie Icon_minitimeDim 30 Juin - 11:43

Un homme, une femme, la nuit et le désir ardent qui les poussent l'un vers l'autre au danger qui émane de chacun. Pour une fois, tu avais trouver en lui le maître de tes désirs, et tu étais maîtresse des siens. Ultimes provocations, regards éloquents, un corset qui tombe, le douce brise chatouille tes seins avant de laisser place à une force mystérieuse, une caresse plus dure et enivrante. Tu lui laisse une ouverture, que tu refermes aussitôt. Tu l'invites, le pousse dans ses retranchements, brise une à une les limites du décent face à lui. Tu te lâches, dompte le monde qui t'entoure.

Tu rentres, là ton miroir te revois l'image d'une garce, d'une catin, cela t'amuse, te fais sourire. Tu t'allonges sur le lit et attends. Ce n'est qu'une question de temps, tu l'attends. Tes propre limites cèdent, tu as envie de lui, tu veux sentir sa chair t'appartenir. Le temps semble être une éternité, puis ton cœur bat de plus en plus fort, les mots écrit sur ce morceau de parchemin, allume en toi un désir encore plus ardent, encore plus perverse. Tu décides de te laver. L'eau ruisselle sur ton corps, imitant une caresse sensuelle, provoquant l'extase des sens. Tu laisses glisser ta main le long de ton bas ventre, puis caresse tes cuisses. La serviette t'entoures, moelleuse, tu pourrais refuser, rester là, mais ton corps n'en peut plus, il cri de désir, dangereux...

Tu attrapes ton corset que tu sert au maximum, laissant voir un décolté qui émoustillerait une poussière. Tu passes ensuite le long de tes jambes un jupette noir, que tu jugeais facile à enlever. Tu n'y allait pas pour le provoquer, non, cette fois ci tu y allait pour les plaisirs de la chair, les plaisir envoûtants, dangereux, mais excitants, qui rendait chaque parcelles de ton corps désirante. Tu étudie le cas, passes en revus le moindre détail de son visage, ce sont ses yeux qui reviennent, inlassablement, des yeux aussi troublant que la nuit. Ton cœur fait un bon, tu chasses cette faiblesse, et sort des dortoirs. Les filles se retournent à ton passage, scandalisées. Tu souris, pauvres idiotes, toutes à  courir après le grand amour. Un petite boule d'exitation se forme dans ton ventre, bientôt tu saurais tout d'elles, et tu pourrais les manipulées à ta guise. La manipulation... Tu espères secrètement que Fearg ne soit pas manipuler par toi, qu'il soit ce qu'il prétend. Ton estomac se noue, tu as peur, peur qu'il soit comme tous, qu'il soit faux avec toi, qu'il joue la comédie. Tu as peur de tenir à lui, tu as peur pour lui. Tu as peur qu'il soit gentil, attentionné, un garçon comme tant d'autre, tu veux qu'il soit différent, qu'il soit comme toi. Il te trouble, sème le doute en toi... Tu marches, perdue dans tes pensées.

Tu l’aperçois, ton désir prenant le dessus sur tes doutes. Il te montre la forêt d'un signe de tête. Pourquoi pas tu te dis. Tu le suis, il te lance un regard éloquent, un regard perverse, dépourvus d'amour, mais amplis de désir ardent de te posséder. Tes nerfs se détendent, il est monstrueux, toi aussi. Tu le laisse te prendre pour une inconsciente, un fille éperdue. Tu t'enfonces de plus en plus loin, les bois vous entourent, tout semble s'être arrêter. Tu t'arrêtes, il se retourne vers toi, le regard lubrique, tu plonge tes yeux mauves dans les sien avec intensité, t'avances, et le pousse au sol. Il se laisse faire. Tu enlève son t-shirt avec fermeter, puis fait dégrafe doucement le bouton de son pantalon. Tu lui attrapes les lèvres avec fougue, puis te relève, défait ton corset, et passe au dessus de lui, remontant ta jupe, pour laisser voir tes cuisses diaphane. Ton désir se repends avec puissance, lorsque tes lèvres attrape avec ivresse celle de Fearg...
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MessageSujet: Re: [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie   [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie Icon_minitimeDim 7 Juil - 7:34

Qui aurait crû que la petite Hagedorn soit aussi folle de toi ?

