Paxton Jones

 Pain is only relevant if it still hurts.
 

INFORMATIONS PERSONNELLES

   
Nom : Jones
   
Prénom: Paxton « Pax »
   
Date de naissance : 23 mars 1954
   
Lieu de naissance: Londres, Royaume-Uni
   
Citoyenneté(s):Anglaise
   
Statut Sanguin:Sang-simple
   

   

INFORMATIONS SUR LA BAGUETTE

   
Sa baguette mesure 30,2 cm et elle est faite de prunellier. Celle-ci contient une plume de vivet doré. Sa baguette est vieille, elle appartenait à un de ses grands-parents ou même arrière-grands-parents, elle n’en est pas certaine. Bien qu’elle se serve très bien de sa baguette, Paxton ne la traîne pas sur elle en permanence, comme la majorité des sorciers. Elle préfère de loin faire de la magie incontrôlée seule, toutefois, comme il est impossible de lancer de bons sorts sans baguette, elle ne quittera jamais sans celle-ci lorsqu’il y a possibilité qu’elle doive absolument l’utiliser. Elle tente quand même, secrètement, de développer toujours et plus sa capacité à lancer des sorts sans baguette.
   

   

   

FORMATION ACADÉMIQUE

   
École élémentaire:Poudlard
   
Résultats des ASPIC:Si son caractère est absolument insupportable et difficile à endurer, ça n’a jamais fait d’elle une élève moins studieuse. Pax a toujours très bien réussi dans ses cours, à l’exception des cours de potions et botanique, dans lesquels elle était absolument nulle. Cependant, considérant les notes remarquables obtenues dans les autres cours et aussi, le fait qu’elle déteste absolument la botanique et tout y étant relié, elle ne s’est jamais réellement sentie mal de ne pas bien réussir ces deux cours. Bien qu’elle ait bien réussi les cours de divination, elle ne trouve pas ce domaine très passionnant. Ce qui l’intéressait, c’était les cours de Sortilèges, Défense contre les forces du mal et de Vol surtout.


 
Domaine d'études & cours à option choisi: CEART. Elle prend Psychomagie comme cours au choix.

Année d'Étude en cours: 5e année de la Maestria
   
Cours Optionnel hors programme: Magies du monde
   
Aspiration(s) académique(s): Elle hésite entre Tireur d’élite de la brigade magique et Auror. Son choix devrait se faire prochainement, ce n’est qu’une question de détails, à ses yeux.
   
Extra-scolaire et implications: Rien qui soit digne de mention, vraiment.
   

   

   

SITUATION FAMILIALE

   
Paxton n’entretient pas de relation avec ses parents, ni avec son frère aîné. Celui-ci demeure en hôpital psychiatrique, il est dangereux et en réalité, il déteste sa sœur. Quant à ses parents… Elle a complètement coupé les ponts lorsqu’elle est arrivée à Poudlard et ça ne les a pas tant dérangés. Pax demandait une attention très particulière lorsqu’elle était enfant, tout simplement parce que la maladie de laquelle elle souffre est dangereuse. Comme elle n’a jamais ressenti la douleur, comme enfant, il était difficile de s’assurer qu’elle n’était pas malade, qu’elle ne s’était pas blessée, qu’elle faisait attention. Bien qu’il l’aimait, la pression mise sur eux ne fit que grandir avec les années et bien vite, ils étaient exténués et ne voulait plus avoir la responsabilité. Sans compter que rendue à un certain âge, la demoiselle a commencé à faire moins attention, à se blesser plus souvent et ainsi, à risquer de nombreuses conséquences.

Georges, le père, travaillait au niveau des relations publiques avec les moldus et Martha, la mère, restait à la maison. Son frère, Domenick, est âgé de trois ans de plus qu’elle et elle ne l’a pas vu depuis ses 9 ans. Parfois, elle se surprend à se demander s’il a été guéri, puis elle se souvient de toute les fois où il l’a poussé à se blesser, pour son propre amusement.

La jeune femme n’a jamais vraiment été en contact avec la famille éloignée, celle-ci étant plutôt minime. Ses grands-parents sont décédés alors qu’elle était enfant et bien qu’elle sache posséder quelques cousins, elle ne les connait pas. De toute manière, même si elle connaissait d’autres membres de sa famille, elle aurait coupé les ponts avec eux. Elle ne veut rien avoir à faire avec ces gens.
   

   

   

   

VOTRE PERSONNAGE EN QUELQUES MOTS

   

   
Il aime:
 

     
• Avoir la paix

     
• Boire n’importe quoi, tant que ça assomme.

     
• Lire

     
• Aller en cours

     
• Fumer. Jamais elle ne cesserait de fumer.

     
• Son chaton, Sire Kittycat, Duke Lord of Meowtown.

