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 Bernioff ~ «Tu veux savoir mon nom? Regarde le ciel, les étoiles te le diront.»

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H. W. Bernioff
Todhchai
H. W. Bernioff
PROFIL Gémeaux

Messages : 75
Réputation : 17
Date de naissance : 10/06/1957
Nationalité : Américaine

Aspiration : Vivre parmi les étoiles ... si ça compte comme une aspiration, c'est certainement ce qu'elle dirait!

Fiche : + Les étoiles te le diront

RP en cours : + Cadre enchanté et surprise de taille

Bernioff ~ «Tu veux savoir mon nom? Regarde le ciel, les étoiles te le diront.»  Q9z9 Bernioff ~ «Tu veux savoir mon nom? Regarde le ciel, les étoiles te le diront.»  9hrr Bernioff ~ «Tu veux savoir mon nom? Regarde le ciel, les étoiles te le diront.»  Abnw Bernioff ~ «Tu veux savoir mon nom? Regarde le ciel, les étoiles te le diront.»  O6q8 Bernioff ~ «Tu veux savoir mon nom? Regarde le ciel, les étoiles te le diront.»  Gykv Bernioff ~ «Tu veux savoir mon nom? Regarde le ciel, les étoiles te le diront.»  E0kr Bernioff ~ «Tu veux savoir mon nom? Regarde le ciel, les étoiles te le diront.»  77y6


RPG
Feuille de personnage
Age: 21 ans
Niveau: 3e année Cognita
Baguette Magique: 32 cm, bois de hêtre, crin de licorne

MessageSujet: Bernioff ~ «Tu veux savoir mon nom? Regarde le ciel, les étoiles te le diront.»    Bernioff ~ «Tu veux savoir mon nom? Regarde le ciel, les étoiles te le diront.»  Icon_minitimeDim 9 Juin - 22:40


 

Bernioff


  ~
 

INFORMATIONS PERSONNELLES


   
Nom: Walker
   
Prénom: Harriet
   
Date de naissance: 10 juin 1959
   
Lieu de naissance: Portland – Oregon – USA
   
Citoyenneté(s): Américaine
   
Statut Sanguin: Née-Moldue
   

   

INFORMATIONS SUR LA BAGUETTE


   
Trente-deux centimètre et fait de bois de hêtre, la baguette de Bernioff à en son cœur un crin de licorne.  La jeune femme possède cette baguette depuis qu'elle a intégré Salem et l'a chérie énormément.  Si elle n'est pas du genre à prendre soins de ces possessions, c'est tout le contraire lorsqu'il est question de sa baguette pâle et chatoyante.
   

   

   

FORMATION ACADÉMIQUE


   
École élémentaire: Salem
   
Résultats des ASPIC:
Métamorphose : Effort Exceptionnel
Sortilèges : Acceptable
Histoire de la magie: Troll
DCFM : Acceptable
Potion: Acceptable
Etudes des Runes : Optimal
Divination : Optimal
Arithmencie : Effort Exceptionnel


   
Domaine d'études & cours à option choisi: Todhchai ~ Symbolisme

Année d'Étude en cours: 3ième année - Cognita
   
Cours Optionnel hors programme: Anomalies magiques et temporelles
   
Aspiration(s) académique(s): Elle passerait sa vie, les nez au ciel, à prédire l'avenir grâce aux étoiles et constellation.  Enfin, c'est son idéal de vie.
   
Extra-scolaire et implications: Elle tire les gens au tarot et leur lit les lignes de la mains si quelqu'un lui en fait la demande, mais mise à part cela, rien de bien concret.
   

   

   

SITUATION FAMILIALE


   
«Maman, Papa, il est où?»

Chaque matin c'était la même histoire, chaque matin depuis qu'elle avait conscience d'être la seule petite fille du jardin d'enfant à ne pas avoir de papa, Harriet posait inlassablement la même question avant de retomber dans un étrange mutisme. Chaque matin, sa mère s'installait avec elle, inquiète de l'étrange attitude de sa seule fille. Que lui dire? La vérité... non, elle souhaitait que sa fille garde une certaine estime d'elle plus tard et puis, ce n'était pas le genre de chose à dire à une enfant de cinq ans. C'est donc au petit levé du soleil qu'elle s'agenouillait en face de sa progéniture aux grands yeux bleue et disait simplement :

«Papa est à la guerre...»