Ivre de désir comme la dernière fois où vous êtes retrouvés intimement enlacés, tu t'attendais comme toujours à ce qu'elle te laisse venir pour que tu puisses mieux la posséder ensuite. Erreur de calcul puisqu'elle te pousse contre le sol. Tu évalues les risques, ce n'est pas souvent qu'on prend le dessus sur toi, aucune fille ne l'a jamais fait d'ailleurs, et tu es tiraillé entre la blessure à l'ego qu'elle vient de t'infliger et une excitation nouvelle que tu ne connaissais pas qui s'infiltre dans tes veines. Adrénaline, phéromones ou même hormones, tout cela se mêle et forme un joli cocktail qui t’incite finalement à te laisser faire. Tu te laisses tomber sur le sol dur et frais de la forêt qui vous entoure. Elle semble pressée, ça t'amuse, tu n'as encore rien fait de bien décisif que déjà tu sens qu'elle n'en peut plus. Elle saisit ton T-shirt et le retire alors que le bouton de ton jeans saute à son tour. Déjà une bosse s'est formée au creux de ton pantalon, tu te sens brûler et tes sens s'affolent, tu n'as jamais été très patient. Elle t'embrasse, tu lui mords presque la lèvre sous le coup de l'enjouement et tes instincts primaires reprennent le dessus. Tu ne seras pas doux, tu ne seras pas tendre, tu l'as prévenu, elle sait à quoi s'attendre. Tu laisseras des marques sur sa peau, des morsures au creux de son épaule, la prendra si fort que tu ne t'arrêterais que lorsque tu la sentirais plier.

Elle est sur toi pour de bon cette fois. Il fait froid mais vos deux corps semblent si chauds qu'ils sont comparables à la braise, ce genre d'images et de métaphores te rendent encore plus confiant. Elle est rapide, et toi tu n'en peux déjà plus. Non pas que tu sois traînard, mais souvent tu aimes prendre ton temps et savourer la peur mélangée à l'excitation dans les yeux de ta victime. Or aujourd'hui tu n'as pas de victime, Hagie est ton petit jouet et tu as comme l'impression d'avoir gagné la bataille ce soir. Elle défait son corset et tu ravales ta salive, te redresse légèrement et saisit ses seins blancs, fermes, qui n'appellent que toi d'une poigne peu douce et décidée, tu en pinces les orifices qui se tendent sous tes gestes et lorsqu'elle relève sa jupe, tu n'as qu'une envie. Ta main libre se glisse contre l'une de ses cuisses gelée par l'air de ce mois de Novembre, qu'elle n'ait pas peur, tu la réchaufferas bien vite. Tes doigts se glissent cette fois sous sa jupe, rendus fous par votre proximité. Ils saisissent son sous-vêtement et ne lui réservent pour seul traitement un déchirement sans appel, ainsi le vêtement ne formera plus une barrière entre vous. Tu serres sa taille, la rapproche de toi, si bien que même sous ton jeans, ton membre cogne contre son bassin et t'arraches un grognement grave. Elle t'embrasse de nouveau avec passion, cette passion dévorante qui vous maintient l'un contre l'autre. Tu sens sa langue demander la tienne qui se cache et qui finalement s’entrelace avec elle, tu la sers plus fort, contre toi.