     
• Les fraises

     
• Les fruits de mer

     
• Nager

     
• Ne pas se sentir restreinte, être libre de tout

 

   
Il n'aime pas:
 

     
• Qu’on la touche sans sa permission

     
• Qu’on s’approche sans sa permission

     
• Les gens énervés

     
• Les gens qui parlent trop

     
• Les gens trop sympathiques

     
• Les gens en général

     
• Les poires

     
• Le céleri

     
• Perdre le contrôle d’elle-même

     
• Avoir à interagir

 

   

   
Les cinq objets dont votre personnage ne peut pas se passer:
 

     
• Ses cigarettes

     
• Son zippo

     
• Une bouteille d’eau

     
• Des potions destinées à calmer certains symptômes de sa maladie

     
• Plus de monnaie que ce qui semble nécessaire

 

   

   

   

   

DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE

   

   
Décrire Paxton est compliqué. Bien qu’elle laisse transparaître une personne simple, la vérité est bien plus difficile que cela. Paxton Jones est affligée d’une maladie rare, d’origine génétique qui en plus d’avoir des répercussions au niveau physique, a complètement modelé sa personnalité et son esprit. Cette maladie, l’insensibilité congénitale à la douleur (CIPA en anglais), fait en sorte qu’elle ne ressent absolument jamais, sur tout son corps, de la douleur. Évidemment, le tout a toujours été difficile à gérer, simplement parce qu’elle ne comprend pas la douleur physique et que ressentir de la douleur psychologique lui semble être insupportable. Toutefois, il serait faux de dire qu’elle est aussi indifférente qu’elle semble. Sa tête est un constant tourbillon d’émotions incomprises, qu’elle est incapable d’interpréter et qu’elle préfère ignorer, même en sachant qu’à un certain moment, elle ne fera qu’exploser et devenir complètement cinglée. Comme les gens ne sont pas dans sa tête, voici ce qu’on croit en la voyant, en lui parlant ou en l’écoutant : c’est une sans-cœur froide, haineuse et possiblement folle. Il faut vraiment aller plus en profondeur pour comprendre que son être est complexe.

Si elle passe normalement pour ce qui fut dit précédemment, certaines personnes argumenteront en disant qu’en réalité, c’est une folle furieuse, emplie de rage et prête à tuer pour se venger. Ce n’est pas totalement faux, mais ce qu’il faut considérer, c’est qu’elle ne perd le contrôle d’elle-même qu’à de très rares occasions et qu’elle ne deviendra certainement pas violente seulement parce qu’elle est en colère.

Il y a autre chose à considérer et c’est le fait qu’elle ne se permet que très rarement de ressentir du plaisir. Lorsqu’elle s’est aperçue qu’elle n’était pas capable de gérer les émotions reliées aux sensations tactiles, elle s’est forcée à se désensibiliser. Bien qu’elle puisse physiquement ressentir toute sensation tactile (incluant la douleur, la maladie fait en sorte que son cerveau y est cependant indifférent et donc que ce n’est pas perçu comme étant de la douleur), elle s’est psychologiquement convaincue de ne pas les ressentir. Elle sait lorsqu’elle devrait avoir une bonne sensation, mais ça ne veut rien dire vraiment pour elle. Dans sa tête, ce n’est rien. Certaines drogues font en sorte qu’elle sort de cet état, mais ce sont des drogues qu’elle consomme uniquement lorsque c’est ce qu’elle recherche, pour une aventure d'un soir. D'ailleurs, il est approprié de mentionner qu'elle a des aventures d'une nuit, mais le tout se limite exactement à ça. Jamais elle ne dormira dans le même lit que quelqu'un, dans le but de se donner des caresses et d'être affectueuse.

   

   

DESCRIPTION PHYSIQUE

   

   
Bien qu’elle soit jolie, l’Anglaise n’a pas un visage typiquement féminin. Ses traits sont plutôt carrés, sa mâchoire droite et son regard dur, sans qu’elle n’est des airs d’homme pour autant. Ses lèvres sont généralement bien rouges, sans qu’elle n’y mette de couleur et lorsqu’on les examine de près, on peut clairement y voir de petites cicatrices, conséquences caractéristiques de l’insensibilité à la douleur. Son corps comporte de nombreuses cicatrices, mais elles ne sont pas particulièrement visibles, puisqu’elle a souvent été soignée par des guérisseurs ou des médicomages qui étaient en mesure d’en diminuer l’apparence. Ses cheveux noirs sont frisés, plats, ondulés… Bref, ils dépendent de combien de fois elle se donne la peine de les brosser et de d’autres facteurs, comme l’humidité. Ils ne sont pas trop longs, normalement juste sous ses épaules et elle les attache presque en permanence. Ses yeux verts émeraude sont encadrés de longs cils noirs, dans lesquels elle met du mascara et ses sourcils tiennent une arche sévère presque en permanence.