Quel mensonge horrible. Plus tard, oui, plus tard elle saurait la vérité.

C'était pourtant le seul mensonge qu'elle réussissait à dire. La première fois qu'Harriet lui avait posé la question, Beverly était restée sans voix. Elle avait balbutié maladroitement qu'il était à la guerre et Harriet n'avait pas posé d'autre question.

La guerre... Elle ne savait pas trop si c’était réellement le cas, mais c’était mieux que de lui dire : «Ton papa j’le connais pas trop, on a fait une partie de jambe en l’air puis il est repartie».  Après tout… il avait dit être militaire… logiquement, un militaire ça allait à la guerre!  Certes, il y avait la guerre froide et toutes ces répercutions, mais Beverly n'y connaissait rien à tout cela. Ce qui était plus loin que sa petite maison, que son café, franchement c'était plus que l'inconnue pour elle et la femme ne s'en souciait guère... tant que cela ne venait pas perturber sa petite routine, elle n'en avait cure et tout était beau.

Mais ce matin, c'était différent, lorsque la petite fille s'était levée, pour reposer la même question, comme à tous les matins. Beverly s'était écarté, laissant sa fille et ses interrogations, puis avait pris le chemin de sa chambre pour s'agenouiller devant la petite table de chevet. Ouvrant le seul et unique tiroir du petit meuble, elle en ressortie après quelques minutes de recherche, une petit plaque militaire, les mots : «Stanislas Bernioff» avec l'immatriculation 1993-34-566, bien étampé sur celle-ci.

Le lieutenant Bernioff, l'homme qui n'avait fait partie de sa vie à peine quelques jours et qui hantait maintenant chacun de ses matins.

Agrippant la petite plaque, et se saisissant d'un petit cordon de cuire traînant dans le fond de son tiroir, elle retourna vers sa jeune fille pour s'agenouiller devant elle, lui mettant entre les mains la seule preuve de l’existence de Stanislas qu'elle possédait.

«Voilà. C'est à papa, ça... tu peux le garder et le matin, regarde-là... tu te souviendras alors ou ton papa est.»

C'était une manière comme une autre d'avoir la paix... et elle avait eu raison. Jamais plus après, Harriet ne lui avait demandé. Si seulement Mme Walker s'était douté de la réaction de sa fille, quelques années plus tard, elle ne lui aurait certainement jamais donné cette information.

~

«HARRIET!!!» Beverly s’époumonait à travers la maison, tentant de trouver la fille. «HARRIET, REVIENS ICI!»

Malheureusement pour Beverly, la petite Harriet, dix ans et toutes ces dents, n'était plus depuis plusieurs heures dans la maison. Elle avait quitté le petit bâtiment puant, brun et morose pour monter se réfugier dans son arbre favori qu'elle avait affectueusement surnommé Stanislas. Celui-ci n'était as très loin de la maison, mais juste assez pour donner l'impression d'un brin de liberté à la jeune fille. Les yeux fixés sur le ciel étoilé, son regard pétillant comme rarement, Harriet fixait le ciel avec une fascination sans borne... Elle avait, un bon jour, dit à sa mère qu'elle avait l'impression que les étoiles pouvait parler... et Beverly s'était fait un devoir de remettre sa fille sur le droit chemin : les étoiles ne parlaient pas, elle ne voulait rien dire, elles n'étaient que des petits points dans le ciel, sans plus.  Pourtant, à cet instant précis, la blondinette écoutait attentivement le ciel lui raconter ses secrets.

Le vent soufflait doucement, amenant avec lui l’odeur de l’océan et chassant l'odeur de renfermé imprégné sur ces vêtements, entremêlant ses cheveux déjà ébouriffé, quand sa mère arriva dans la cours arrière, poings sur les hanches.

«Harriet Walker! Descend toute suite de cet arbre»

La blondinette ne répondit pas toute suite, absorbé par l'énormité du ciel... comme c'était beau, il avait tant à dire...!