Une fois que tu sens sa poitrine nue s'écraser contre ton torse, tu saisis sa gorge et la fais reculer, un sourire joueur sur les lèvres. Et si tu la faisais attendre encore un peu ? Tu la fais basculer et la plaques contre le sol, te saisit de ses poignets d'une seule main et les bloque au dessus de sa tête. Là, le dessus sur la blonde platine repris, tu penses à tous les vices que tu peux lui faire et à la façon dont tu peux la faire enrager. Ta langue revient sur sa poitrine et la recouvre d'une fine salive brûlante, tes ongles défilent le long de sa peau pure et douce jusqu'à ton intimité, tiède, humide, que tu malmènes de tes doigts longs et fins. L'un deux vient en elle, puis un autre, tu lances le bal, les remue et savoures la prise que tu as sur elle. Mais ta patience a des limites et tu la veux, sur le champs. Un fin tissu la sépare de toi, mais tu aimerais voir si elle va te demander de l'enlever pour conclure tout ça. Te supplier même, ce qui pourrait te donner encore plus envie. Tes yeux noirs se plongent dans ses jolies prunelles. Tu te sens fiévreux, fin près, tu sens presque le sang jaillir dans tes veines à un rythme régulier et effréné.

Elle est à toi, tu n'attends qu'une seule chose : Qu'elle te demande en elle.
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MessageSujet: Re: [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie   [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie Icon_minitimeLun 15 Juil - 12:55

Il se laisse faire? Non bien sûr, c'est ce qu'il essaie de te faire croire, alors tu relâche ton emprise, pour le laisser avoir la sienne sur toi. Sa t'amuses, sa t'excites, ton désir est brûlant, et pourtant...

Il passe au dessus de toi, il te domine. Tu sens qu'il n'en peut plus, toi non plus. Ce n'est qu'une question de minutes avant que vos deux corps aussi chauds que la braise, ne forme plus qu'un seul et unique corps. Tu le vois à ses gestes, il saisit tes sein, tu le laisse faire, il passe ses mains sur ton corps, tu le laisse, ses doigts ne font que rendre ton désir plus fort. Tu sent une bosse au creux de tes cuisses, dure, avide de rencontrer l'antre qui s'est ouvert pour elle...

La main de Fearg glisse un peu plus vers cet antre, avant dans saisir une des ultimes séparations qu'est la fine dentelle qui te servait de barrière à ton désir, et l'arrache sans ménagement. Tu ressens la dentelles se déchirée de façon brutal, ça te plait. Tu sens encore plus l'organe du plaisir de Fearg toujours protéger d'une fine couche de tissus, l'ultime barrière à vos envies. Ton désir palpite entre tes cuisses avec le sien.

Tu comprends alors, qu'il commence à vraiment te dominer. Tu réfléchis quelques instants, puis entreprends le jeux le plus dangereux que tu es eu à entreprendre, mais ton préféré. Tu passes ta main au creux de tes cuisses pour toucher la fine séparation qui vous empêcher encore d'assouvir votre désir. Tu caresse doucement le tissus tendus, avant de retirer ta main pour qu'elle entame un balais incessant et envoûtant de caresse aux creux de rein du jeune homme, tout en re serrant la pression de tes cuisses autours de la taille de celui ci. Tu ne céderais pas à la tentation de détruire la prison de votre désirs, non. Tu serais capable de résister à en arriver au point de non retours. Fearg avait beau essayer de te dominer, bien que sur certains point stratégique oui, tu le dominerais dans son désirs, le poussant à ses retranchements, excitant son désirs au point qu'il ne puisse plus céder à la tentation primaire, qui fait de lui un homme. Cependant tu n'avais jamais encore sentis ce désir brûlant de posséder dans ton corps cet homme. Tu savais qu'il serait pas tendre, limite peu être bestial, mais tu voulais le sentir en toi. Mais pour cela, ce serait à lui de te céder, non à toi.
Tu es tétue, tu l'excites, tu fait mine de lui céder un instant avant de remettre ton emprise sur lui. Votre jeux dure depuis un moment sans que ni l'un ni l'autre ne cède. Cela vous plaît et vous amuse. L'autre vous rend fort un instant puis faible et ainsi de suite. Tu sais que tu ne cédera pas, tant qu'il ne cédera pas, mais ton désir te brûle de plus en plus, tu sens malgré le froid, que ton sang brûle tout ton corps, son corps aussi brûlant que le tiens sur toi, t'amuse . Ultime provocation, pour le convaincre de briser l'ultime barrière de leur désirs, tu remonte doucement ta main vers sa nuque, lui caresse un instant avant de la placer en dessous de son menton,  et le relève, séparant vos lèvre de l'étreinte avide qu'elles avaient entreprise. Tu plonges ton regard ardent dans le siens avant de susurrer :
« Tu as peur ? »