Au niveau de sa grandeur, elle fait dans la moyenne, soit  1 mètre 65. Quant à son poids, Paxton n’est pas maigre. Elle comporte des formes, a une taille svelte, mais ses muscles sont peut-être un peu plus développés que la majorité des demoiselles. Elle s’entraîne, se garde en forme comme elle le peut, mais elle ne veut pas ressembler à une culturiste. Ses muscles sont fins, suivant harmonieusement les courbes de son corps, sans sembler de trop. Sa poitrine est appropriée pour sa taille et ses hanches ne la feront jamais passer pour un homme.

   

   

HISTOIRE

   
Ma vie a toujours été étrange. Quand je ferme mes yeux et que je revois mes souvenirs, c’est tout le temps bizarre. C’est comme un film que je regarde, dans lequel je ne participe pas, qui ne fait que défiler devant moi. Ça ne me dérange pas, ça me laisse indifférente. Tout me laisse indifférente, de toute manière. Je m’en fiche un du monde, des gens. Je m’en fiche du passé, de maintenant. Ça me laisse froide. Pourquoi ça devrait m’affecter? C’est pas comme si je sentais quelque chose, c’est pas comme si j’avais mal. Une fois, il y a quelqu’un qui m’a dit que si on ne sent pas la douleur, ça doit vouloir dire qu’on ne ressent que du plaisir. Il avait tort, tellement tort.

Quand j’avais 8 ans, mon grand frère m’a dit que si je sautais de la fenêtre de ma chambre, au premier, je serais comme un des superhéros moldus, comme dans les bédés que papa lui avait acheté. Je pourrais voler, sans un balai, juste comme, puisque que j’étais si spéciale. Évidemment que je voulais voler, que je voulais lui faire plaisir. Toutefois, il m’avait menti. Il m’avait menti, parce que ce qui est arrivé quand j’ai sauté du premier, c’est que je me suis écrasée sur le sol, directement dans la plate-bande de maman. J’étais correcte, à part pour l’os de ma jambe qui sortait à un angle étrange, mes doigts qui semblaient plier du mauvais côté et le petit peu de sang qui coulait de la plaie sur mon crâne. Ce n’est pas ça qui m’a fait pleurer lorsque je me suis retrouvée à Sainte Mangouste. Ce n’est pas la crise de panique de ma mère, ni l’urgence évidente de la situation. Je n’en avais rien à faire de ça. Ce qui m’a fait pleurer (sans larmes d’ailleurs, je n’ai pas la capacité de produire des larmes), c’est le fait que mon frère m’a regardé alors que j’étais sur le sol, a ri et m’a dit que je devais être vraiment idiote de penser que je pouvais être une superhéro. Que peut-être que si je m’étais cassé le cou, tout le monde irait mieux, que maman et papa n’auraient pas à toujours s’inquiéter et s’occuper de moi. Qu’ils n’auraient plus à s’assurer à chaque matin que je prenne les potions destinées à limiter un peu mes symptômes (c’est que ça devient vraiment déplaisante de devoir s’assurer de ne pas surchauffer, simplement parce que le corps est incapable de suer). J’ai compris que j’étais de trop à ce moment-là. J’étais un fardeau. Le médicomage qui s’est occupé de moi a trouvé ça étrange que mon frère fasse cela et bien vite, ils ont découvert qu’il était complètement cinglé.

Mon frère a été interné, parce qu’il avait des tendances un peu psychopathes. Personnellement, j’étais triste, puisque malgré tout, c’était mon frère et je l’aimais. Cependant, quand mes parents m’ont emmenée pour le visiter, il a essayé de me crever un œil avec un crayon. Il me détestait et lorsque je l’ai vraiment compris, j’ai su ce que c’était d’avoir mal. J’ai détesté le sentiment et à partir de ce moment-là, j’ai décidé que c’était mieux de ne rien ressentir du tout. Je me suis conditionnée à être repoussée par tout sentiment faible.

Lorsque ce fut le temps de quitter la maison pour aller à l’école, c’était un excellent moment. Mes parents me détestaient, je le sentais. C’était de ma faute si leur bébé était un dérangé dangereux. J’étais l’erreur dans le tableau et vraiment, j’étais plus qu’heureuse de faire du vent.

J’ai traîné avec de la rapace, avec les gens de mauvaises réputations tout au long de l’école. J’ai profité de mon insensibilité, je me suis endurcie. J’ai fait des choses que je regretterais si j’en avais quelque chose à foutre. Je suis devenue dangereuse, j’ai appris que je n’avais pas besoin de m’inquiéter de moi-même, puisque de toute manière, rien ne pouvait me faire mal. Alors que j’étais prudente lorsque jeune, j’ai commencé à faire sans prendre en considération les conséquences. J’ai commencé à consommer, à me bagarrer, à insulter quiconque me dérangeant, à taper sur n’importe qui osant entrer dans ma bulle. J’ai décidé de refuser à ce que quelqu’un m’approche, à ce que quelqu’un devienne important. Une personne pourrait crever à mes pieds et ça ne me ferait rien. Il n’y a personne d’important pour moi.

