The sun is shining, the birds are singing ... and you're crying.

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Cassiopée avait passé sa matinée à s'entraîner au Quidditch, ce sport avait le don de lui vider la tête, elle avait bien besoin ces derniers temps avec tout ce qui se passait autour d'elle. Il était 14h et elle venait à peine de quitter sa chambre, où elle avait pris une douche et s'était changé après son petit entrainement, elle avait opté pour une tunique plutôt colorée avec des bottes, c'est qu'il ne faisait pas chaud en ce début de novembre. Elle avait aussi revêtu un manteau noir et son écharpe des Serdaigles, elle en avait d'autres, mais c'était presque toujours celle-ci qu'elle prenait. La brune donné l'impression d'errer dans les couloirs du château. Pourtant ce n'était pas le cas, elle savait très bien où elle souhaitait se rendre : à l'observatoire. Elle adorait cet endroit, il était tellement calme et personne n'y allait la journée, elle était donc sur d'être tranquille.

La NIHM ne croisa presque personne sur le chemin et quand c'était le cas, elle s’enfonçait la tête dans son énorme écharpe et faisait l'air de ne pas voir ce qui se passait autour d'elle, les gens n'insistaient pas habituellement. Puis si c'était le cas, il suffirait qu'elle prétextait un devoir urgent à finir et voilà. Le samedi les gens étaient souvent plus intéressés par un moyen de passer un bon week-end qu'autre chose. L'Anglaise était presque arrivé à destination, elle pourrait bientôt se poser tranquillement à l'abri des regards et oreilles indiscrets.

Une fois arrivée dans son perchoir préféré, la jeune Goldstein alla s'installer sous la voûte, histoire de tout de même profiter de la vue, elle s'allongea pour pouvoir observer le ciel. Les nuages traversant lascivement le ciel bleu azur, il était relativement dégagé. Rien de tel pour réfléchir que cet endroit qui n'appelait au calme. Elle avait posé sa tête sur son sac, histoire de ne pas devoir affronter le froid et la dureté du sol de pierre. Cet endroit était non seulement un havre de pays mais aussi un lieu de souvenir. La brune se souvint de la nuit où elle s'était retrouvée ici avec Alan, à ce moment-là elle ne connaissait pas la tournure dramatique qu'allaient prendre les choses, il faut dire que rien ne présageait ça. Elle sentit son coeur se serrer à l'évocation d'Alan, si elle s'était douté qu'elle pouvait ressentir des sentiments pour lui jamais elle ne se serrait approchée de si près. Les sentiments ce n'est pas pour elle, Alan en était la preuve. Ça tournait toujours mal quand elle s'attachait à quelqu'un et elle en avait marre. Marre de voir tout le monde se mettre en couple et goûter à l'amour heureux, alors qu'elle n'avait le droit qu'à des déceptions, à croire qu'elle était maudite, même Alistair avait le droit à son moment de bonheur, alors pourquoi pas elle. Et surtout pourquoi Alan avait choisi quelqu'un d'autre ? Qu'est-ce qui clochait chez elle ?

Il y avait tant de questions qui se bousculaient sous la masse de cheveux noirs de la jeune femme, qu'elle en avait mal au crâne. Elle avait l'impression que tout s'écroulait autour d'elle, même si ce n'était pas son genre de s'apitoyer sur son sort elle commençait à cette demande si sur le coup elle n'en avait pas le droit. Elle passa une main dans ses cheveux, comment tout ça avait pu arriver en si peu de temps ? Accablée, elle ferma les yeux, essayant de faire le tri, mais rien n'y faisait.

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Son coin à lui. C'est ce qui allait lui manquer le plus ici. Ce petit coin au deuxième étage dans le ronfoncement porte 7. Il y passait ses journées entières ou presque, lorsqu'il était à l'orphelinat. Il n'y avait presque jamais personne, on y était tranquille. C'était le seul endroit ou il était vraiment bien, comme dans un cocon matériel. Maintenant qu'il était parti, pour ne pas dire qui l'avait fui, l'orphelinat ou s'était passée toute son enfance, il avait perdu tous ses repères, ainsi que le plus important: ce coin à lui. Le seul terrain qu'il ait jamais possédé. Et à présent que tout lui était étranger, aussi bien le pays ou il se trouvait, que les gens, ou l'endroit, et bien il n'avait plus qu'à trouver un autre coin. Un autre renfoncement porte 7 étage 2. Le garçon s'était interrogé briévement. Ou les élèves de l'université risquerait-il le moins d'aller ? Il n'avait pas trouvé. Ils étaient bizarres ici, de toute manière. A lors le russe, s'était demandé ou lui avait le plus envie d'aller, et ça ne lui avait pas été plus compliqué que ça de répondre: à l'observatoire.

