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 [S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia

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AuteurMessage
Alecia Lukeither
Ceart
Alecia Lukeither
PROFIL Bélier

Messages : 43
Réputation : 21
Date de naissance : 09/04/1960
Nationalité : Anglaise

Aspiration : Je veux devenir une Auror

Fiche : NO LIES IN YOUR BRIGHT GREEN EYES

RP en cours : And it was like boom ! ft Harold
I was no more than a boy in the compagny of strangers ft Harold
Genger bender ft Remus
I'm not the ennemy ft Zohra

[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia Hcif[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia 0rct[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia B8a4a3[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia Teyc[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia Phls[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia Mh0p[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia 1pr5[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia 7ylo[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia Ws6o[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia 5n3ma[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia Fmhp[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia Ea2836[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia Cq2k[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia DbBJmo


RPG
Feuille de personnage
Age: 19 ans
Niveau: 2e année Cognita
Baguette Magique: Orme ; 26cm ; Ventricule de dragon ; Souple, fidèle et légère

MessageSujet: [S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia   [S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia Icon_minitimeLun 19 Jan - 6:21

Alecia Lukeither revient au café durant cette soirée qui semble plus calme que les autres. Les gens ont tendance à sortir dans les bars, et la blonde profite du calme pour dessiner tout en buvant des boissons plus sucrées que de raison. Aussi, installée dans son fauteuil, elle gribouille sur un carnet aux pages cornées.
♪♫♪
Ian Bale entre dans le café étudiant, étouffant un bâillement du revers de sa main avant de s'étirer longuement. On peut voir de par les traits du Gallois que celui-ci vient de se réveiller d'une de ses siestes thérapeutiques. La tête encore prise dans la ouate, le noiraud ne remarque pas la présence d'Alecia dans la pièce et s'avance, le pas lent, vers le comptoir pour demander un café. Il s'assied d'une demi fesse sur un tabouret, se frottant les yeux en attendant qu'on le serve.
♪♫♪
Alecia Lukeither décolle de son carnet en regardant les gens qui rentrent, une de ses habitudes pour esquiver de possibles personnes qu'elle n'apprécie pas beaucoup. Mais en voyant Ian, son visage s'éclaircit, même s'il a l'air encore dans son oreiller. Elle pose son carnet sur une table basse et se lève d'un bond. Elle avance d'un pas agile jusqu'à lui et passe les bras sous les siens pour entourer sa taille et lui embrasser la joue. "Coucou grand nounours ♥.".
♪♫♪
Ian Bale ne constate la présence de sa douce amie que lorsqu'il aperçoit sa jolie tête blonde du coin de l'oeil. Ses bras à sa taille ont le mériter de le réchauffer et un sourire sincère vient étreindre ses lèvres alors qu'il la serre doucement contre lui : "On aurait difficilement pu mieux me surprendre à mon réveil, dis donc. Salut toi." Il ponctue sa phrase d'un bref baiser sur la tempe de la jeune femme puis étire le bras pour venir prendre sa tasse de café noir, sans sucre, dont il vole une gorgée pour se réveiller les papilles..
♪♫♪
Alecia Lukeither lui sourit, elle adore son contact, ses bras dans lesquels elle s'est toujours sentie en sécurité et en confiance. Le baiser contre sa tempe a même le don de la faire rougir, encore aujourd'hui. "J'espère en tout cas que tu as bien récupéré. Ca va la tête ? Je me souviens que tu as de grosses migraines. En tout cas je suis contente de te voir, je te pensais déjà reparti.".
♪♫♪
Ian Bale invite Alecia à s'asseoir devant lui en tapotant légèrement le tabouret qui se trouve à côté de celui où il est appuyé. Il prend une autre gorgée de café puis, en hochant la tête, dit : "C'est exactement pour ça que j'ai siesté. On me défonçait le crâne au marteau, fallait que j'me pieute. Et puis pour les stages, j'ai terminé mes évaluations plus rapidement que prévu, du coup j'me suis dis que je pouvais revenir ici pour faire le reste du travail. Une prison, c'est pas spécialement inspirant pour ça.".
♪♫♪
Alecia Lukeither lui fait un petit clin-d'oeil, récupère sa boisson et son carnet avant de venir s'asseoir sur la tabouret à côté de lui. "C'est une bonne chose que tu aies fini et que tu puisses passer du temps ici, en tout cas, ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre ! Tu m'as vraiment manqué" dit-elle en appuyant la tête contre l'épaule du grand brun..
♪♫♪
Ian Bale laisse un rire bas mais sincère franchir ses lèvres alors que, attendri, il vient passer la paume de sa grande main dans le dos de la blonde. "Si tu savais comment je suis heureux de pouvoir faire le reste de mon travail ici. Avec mes amis, mon whiskey, mon lit. Et puis ça me permettra aussi de rattraper le temps perdu avec toi, pas vrai?".
♪♫♪
Alecia Lukeither est d'autant plus détendue quand elle sent la main de Ian dans son dos, ce qui lui fait lâcher un soupir d'aise. "Oui, rattrapons ce temps perdu, j'aurais tellement de choses à te dire ! Sur l'Irlande, sur ici... Toi aussi tu as sûrement des tonnes de projets qui se sont lancés.".
♪♫♪
Ian Bale trempe ses lèvres une nouvelle fois dans son café, les effets du liquide foncé se dispersant de sa nuque à son corps, puis il dit comme sur un ton de confidence : "Tu sais, j'ai encore un stock de bonbons dans ma chambre, et tu peux deviner que je serai pas couché avant un p'tit bout.".
♪♫♪
Alecia Lukeither redresse la tête, amusée. C'est que la proposiyion est alléchante et ne se refuse pas. "Tu sais que j'ai encore une bouteille de rhum avec moi ? Planquée sous mon lit. Ca te dit en plus des bonbons ?".
♪♫♪
Ian Bale sourit légèrement à son amie alors que sa main continue ses douces caresses contre son dos : "J'veux pas que tu te sentes forcée de boire sous prétexte que moi j'suis un genre d'alcoolo pas drôle." Il rit un peu puis continue : "Mais si c'est ce que tu proposes, j'accepte volontiers.".
♪♫♪
Alecia Lukeither fait non de la tête, bien décidée à passer une bonne soirée. "Je ne me sens pas obligée Ian. Au contraire j'en ai marre de passer mes jours sans m'amuser un peu sous prétexte de ce qui m'est arrivé. Puis j'ai confiance en toi.".
♪♫♪
Ian Bale adresse un sourire sincèrement attendri à la blonde ; qu'elle admette sa confiance en lui le touche véritablement. Il termine donc sa tasse de café d'une gorgée puis dit, sur un ton certes un peu charmeur mais qui relève évidemment de la blague : "Ma chambre ou la tienne?".