Lorsque j’ai terminé à Poudlard, j’ai été acceptée à l’UMA, mes notes étaient bien assez bonnes pour ça. Pour 4 ans, je me suis débrouillée sans avoir trop de difficultés à jongler entre les cours et mes activités parascolaires. J’aime aller en cour, j’aime être intelligente. Ou du moins, ça ne me dérange pas. Ce qui est idiot, c’est que malgré ça, j’ai réussi à tout faire foirer là-bas. Il y a un truc et c’est que lorsque j’ai appris que j’étais en mesure de me bagarrer vraiment bien, puisque je ne ressens rien et que donc, je m’affaiblis moins rapidement que la majorité des gens, j’ai développé un tempérament colérique. Je n’en suis pas heureuse, je ne veux rien ressentir. Toutefois, ça serait un mensonge de dire que ça ne me plaît pas de sentir mon cœur battre plus fort, de sentir l’adrénaline parcourir mes veines, d’avoir envie de violence. Je suis généralement en mesure de me contrôler, mais mon indifférence a des limites qu’apparemment, certaines personnes peuvent atteindre.

Je ne suis pas certaine de ce que j’ai fait. C’était la deuxième fois que j’avais un épisode de blackout. Je ne sais pas si c’est la rage ou la haine, mais tout ce dont je suis consciente, c’est que je peux devenir terriblement violente. La première fois avait importée peu, ça c’était déroulé en ville,  loin de l’école, sur un inconnu avec les mains trop baladeuses. Mais la deuxième fois… Je détestais ce professeur. Il était déplacé, il n’avait pas sa place là. Après son cours, il m’a agrippé par l’épaule car il voulait me retenir pour discuter d’un truc, je me suis retournée et tout ce dont je me rappelle, c’est de mon poing venant à la rencontre de son visage. Lorsque je suis revenue à moi, j’étais retenue par d’autres étudiants et ce que j’avais fait, c’était horrible. Je l’avais détruit, il n’avait même pas été en mesure de se défendre. Heureusement, je ne l’avais pas tué. Seulement… J’avoue être inconfortable avec l’idée d’attaquer un être vivant comme une bête sauvage. Je suis un danger public, je n’ai pas de contrôle, je suis complètement cinglée, une dérangée, voilà ce que je suis, apparemment. Et l’UMA ne voulait pas d’une personne risquant la vie des autres, une étudiante effrayant les professeurs. J’ai vu noir pendant quelques temps, avant de trouver cette université de tarés. Et j’ai tellement hésité.

Avant de m’inscrire, j’ai attendu, simplement parce que pendant une bonne année, j’ai été occupée à mener une vie moins que respectable. Une vie de déchéance, voilà. Puis un matin, je me suis réveillée dans le lit d’un étranger, encore à moitié sous l’effet des drogues de la veille et je me suis dit que je devais retourner à l’école. Au moins là, je pourrai continuer de développer mes capacités magiques. Il y a aussi ce problème que j’ai avec quelques personnes. Traîner dans les rues, avec certains gens, ça fait des ennemis. Je dois me tirer de Londres pour un moment. Tout ce que je veux, c’est d’apprendre plus et survivre. Ce sera beau si je réussis sans tuer quelqu’un, me tuer par erreur ou sans finir dans un asile de fous. Je dois simplement ne pas m’investir. C’est simple, je sais très bien comment faire.

   

   

   

INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES

   

   
L'étudiant séjourne-t-il au collège ou au village la semaine et le
   week-end? :Elle séjourne au collège en tout temps.
   
L'étudiant possède-t-il un animal de compagnie? :Oui, un petit chat. Elle dit un chaton, mais ça fait deux ans que ce n’est plus un chaton. Il la suit absolument partout, sans exception. Elle le garde sur son épaule même pour aller en cours.
   
Quel serait le patronus de votre personnage?Un lynx
   
Autre informations supplémentaires à fournir? :Oui oui oui. Voici des sites d’information pour la maladie : ici (Ouais, je sais que c'est Wikipédia, mais c'est pour les paresseux qui veulent pas lire les articles médicaux) et ici
   

   

   

HORS RP

   

     
• Comment avez-vous connu le forum :Euh, je me souviens plus, ça fait un petit moment.

     
• Votre âge :23

     
• Suggestions et commentaires :Patate patate

     
• Votre plat préféré :Le fromage sur tout. Et l’alcool. (C’est un plat ça, non?)

     
• Une dernière chose ?J’aime pas les chats.