L'observatoire ... ce nom l'intriguait. Il n'y avait pas d'observatoire dans son orphelinat, auparavant. Il n'y avait pas de tour, ou bien d'étages plus haut que le second. Et c'était bien dommage, car Vladimir aimait cet sensation de dominer le monde, d'avoir la tete dans les nuages ... d'etre libre comme l'air . Sentir le vent carressait son visage aux traits fins, mais marquée d'une expression dure, froide et distance. Sa carapace, personne n'avait jamais réussi à lui briser, il semblait que ce soit tout bonnement impossible. Le Khazar n'aimait pas les gens. Il n'aimait pas leurs mimiques exagérées, leurs sourires mielleux et leur voix faussement aimables. Il n'aimait pas les voir se déplaçer en faisant mine d'avoir confiance en eux, alors que c'était tout le contraire. De faire mine d'etre gentils, sympathiques, pour avoir des amis. D'essayer de se remodeler à l'image des autres, pour etre pareils. Des copies conformes. Lui avait toujours été différent et seul. Et ça lui convenait très bien comme ça. Le jeune homme aux cheveux ébènes monta les marches qui menaient au lieu cherché. Et une fois arrivée, il se dirigea sous la voute, pour échapper aux regards des oiseaux trop curieux. Après tout, peut etre qu'une pie voleuse irait jusqu'à voler sa chaine en argent.

Le garçon avançait d'un pas prudent. Qui sait ? Peut etre trouverait il un couple en train de se bécoter ? Ou alors un réveur entoc écrivant des poemes. Mais non, il n'y avait rien du tout. Le garçon continua donc son chemin jusqu'à ce qu'il trébuche sur quelque chose au sol. Ce n'était d'aileurs pas quelque chose. C'était quelqu'un. Une fille brune avait décidé on ne sait pourquoi de s'allonger en plein milieu du passage. Vladimir leva les yeux aux ciels . Qu'avait donc les jeunes filles d'aujourd'hui à ne jamais rien faire comme tout le monde ? Il fallait dire que cet établissement était réputé pour ne rien faire comme tout le monde alors ... Le garçon se redressa, et jurant, se plaça à coté de la demoiselle alongés par terre. Il regarda la fille d'un oeil noir; si elle n'avait pas été betement alongée là, il ne lui aurait certainement pas marché dessus, et cela lui aurait évité de manquer de s'étaler sur la pierre froide qui faisait office de sol. Ainsi, il ne voyait pas l'interet de s'excuser. Peut etre parce qu'il n'y en avait pas. Cette idée ne lui avait meme pas effleuré l'esprit. Il lacha d'un ton cassant.

-Tu n'as pas un peu l'impression d'etre en plein milieu du passage ?

Vladimir la regarda, le visage figée dans une expression glaciale. La fille partirait. Si elle ne voulait pas d'ennuis, elle partirait. Les gens partaient toujours dans ces cas là. C'était le moyen que le Khazar employait pour les faire fuir, pour qu'il n'ait pas à leur parler. Pour qu'ils le laissent seuls. Et ça marchait le plus souvent. Certainement parce que dans son orphelinat il était le gosse possédé du diable que tout le monde était enchanté de fuir. Mais son allure pas commmode, digne des sales gosses de rue, ou de méchant dans les films ferait certainment l'affaire ici. Vladimir était méchant. Et personne n'aimait rester avec des gens méchants.

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Tout paraissait merveilleusement calme dans cet observatoire, aucun bruit, à part celui du vent qui soufflait contre la haute tour et parfois celui d'un oiseau ou deux qui ne faisait que traverser rapidement la pièce. Cassiopée ne connaissait pas meilleur endroit dans tout St-Barnaby pour réfléchir et surtout être tranquille. Elle adorait sa faculté, mais il fallait avouer que les gens avaient parfois tendance à venir l'embêter quand il ne fallait pas. Ce qui avait l'énervée quelquefois. Elle avait beau être quelqu'un de sociale elle aimait aussi être tranquille. C'était humain après tout. Ses pensées se calmaient peu à peu, l'endroit était tellement tranquille que même les idées négatives cessaient de la troubler. L'observatoire était un peu comme le havre de paix de la jeune Goldstein. Plus rien ne la troublait, le ciel était bien trop bleu, même pour un mois de novembre. A croire que tout autour d'elle la poussait à oublier ses idées noires pour passer à autre chose. Ce n'était pas une si mauvaise idée que ça. Cassie n'était pas vraiment une personne qui avait tendance à se laisser envahir par les pensées négatives, pas que ça ne lui arrivait jamais, mais la plupart du temps quand cela arrivait, elle se débrouiller pour les oublier aussi vite qu'elles étaient arrivées.