Tu attrapes ses mains qui t'agrippe, pour les placer très bas sur tes hanches, avant de re basculer, pour te trouver au dessus de lui. Tu commences à te pencher sur son torse, posant délicatement tes lèvres pour qu'elles étreignent chaque parcelles de sa peau. Tu descend au niveau de cette bosses que fait le membre du désir de Fearg. Tu t'arrête un instant regardant cette bosse, que tu veux sentir dans ta chair, relève les yeux, croisant le regard obsidienne ampli de désir de Fearg... Ton corps replonge sur Fearg dans une caresse torride, l'antre de tes cuisses se replaçant sur cette palpitation excitante, qui ne demande qu'à être libérée, pour rejoindre ton corps brûlant.

Tu recroises le regard de Fearg, étonné, et frustré. Il croyait que ta chair prendrais le dessus, et qu'il pourrais te posséder aussi facilement. Tu joues, tu le domines maintenant, il ne sait plus quoi penser. Vous vous regarder longuement, tu le défie du regard, lui aussi. Vos corps n'en peuvent plus, vous avez dépasser les limites du supportable, vos corps vous dicte l'acte, mais vos esprit vous dicte la domination mutuelle. Vous comprenez tout deux qu'aucun de vous ne se soumettra à l'autre. Tu as envie de lui... Tu as compris, que tu te tenais sur un homme digne de toi, digne de te posséder comme tu le possède à ton tour. Les lois de l'esprit se taisent enfin dans ces deux corps brûlants. Tu retires doucement le sous vêtement qui retenait prisonnier le désir de Fearg, et t'allonge à ses coté, attendant que vos corps ne forme plus qu'un seul et unique désir...
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MessageSujet: Re: [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie   [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie Icon_minitimeVen 19 Juil - 16:53

Impossible de ne pas serrer les dents. Après tout tu savais qu'avec McCallister rien ne serait facile, c'était même évident. Tu ne sais par quel miracle elle sut se défaire de tes mains, mais elle vient te caresser à ton tour, tu grognes, tu acceptes difficilement qu'on veuille prendre le dessus sur toi, même si ça ne tient qu'à quelques caresses. Elle t'embrassa avidement, tu sentais sa langue entrelacer la tienne sans aucune douceur, la passion vous montait tant à la tête que ces assauts étaient sauvages, presque maladroits d'une envie dévorante et incontrôlable. Le pire étant qu'elle attrapes ton menton pour oser te dire que tu avais peur. Le grognement que tu lâchas à ce moment là n'était pas dû à quelque sensualité que ce soit et tes dents serrées se retroussèrent légèrement l'espace d'un instant. Elle te plaque de nouveau sur le dos, tes poings se serrent, elle met à mal ta patience et ton ego, tu n'aimes pas ça du tout. Pourtant tu te ravises à la repousser sous sa bouche et ses caresses, qui te donnent presque le tournis. Il fait vraiment froid dehors mais tu t'en fiches bien car tu as l'impression de te consumer sur un immense bûcher en compagnie de cette vilaine sorcière. Elle te défie du regard sans cesse et tu te bats avec toi-même pour rester le plus calme et le plus impassible possible, tu ne lui donneras certainement pas l'occasion de se dire qu'elle a eu le dessus ou qu'elle te manipulait à sa guise. Elle finit de te déshabiller, libérant ainsi tout ton être qui sous l'effet du vent frais s'était encore plus réveillé.