«Harriet, répond lorsque je te parle!»

Toujours aucune réponse... Beverly commençait lentement, ou plutôt rapidement, à perdre patience. Se plaçant près de l'arbre, elle se mit à le pousser, tentant de faire bouger celui-ci pour, au moins, réussir à attirer l'attention de sa fille, très probablement retardée. Sa chance... une enfant retardée mentale, pas d’père, un job pourri, vie de merde.

«Harriet Walker! Si tu ne descends pas toute suite... je vais faire abattre ce foutu arbre!»

Perché dans son perchoir, la jeune fille se tourna la tête, brutalement arraché de sa contemplation pour ces mots diffamatoires. Abattre Stanislas? JAMAIS!

«NON!»

Sautant en bas de sa branche puis sur une autre, elle se planta finalement, toute petite, devant sa mère gonflée d'indignation, autant qu'une enfant de dix ans peut le faire :

«Tu ne coupera pas Stanislas... et puis... et puis, d'abord, mon nom c'est BERNIOFF! Pas Harriet!»

Ce fut le début de la fin pour leur relation.

Quelques jours plus tard, Bernioff reçu sa lettre de Salem et tout changea et pour la jeune étudiante, c’était définitivement pour le mieux.

   

   

   

   

VOTRE PERSONNAGE EN QUELQUES MOTS


   

   
Bernioff aime:
 

         
  • Le tarot

  •      
  • Regarder les étoiles

  •      
  • Écouter du vieux «Rock»

  •      
  • Jouer de la flûte à bec

  •      
  • Coudre et rapiécer de vieux vêtements

  •      
  • La laine piquante

  •      
  • Le froid

  •      
  • Les grosses catalognes particulièrement lourdes

  •      
  • Son vieux trench-coat pour homme qu'elle porte tous les jours

  •      
  • Les hommes virils

  •  

   
Bernioff n'aime pas et même déteste:
 

         
  • Son nom

  •      
  • Son prénom

  •      
  • Manger dans des restaurants

  •      
  • Les personnes âgés

  •      
  • Le poulet

  •      
  • Le quidditch

  •      
  • Casser sa plume

  •      
  • Les gens qui se moquent de son père

  •      
  • L'odeur des voitures ainsi que du gaze

  •      
  • Le bruit des talons aiguilles claquants sur le sol

  •  

   

   
Les cinq objets dont votre personnage ne peut pas se passer:
 

         
  • Sa flûte à bec

  •      
  • Un chaîne avec la plaque d'identité militaire de son père

  •      
  • Des cartes de tarots dans le fond des poches de son trench-coat

  •      
  • Des feuilles de thé

  •      
  • Une carte du ciel

  •  

   

   

   

   

DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE


   

   
Bernioff, c’est le genre de fille dont on ne sait pas trop quoi penser.  Elle peut-être à la fois d’une intelligence rare… et pourtant, souvent, particulièrement stupide.  Enfin, c’était peut-être son côté naïf, celui qu’elle avait depuis toute petite.

À première vue, la jeune femme semble complètement perdue, même, absente de son propre corps et généralement c’est pratiquement le cas.  L’étudiante à cette manie de réfléchir… parfois si «fort» et si longtemps qu’elle perd totalement la map, elle déconnecte de la réalité pour se perdre à bras ouvert dans ces idées, vous pourriez, par exemple, la croisé un bon matin dans le café étudiant en train de réfléchir, menton enfoncé dans sa main, et la retrouver, le soir même, dans une position similaire ou même exactement pareille.  C’est comme ça!

Bien évidemment, il lui arrive d’être consciente sur le planché des vaches, tout de même, même si elle aimerait passer sa vie la tête dans les nuages, elle sait bien qu’il y a des choses à régler dans le bas monde avant tout. Ainsi, lorsqu’elle est consciente de ce qui l’entoure, Bernioff est une jeune femme de bonne humeur.  Elle n’est pas le type : «HYPER-énergique», mais elle est bonne vivante et souriante.  Elle ne parle pas franchement rapidement et réfléchit parfois un brin trop souvent à ce qu’elle va dire, mais souvent, promis, c’est pour le mieux.  Elle réussit ainsi à surprendre son interlocuteur avec des phrases clefs, blagueuse ou sinon, tout simplement stupide.