Cassie aurait pu rester là un moment avant de se décider à redescendre. Mais apparemment quelqu'un n'était pas d'accord avec ça, puisqu'on vint lui marcher dessus. Elle n'eut le temps que de voir une silhouette passer au-dessus d'elle, manquant de s'écraser au sol. * On ne peut pas rester tranquille cinq minutes * pensa-t-elle, la NIHM pensait pouvoir avoir la paix sur son perchoir, personne ne venait jamais ici, du moins pas la journée, puisque cette pièce était réservée à l'observation des étoiles et qu'en plein jour on en croise pas souvent des étoiles. C'est aussi pour ça qu'elle avait choisi cet endroit, parce que jamais personne n'y mettait les pieds avant la nuit tombée.

La brune se décida tout de même à se redresser, histoire de voir qui était la personne qui avait faillit l'écraser. Elle s'appuya donc sur ses bras pour s'asseoir, laissant son sac derrière elle. Le jeune homme qui s'était redressé entre temps n'avait pas l'air de très bonne humeur. Cassie ne l'était pas spécialement non plus. Elle n'aimait pas particulièrement qu'on lui marche dessus, que ce soit au sens propre ou au sens figuré. Puis même pas il se serait excusé, quel grossier personnage. La moindre des choses auraient été d'au moins glisser un petit mot d'excuse, non à la place il lui reprocha d'être en plein dans le passage. C'était la meilleure. L'Anglaise le regarda avec de grands yeux, mais pour qui se prenait-il ? Tout d'abord, elle n'était pas en plein dans le passage, elle s'était mise exprès un peu en recul et l'air de rien elle était tout de même très visible.

« Et toi, tu n'as pas un peu l'impression de m'avoir marché dessus ? »

Cassie avait lâché ça, avec ironie, en essayant de ne pas être trop agressive, elle n'aimait pas spécialement les conflits, mais ne supportait pas non plus qu'on la prenne pour une imbécile ou qu'on lui parle comme à un elfe de maison. Après tout, lui aussi aurait pu regarder là où il mettait les pieds. N'importe quoi. Il y avait vraiment des gens dépourvus de tout savoir vivre. Elle le regarda sans baiser les yeux, s'il croyait que son air de grand méchant lui faisait peur, il se mettait le doigt dans l'oeil jusqu'au coude.

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La fille ne sembla pas vraiment apprécier qu'on lui marche dessus. A vrai dire, elle avait l'air parfait de la personne qui était venu là juste pour etre seule... Enfin etre seule. Les personnes de ce style n'aimaient pas réellement la solitude, elle en profitait juste pour se recentrer dans le silence, quelques fois, , puis retournait bien vite voir leurs nombreux amis. Qui donc souhaitait "rester seul un moment" ? Sans doute les personnes au problèmes métaphysiques et aux histoires de coeurs aussi compliquées que dans les séries russes. Vladimir jaugea la fille qui s'était relevé du regard. Il l'avait jugé très vite, certes. Mais il n'avait rien encore penser de vraiment méchant. Il jugeait toujours les gens vite. Mais trop vite ... certainement pas. Car aucune des personnes qui lui avaient un jour adressé la parole ne l'avait surpris. C'était tous les meme ... avec cette envie presque malsaine de plaire au plus de monde possible. On avait d'ailleurs déjà essayé de lui plaire. Avec son visage à la fois doux et brutal, et ses cheveux noirs un peu fous;il était beau garçon. Mais à peine l'avait on accosté qu'on se rendait vite compte que ce n'était pas le genre docile. Mais plutot sauvage. Trop sauvage. Comme un garçon qu'on aurait laissé dans le noir trop longtemps, éloigné du monde et de ses habitants.

La brune qui l'avait manqué d'écraser le regarda avec de grands yeux, indignée. Le Khazar se retint de pouffer. Quelle impolitesse... C'était tellement prévisible ! Mais on allait pas lui reprocher d'etre en colère. Vladimir aimait voir le visage des autres se décomposer, les voir s'interroger sur son cas. "Ce garçon est il sain d'esprit?". Puis, enfin, abandonner. Et puis il y avait les petits téméraires qui lui tenaient tete. Qui pensaient que le Tchoskov cherchait à les intimider, souhaitait leur faire peur, les plier à ses désirs. Ils ne comprenaient pas que Vladimir souhaitait seulement etre tranquille. Quand on ne sait pas vivre en société ba on s'éloigne de la société. Il n'était pas comme les autres à vouloir se faire des amis. Les livres lui suffisaient comme compagnie. D'ailleurs il ne s'encombrait pas d'un animal. La présence d'un etre vivant à ses cotés le mettait mal à l'aise. Il n'aimait pas ça. Sauf exception. Il y en avait une, une seule.