Ce qui t'étonnes, après tous les efforts qu'elle a fait pour te faire rager, c'est qu'elle s'allonge à tes côtés, ce qui lui donne une allure docile. Tu te serais presque attendu à ce qu'elle te dise qu'elle te voulait, mais elle n'en fait rien et cela te fait bouillir encore plus. Là, tu veux juste prendre ton pied en la dominant et en lui faisant regretter d'avoir cru possible qu'elle pouvait se montrer plus forte que toi. Tu te mords la lèvre, t'accordant un instant de répit pour la regarder de tout son long. Il te semble que son regard soit plus qu'éloquent. Tu te dis qu'il serait fort amusant de la punir, de prendre tes affaires et de partir, pour la laisser frustrer et nue en pleine forêt, en plein hiver, mais le problème étant que tu es tout aussi retourné qu'elle et que tu ne penses pas être capable de tenir jusqu'à la faculté sans mettre fin à tes désirs seul, sauf que tu ne t'abaisseras jamais à ce genre de pratique, surtout quand une fille fin prête se tient à tes côtés. Tu ravales un minimum ton ego et passe au dessus d'elle avant de saisir ses cuisses sans aucune douceur. Elle t'a cherché, et elle était prévenue dès l'instant où elle t'a rencontré, elle sait à quoi s'en tenir.

Tu ne te fais pas prier et la pénètre sans plus de manières, ton membre entre ses hanches qui remontait et cognait avec violence contre son bas-ventre, accompagné du râle que ta voix laisse fendre le silence de la forêt. Tu la sens étroite, chaude, le sang te bat aux tempes autant qu'il fait palpiter ton sexe en elle. Tu ne lui accorde aucun répit d'entrée de jeu, commence le jeu, la prends fort, vite comme tu voulais la prendre à chaque fois qu'elle te provoquait, pour te nourrir de ses gémissements voire de ses cris que tu espères ne pas tarder à faire venir. Tu peux enfin te lâcher, y aller aussi bestialement que tu le veux, elle ne t'en voudras pas. Tu laisses parler la bête en toi, saisit toujours plus fort ses hanches jusqu'à marquer ses hanches qui en deviennent plus blanches encore, puis rouges, elles seront certainement bleues ou violettes le matin suivant. L'attente a été trop longue et tu n'es pas sûr de résister bien longtemps. Tu te redresses sur tes deux bras aux muscles tendus à souhait pour t'éviter de lui attraper une clavicule avec trop de violence au risque de lui casser, même répit pour ses côtes. Tu juges que la violence de tes vas-et-vients et déjà suffisante et que tu as beau avoir toujours agi ainsi, elle est ton jouet. Et casser ses jouets ce n'est bien. Ses reins te semblaient fragiles soudain, elle, cette petite colombe aux yeux mauves et au cœur de vipère, elle avait des allures de poupée de porcelaine et tu t'en voulais presque de lui infliger un tel traitement.

Mais l'heure n'était pas à la pensée mais bien à l'acte que tu menais avec expérience et savoir-faire, car si on peut te reprocher d'être violent, on ne peut pas dire que malgré tout tu apportes aux femmes du plaisir. Du moins à en juger par les réactions de la belle, tu n'en doutais pas un seul instant. Tu étais maître de son plaisir, maître de son corps.

Elle était à toi.
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MessageSujet: Re: [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie   [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie Icon_minitimeSam 20 Juil - 11:34

En t'allongeant tu savais bien que ton corps en porterais les marques bien après. Ton désir brûlant accolé à celui de Fearg allait être d'une violence inouïe, mais tu t'en fichais. Cela ne serait que bénéfique, car cela faisait bien longtemps que tu n'avais pas pris de plaisir avec un homme. Longtemps, deux mois, mais bon...