Lorsqu’elle n’est pas occupée à contempler le ciel, passion qui n’a visiblement pas diminué avec le temps et la sagesse, Bernioff adore observer les gens, les gens entre eux, leurs interactions, leurs réactions lorsqu’ils aiment ou détestent quelqu’un, le genre de boisson qu’ils aiment prendre régulièrement, leur petites habitudes de vie quoi, leur posture lorsqu’ils sont heureux ou malheureux.  C’est quelques choses qu’elle adore franchement faire, parfois même, plus que d’avoir une conversation avec quelqu’un.  La physionomie d’une personne nous en apprend tellement sur elle et souvent à leur dépend.  C’est d’ailleurs grâce a cette capacité d’observation et sa patience qu’elle à souvent surprit plusieurs moldus en les tirant aux cartes.

Car oui… Bernioff adore tout ce qui touche à la divination.  Les lignes de la main, les feuilles de thé, les cartes de tarots, boule de cristal, mais surtout… surtout, les étoiles – mais ça, vous le saviez déjà.  Sachez cependant que la jeune femme ne possède pas de don en particulier relié à cette passion, si ce n’est le don d’être particulièrement observatrice et patiente en ce qui attrait aux secrets du futur.

Bon, la jeune femme sait aussi quelques fois être normale, ou presque, bien qu’elle apprécie tout ce qui est ésotérique, elle aime également des choses bien plus simple, comme le vieux rock, marcher dans la neige, coudre – oui, son petit côté ménagère – ou encore boire du thé, jouer de la flûte à bec (vous savez l’instrument que tout le monde trouve ennuyeux, et bien, elle, elle l’adore!)

Une chose importante à savoir sur elle : Ne jamais chercher à savoir son nom.  De toute manière, vous avez bien peu de chance de le savoir!  Pour elle, le nom Walker est signe du passé et, ayant eu une fixation – parfois presque morbide – pour son père, elle trouve beaucoup juste de porter fièrement le nom de celui-ci, plutôt que celui d’une mère immature et irréfléchi qu’était la sienne.  De toute manière, cela fait tellement longtemps qu’elle aborde fièrement le nom Bernioff qu’elle ne se reconnaîtrait probablement plus si on s’appelait par son nom à la naissance.  Évidemment… tous ces papiers officiels sont remplis avec ces horribles mots, mais elle espère mettre assez d’argent de côté, un jour, pour effacer le «Walker» de son acte de naissance.

Car depuis ces dix-sept ans, Bernioff n’a plus aucune nouvelle de sa mère et elle n’en ait pas spécialement triste – enfin, elle fût irrité les premiers jours, mais ensuite… plus rien.  Elle ne fût surtout pas particulièrement étonnée, au retour de sa 7ième année d’étude, de retrouvé la vieille maison brune et puante, vide.  Ça n’avait été une surprise pour personne.  Sa mère, si elle avait été une «bonne» mère durant sa jeunesse, avait toujours garder cet esprit d’adolescente qui tombe en amour avec le premier venu et part avec lui peu importe ce qui aurait pu la retenir chez elle.  La jeune femme avait souvent vu sa mère en pleure, le cœur brisé, par des gros américain imbu d’eux-mêmes, avec leur gros muscle, leur grosse voiture et leur gros accent irritant. Bref, la journée de son retour de classe, l’étudiante avait été presque soulagée de ne pas avoir à endurer un des concubins de sa mère, au cerveau aussi gros qu’un pois chiche.

   

   

DESCRIPTION PHYSIQUE


   

   
Et physiquement, cette blondinette, elle ressemble à quoi?

Bernioff n’est pas laide, mais il faut l’avouer, elle n’est pas le type de fille qui attire les beaux gosses.  Ce n’est pas à cause de son visage ou de son corps, mais plutôt à cause de sa personnalité et de son style vestimentaire des plus… douteux.