Il aimait les loups. Parce qu'ils lui ressemblaient certainement. Il était solitaire et incompris aussi. Mais ça ne le dérangeait pas plus que ça. Et puis Vladimir avait cet aspect ténébreux, discret qu'ont ces créatures peureuses. Son patronus était un loup, et parfois il le faisait apparaitre rien que pour voir la forme majestueuse, argenté et rapide filait à toute allure autour de lui. Il lui semblait qu'il comprenait ces animaux, qu'il aurait presque pu leur parler. Le brun entendit une voix lointaine qui le fit revenir à l'observatoire, ou il était toujours planté là, devant la jeune fille. Il ne savait meme pas pourquoi d'ailleurs. Il aurait pu partir comme cela, qu'est ce qui l'en empecher ? Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait plus rien à faire du respect et de la politesse. Mais il resta tout de meme, curieux d'entendre la réponse de la file, qu'il ne prédisait pas agréable. Celle-ci lui demanda s'il n'avait pas l'impression de lui avoir marcher dessus et Vladimir haussa les épaules.

"C'est possible."

Mais si elle n'avait pas été sur son chemin, il ne lui aurait certainement pas marché dessus. Vladimir évita de le préciser. Il ne voulait pas débattre pendant trop mille ans de qui avait fait la faute. Il voulait juste que la fille s'en aille. Certes elle était là avant mais et alors ? Justement, elle avait déjà eu le temps d'occuper l'endroit. Le Khazar se faisait le plus barbant possible lorsque les gens lui adressaient la parole, il avait au fil du temps trouver divers moyens de les faire se désintéresser de lui. Car pas mal de petits malins cherchaient à faire "copain copain" avec le barjo de l'orphelinat. Et puis, la solitude ce n'est pas si triste que ça lorsqu'on y est habitué. Et pour y etre habitué le garçon aux yeux noirs y était habitué.

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Le jeune homme qui lui avait marché dessus lui était totalement inconnu, elle ne l'avait jamais vu dans St-Barnaby. Ça ne changeait pas grand-chose en réalité, connu ou pas connu il venait tout de même de lui marcher dessus. Et cela elle n'appréciait que moyennement, aux dernières nouvelles elle ne s'était pas transformée en paillasson durant la nuit. Ou en tout cas, personne ne l'avait prévenu. En plus de ça, elle n'aimait pas vraiment l'air que se donnait le brun. C'était certainement le genre de mec qui se donnait un air de bad boy mystérieux. Cassie trouvait ça simplement pathétique. Mais elle se retint d'ouvrir la bouche, à quoi bon. D'ailleurs il s'était décidé à rouvrir la bouche, enfin, rouvrir c'était vite dit, il avait à peine lâché deux mots.

Alors, comme cela il était possible qu'il vienne de lui marcher dessus, il était idiot ou il le faisait exprès. D'après lui il était tombé comment par l'intervention de Merlin. N'importe quoi. La brune se doutait bien que cette réponse était ironique, mais tout de même, elle avait le don de lui taper sur les nerfs. Il se fichait ouvertement d'elle. Tellement qu'elle s'attendait à ce qu'il lui lâche une chose comme quoi c'était sa faute, qu'elle n'aurait jamais dû se trouver là, etc. Bien entendu, Cassie lui aurait dit que c'était à lui de regarder là où il mettait les pieds et cela aurait été un cercle infernal. La brune n'aurait jamais lâché l'affaire, c'était qu'elle pouvait être têtue quand elle le voulait et apparemment son interlocuteur n'avait pas l'air d'être quelqu'un qui se soumettait pour si peu. S'il se décidait à ouvrir la bouche, c'était sûr, on risquait de les trouver à la même place le lendemain.

« Quel sens de la répartie »

Cassie avait dit cela en se réinstallant sur son sac, si l'inconnu avait l'intention de la faire partie avec son air d'iceberg, il se mettait le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. Elle avait été là avant lui et avait bien l'intention d'occuper la place, quoi qu'il arrive. L'observatoire était bien assez grand pour deux s'il voulait rester et si ce n'était pas le cas, elle lui laissait tout le loisir d'aller voir ailleurs, ça n'allait pas être elle qui allait le retenir. Il n'avait pas l'air d'avoir envie de parler, c'était parfait elle non plus. Qu'il se taise et aille voir ailleurs alors, ou du moins qu'il aille se mettre dans un coin et la laisse tranquille, c'était tout ce qu'elle voulait. La brune n'avait pas spécialement envie de s'embêter avec un homme qui apparemment n'avait pas du tout l'intention d'être agréable.

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