Il se redresse de sur le tabouret puis offre un dernier sourire à son amie : "J'vais aller ranger un peu pendant que tu vas chercher le matériel nécessaire, ça te va? Tu viens me rejoindre quand t'es prête."

♪♫♪
Ale lui répond simplement : "Pas de soucis, je file chercher la bouteille et je te rejoins !" finit-elle en lui volant un baiser au coin des lèvres avant de quitter le café..
♪♫♪
Ian Bale quitte le café étudiant à la suite de la blonde, se dirigeant aussitôt vers les dortoirs des garçons..

♪♫♪ Quelques minutes plus tard ♪♫♪

C'est avec certes un peu de nervosité que le Gallois s'empressa de ramasser les mille et un papiers qui traînaient un peu partout dans sa chambre ; pas qu'il n'était pas organisé mais avec les stages et les cours, la paperasse en débordait. Il rangea tout à sa place, dégagea son espace de travail, fit son lit et, bien entendu, laissa bien en vue un sac de bonbons et une bouteille de whiskey dont il ne restait que le quart. Faut dire qu'il s'en était pris une rasade. Se voulant plus détendu, le brun retira son éternelle casquette, exposant sa tête foncée et tout légèrement bouclée. Il portait ce soir un pull de petite laine gris-bleu et un jean. Simple mais classe, comme d'habitude.
On cogna à la porte. Le visage du brun s'éclaira tout de suite d'un sourire et, excité comme un gosse, il vint ouvrir la porte, invitant tout de suite Alecia à l'intérieur.
"Bien le bonsoir, mademoiselle Lukeither", dit-il, le ton joueur.