Car la jeune femme ne voit vraiment, mais alors, vraiment pas la raison de mettre de l’argent dans des bouts de chiffons qui passeront de mode en quelques mois. Et vous savez… c’est vraiment fou tout ce que les gens peuvent jeter et donner aux démunies!  Oh que oui, des vêtements troués n’attendant qu’un nouveau souffle de vie, c’est ce que Bernioff leur offre lorsqu’elle les trouve!  Elle porte donc un peu de tout : Que ce soit des robes, qu’elle arrange à sa taille, jeans, t-shirt blouse… troué ou pas! Elle adore particulièrement porter des chemises pour hommes (ou simplement de longue chemise) ceinturé à la taille par une ceinture accompagné de bas-nylons avec des vieilles bottes et de son éternel et vieux trench-coat.  Cet accoutrement est particulièrement confortable pour toute occasion, ou saison et c’est généralement de qu’elle priorisera.  Bas nylon troué, de couleur, noir, blanc ou à motif, peu importe!

De toute manière, avec sa taille fine, ses hanches régulière et sa poitrine quelconque tout lui va plutôt bien.

De plus près, la jeune femme a un visage fin, avec des traits plutôt neutre… rien de bien frappant du moins si ce n’est ces grands yeux bleues.  Des yeux de biche bordée de longs cils châtains.  Elle a des lèvres en cœur, alors que le centre de ces lèvres est nettement plus défini que les coins.  Bernioff à également été doté de tâche de rousseur, ayant élu principalement domicile sur son nez et ces joues, bien souvent rose.

Elle a les cheveux châtains clairs avec, selon l’éclairage, des reflets un peu rouquin.  Ceux-ci lui arrivent au dessus des épaules, légèrement vagués.  Généralement, ils sont dans tous les sens et donne l’impression qu’elle a dormit les cheveux mouillés ou encore qu’elle fréquente un peu trop souvent des coups de vent (et pour les deux cas, ce n’est pas totalement faux)

L’étudiante n’a pas spécialement de bronzage… avec ses cheveux pâles, ces yeux pâles, elle aborde plutôt un teint de roux… soit : qui prend des coups de soleil au moindre contact avec celui-ci.

Elle porte, encore aujourd’hui, à son cou, une longue chaînette avec la petite plaquette étampé : «Stanislas Bernioff», mais celle-ci est bien souvent caché sous ses vêtements.

Enfin, globalement, c’est ce dont Bernioff a l’air.

   

   

HISTOIRE


   
« Heather? »

Son amie leva la tête de son livre pour regarder Bernioff.

«Hmm?»

La blonde se passa la main dans les cheveux, entremêlant ceux-ci encore plus qu'ils ne l'étaient déjà. Elle fit un sourire et haussa les épaules en soufflant :

« Je voulais simplement t'aviser que j'allais travailler... On se rejoint toujours au «Cup-&-Ball» à dix-neuf heures?»

Heather hocha la tête avec un sourire:

«Oui et cette fois-ci, pas de Graig... que toi et moi.»

Bernioff lui offrit un large sourire avant de sortir du grand manoir des Mayfield. Depuis la fin de ses études, la famille de son amie avait généreusement accepté de l'héberger pour quelques temps, ou du moins, le temps que cela lui prendrait pour se mettre sur pied, amasser un peu d'argent et penser à son futur. Elle s'était donc installer dans une des nombreuses chambre d'ami du manoir situé dans le Nehalem Bay, en bordure de l'océan pacifique, un immense manoir à l'abri du regard curieux des moldus, parfait pour une famille aussi riche que les Mayfield...

Tous les jours, elle devait donc transplaner – en se concentrant bien fort puisque plus d'une fois elle avait passez tout près de se désartibuler – jusqu'à Salem, là ou se trouvait la librairie ou elle avait trouvé du travail. Rien de bien compliqué... elle classait des livres dans les filières et aidait, du mieux qu'elle le pouvait, les clients à trouver ce qu'ils recherchaient. Sa section préféré, allons, divination bien évidemment! Elle aidait donc vielle sorcière et jeune sorcier à trouver entre les allés le livre idéal pour un après-midi à la plage, ou encore, pour la rentré scolaire. Elle avait d'ailleurs fait des pieds et des mains pour avoir ce job... mais après sept ans de «Bonjour monsieur Sullivan» et de petites conversations polies, et de battements de cils bien placé (enfin, surtout un petit air d'enfant qui fait particulièrement pitié) le vieux libraire avait finalement accepté de lui donner un poste à temps-partiel.