Il te regarda un instant, tu crus durant ce brève intermède qu'il allait prendre ses jambe à son coup, mais il n'en fut rien. Il pris tes cuisses, violemment, et ce fût l'accomplissement. Bien que la pénétration fût rude en toi, et qu'il ne ménageait pas ses geste, limite bestiale, voire pis, tu commença à sentir en toi ce sentiment de plaisir intense. Tu sentais dans ton cou son souffle chaud, rapide, saccadé par ses mouvement intense et violent. Une douleur, surpassée par ton plaisir, vint dans l'antre de tes hanches. Il te faisait mal, mais cela te procurais une intense satisfaction.

Tu fermes les yeux, le froid te saisis sur le corps, mais un chaleur intense chatouille ton bas rein. Tu frissonnes, tu souffles et inspires bruyamment, mais ne décroche pas un seul gémissements. Pourtant tu as envie de hurler ton plaisir, qui s'accroît à chacun de mouvement de Fearg en toi. Tu croises un instant son regard, tu croises une lueur de plaisir sexuel, partagé. Puis l'accomplissement finale de l'acte approche, l'ultime plaisir, celui qui procure cette sensation d'euphorie. C'est ensemble que vous l'atteignez, ce plaisir t'arraches un gémissement de satiété intense, ton sexe est en feu, proie à le douleur et à l'excitation de l'orgasme. Il se dégage de tes cuisses, et reste un instant à tes coté, le souffle court. Tu souris, tu te lève puis attrapes ta jupe sans un mot. Tu l'enfiles avec sensualité. Puis tu prends ton paquet de cigarette, et en grille une. Le buste nu, tu t'assois sur une souche.

Tu observes le corps de Fearg. Svelte, pas trop musclé, parfait. Il se rhabille vite, enfilant son pantalon en un clin d'oeil. Tu continus de le regarder, ton esprit s'évadant dans les volute du vide. Il se tourne vers toi, tu te lève, et lui tends le paquet de cigarettes:

"T'en veut une avant de partir?"


désolé:
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MessageSujet: Re: [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie   [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie Icon_minitimeSam 3 Aoû - 13:16


Ce fut rapide, bref, intense, violent. Comme un coup de poing dans les côtes, comme un orage dans le bas-ventre. Ses hanches contre les tiennes, son intimité cognant contre ton membre durci de plaisir et d'avidité. Tout ça est encore surprenant pour toi, la vitesse à laquelle cette femme grimpe de plaisir avec toi. La première fois tu t'es laissé surprendre, à la façon dont elle avait de toujours vouloir aller plus vite et plus fort, de s'emballer en un rien de temps. C'est ça qui t'avais plu chez elle, la façon dont elle avait de ne pas pouvoir te résister. Mais cette fois, ça n'a rien de très satisfaisant bizarrement. Tu prends plaisir certes, mais tout ça a finalement quelque chose de plutôt mécanique ce qui te bloque un peu. Tu voudrais, tout en gardant ta puissance, ralentir pour faire perdurer ce moment mais tu sens le sexe de la jeune femme se resserrer sur le tien, sans cesse, son corps se cambrer et sa voix partir dans le seul silence agressé de vos halètements. Tu voudrais bien résister mais la sentir serrer et serrer encore t'en empêche. Quand tu la sens définitivement, tu décides de lâcher prise, tant pis pour tes heures de plaisir qui se résument à un seul quart d'heure, comme si dans ta tête, la chose, aussi plaisante soit-elle, avait été bâclée. Mais tu te rassures en te disant que tu es arrivé à tes fins, qu'elle y a pris du plaisir et que toi aussi.

Le silence te pèse, après t'être retiré d'entre ses cuisses, elle se relève, enfile sa jupe sans rien dire et tu la regardes du coin de l'oeil. Le clair de lune l'embellit mais tu lui en veux presque de ne pas t'avoir laissé t'amuser plus longtemps que cela. C'est peut-être le gros défauts de ce genre d'ébats, violence avant tout et plaisir s'il veut bien suivre. Pour peu que la demoiselle en face ne soit pas trop endurante, tu n'as pas fini de faire la gueule. Quand bien même tu te relèves et cherches tes fringues pour les enfiler, sans ajouter plus de mots qui ne pourraient la blesser ou lui laisser entendre qu'elle n'est pas un bon coup. C'est juste différent, assez bizarre, pourtant tu as l'habitude d'être aussi bestial, mais peut-être est-ce parce que Hagie n'est pas n'importe quelle cruche qui crie au viol dans ces cas-là. Il te faut apprendre à la connaître et à réagir en conséquence. Une fois habillé tu te tournes vers elle alors qu'elle vient te proposer une cigarette que tu prends volontiers. Tu la grilles sans plus de retenue ou sans même trop la savourer, les yeux perdus vers le ciel. Dans quelques instants vous vous séparerez mais tu n'as pas envie de jouer les gougeâts. Alors tu fais un effort et lui souris en coin.

« On remettra ça bientôt. »


Tu termines ta clope, la balance, et l'écrase du bout du pied. Tu lui voles un baiser sans plus de cérémonie, après tout entre vous, ce n'est pas l'amour à la bisounours, il n'y a même pas d'amour du tout. Réflexion faîte tu vas encore traîner dans la forêt un moment, ça te fera du bien. Tu lui fais un petit signe de la main, et repars dans ton coin en sifflotant.
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MessageSujet: Re: [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie   [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie Icon_minitimeMar 6 Aoû - 4:45

Tu le regarde fumer sa cigarette à une vitesse fulgurante. Tu le trouves assez beau, mais tu ne lui dit pas, son ego est déjà assez surdimensionné comme ça! Il te voles un baiser, furtif, sans façon. Tu te rappelles ses mots, mais dans ta tête la réponse était presque cinglante. Tu te garda bien de la faire sortir d'entre tes lèvres. Non, tu restes silencieuse. Cette expérience avait été trop courte, sans manière, bestiale... Bien que tu n'aimais pas les façon, les préliminaires et compagnies, tu t'attendais pas à une relation aussi bestiale que douloureuse. Ton bas ventre était meurtris, une douleur commençait à s'y installée, tu n'appréciais même plus le moment que tu venais de vivre.


Tu attrape ton corset que tu remets sans peine. Tu repenses à toute la scène et réalise que autant l'un que l'autre avait accepté cette situation, et qu'il n'y avait personne à blâmer. Et même si, tu te serais sans doute garder de le faire remarqué. Fearg n'était effectivement pas un ange, ni un homme assez prompte a avoir vent de se genre de remarque sur sa façon de s'y prendre avec ses jouets, sans réagir de façon atroce.


Tu marches tranquillement dans la forêt, perdue dans se déluge de pensées. Tu pensais pas remettre ça, du moins pas de cette façon. Tu n'étais pas une chose, ni même une bestiole que l'on pouvait prendre n'importe où n'importe comment. Ce n'était pas ce qui s'était passé dans la forêt, mais presque. Et cela ne te donnais pas envie de recommencer de si tôt... Avec personne d'ailleurs. Fearg si il était lucide devait penser la même chose. Tu espérais que votre prochaine escapade serait mieux, mais au fond de toi, tu te disais que Fearg réitérerais la chose. Il te prendrait pour une catin qui ne cherche qu'a se faire prendre comme une truie. Se serait à toi, à toi seule d'imposer qu'il soit un peu moins abrupte.


La force du désir que vos deux corp ne face plus qu'un avait totalement disparut. Tu t'en voulais presque d'avoir réagis ainsi. Tu aurais voulut que cela dure, et que cela soit moins bestiale...La façade de St Barnaby montra le bout de son nez, et tu t'y engouffra telle une ombre. Lorsque tu gagna ton dortoir désert comme à son habitude, tu écrit ces mots sur un parchemin, et l'y envoya chez le jeune homme que tu avais tant désiré pour ton plaisir, égoïste.


"Faut qu'on parle..."
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MessageSujet: Re: [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie   [S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie Icon_minitime

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[S] Les papillons qui se brûlent les ailes | Hagie

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