Le reste du temps, Bernioff le passait à Portland ou elle s'installait, avec une bande de poilu, pour vendre ces talents. Alors qu’eux s'installaient sur des couvertures, pieds nus, à vendre collier, bague et bijoux de tout genre, la blonde elle, s'installait sur sa couverture avec du thé et attirait les potentiels clients en leur disant des phrases clefs différentes pour chacun. Que voulez-vous, les étoiles lui parlaient!

«Ce sera vingt dollars pour une évaluation des lignes de votre main.»

La vieille dame moldue s’installa sur le petit siège réservé aux clients et, alors que la blonde allait tendre ses mains fines et longue pour prendre celle fripé et légèrement calleuse de la femme, mais Bernioff dû se résoudre à arrêter bien vite la contemplation de la vie de la femme sur ces mains, alors qu'une chouette se posait paresseusement à côté d'elle, attaché à sa patte, un bout de parchemin roulé à sa patte.  Faisant un sourire d’excuse et à dame et ignorant son regard interrogateur, la jeune femme déroula lentement le parchemin puis semis à le lire.

Elle était acceptée!  Pour de vrai… elle- elle allait vivre en Écosse, avec tous ces châteaux hantés, tous ces mystères et ce ciel, si beau, si bleu oh!

Se raclant doucement la gorge elle reprit la main de sa cliente en disant d’un ton léger :

«Oui… alors, nous avions dit trente-cinq dollar… voyons voir…»

Et ne laissant pas le temps à la vieille de protester, elle commença sa lecture, l’esprit bien loin… en Écosse…!

   

   

   

INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES


   

   
L'étudiant séjourne-t-il au collège ou au village la semaine et le
   week-end? :
Ayant trop peu d'argent, Bernioff vit dans les dortoirs de l'université.
   
L'étudiant possède-t-il un animal de compagnie? : Elle a toujours rêvé d'avoir une chouette, et bientôt, elle le sait, elle en possédera une!  Pour l'instant, elle n'a donc rien.
   
Quel serait le patronus de votre personnage? Une luciole
   
Autre informations supplémentaires à fournir? : Pour l'instant, aucune
   

   

   

HORS RP


   

         
  • Comment avez-vous connu le forum :
  • Je suis bad, j'ai fais un DC
         
  • Votre âge :
  • 23 ans
         
  • Suggestions et commentaires :
  •  Ѻ
         
  • Votre plat préféré :
  • Ѻ
         
  • Une dernière chose ?
  • Ѻ
     



Dernière édition par H. W. Bernioff le Mar 11 Juin - 14:26, édité 1 fois
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Kostas Forester
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Kostas Forester
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Date de naissance : 17/06/1990
Nationalité : Gréco-anglais

Aspiration : Devenir la référence mondiale en création de sortilèges. Et épouser Esther.

Fiche : Prof bôgosse

RP en cours : Aucun pour l'instant

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Niveau:
Baguette Magique: 30 centimètres, bois de charme, crin de Sombral

MessageSujet: Re: Bernioff ~ «Tu veux savoir mon nom? Regarde le ciel, les étoiles te le diront.»    Bernioff ~ «Tu veux savoir mon nom? Regarde le ciel, les étoiles te le diront.»  Icon_minitimeMar 11 Juin - 13:32

Miss Bernioff, c'est un réel plaisir de vous lire! Le style d'écriture est fluide, le personnage est intéressant et nous avons finalement une autre Todhchai en nos rangs! Je connais un certain monsieur Armstrong qui sera très certainement heureux d'avoir quelqu'un avec qui parler tarot.

Vous êtes validée, mademoiselle! Je vous mets vos couleurs de ce pas.

Bon RP Bernioff ~ «Tu veux savoir mon nom? Regarde le ciel, les étoiles te le diront.»  1071211947
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