♪♫♪
Alecia a filé comme le vent à travers les couloirs pour se dépêcher. Arrivée dans sa chambre, elle a attrapé la bouteille et a littéralement fait s'envoler ses fringues pour se vêtir d'une robe un peu plus sympa, avec un haut carré à dentelle, le tout dans les tons bleu mâtiné avec des collants noirs. Ainsi rhabillée proprement, elle a encore couru jusqu'à la chambre de Ian, portée par sa joie.
— Hello ! Me voici avec ma bouteille !
Elle entre, toute contente de passer la soirée avec lui.

♪♫♪
Ian ferme la porte derrière Alecia et, aussitôt cela fait, il vient lui prendre la bouteille des mains pour la déposer sur la table de chevet près de son lit, avec le reste de la marchandise qui leur servira pour la soirée.  Il l'accueille ensuite convenablement d'une étreinte et d'un baiser sur la joue, son sourire lui restant obstinément collé au visage.
"C'est que ça fait un joyeux déjà-vu, quand même, pas vrai?"

♪♫♪
Alecia lui refait ce même bisou sur la joue. Cette chambre n'a décidément pas changé et ça lui rappelle de merveilleux souvenirs.
— Sauf qu'on est tous les deux dans un bien meilleur état et que moi je suis libre comme l'air, un sourire ça change tout !

♪♫♪
Le Gallois hoche la tête, un air compatissant se traçant sur son visage. Même s'il avait la capacité d'oublier, les moments qu'il avait passés avec Alecia seraient restés gravés dans sa mémoire. Mais il fait le choix de ne pas le mentionner, de ne pas revenir là dessus. Pas pour l'instant, du moins. L'heure était aux retrouvailles.
C'est donc tout à fait naturellement que le noiraud vint d'abord s'asseoir sur son lit avant de s'y étendre à moitié, le haut du corps surélevé par une abondance de coussins.
"Faut que tu me dises tout de l'Irlande, prépare-toi à tout un monologue" dit-il, toujours souriant.

♪♫♪
Alecia le suit et vient s'étaler, se laissant tomber dans le lit de tout son -petit- poids, juste à côté du Gallois.
— Hmm, que dire... Les irlandais ne nous aiment définitivement pas tu sais ! Enfin, une fois qu'ils nous connaissent nous les anglais, ça va un peu mieux. L'université était pas mal là-bas, mais bon, je ne m'y sentais pas vraiment comme chez moi et dès le moment où j'ai rompu, je n'avais pas envie de rester du tout. Puis il me reste des projets ici, des amis. Alors je suis revenue et je ne regrette pas du tout.

♪♫♪
Ian accueille tout naturellement Alecia près de lui, son bras s'étirant pour venir lui enlacer doucement les épaules, la pressant ainsi un peu contre son torse. Il hoche la tête à ce qu'elle dit, il sait que les Irlandais sont bien farouches, plus encore que les Gallois, et ça n'est pas peu dire. Lorsqu'elle parle brièvement de sa rupture, il vient attraper la bouteille de rhum de sa main libre et l'ouvre, la tendant d'abord à Alecia.
"Comment ça s'est produit, ça, d'ailleurs? Enfin, si ça t'embête pas trop de m'en parler."

♪♫♪
Alecia prend la bouteille de rhum et n'attend pas pour en prendre une bonne première gorgée. Parler d'Aindreas n'est pas facile mais au fond elle n'en a jamais parlé et le faire pourrait sans doute lui retirer ce poids qu'elle a à l'estomac.
— Eh bien... Il n'était pas très présent et sans doute qu'il a bien senti qu'après tout ce qui s'était passé, son visage me laissait plutôt froide certains moments... Il n'est jamais vraiment revenu vers moi et j'ai décidé qu'il valait mieux arrêter tout ça. J'ai besoin qu'on s'occupe de moi aussi, pas qu'on me laisse comme un petit chien malheureux qu'on vient nourrir de temps en temps.

♪♫♪
Le Gallois se met à caresser l'épaule d'Alecia, d'un geste lent et doux, alors qu'il vient lui piquer la bouteille des doigts. Alors qu'elle parle de son ex et de la rupture, il vient à son tour prendre une rasade de l'alcool épicé, le laissant lui picoter la gorge.
"On peut difficilement appeler ça un couple quand l'un des deux n'est pas impliqués comme il le devrait, selon moi. Vous aviez tous les deux vos raisons, et je pense qu'il fallait que vous tentiez le coup avant de réaliser que ça ne fonctionnait pas. En tout cas, je suis heureux de voir que tu es heureuse, franchement tu rayonnes.", dit-il, concluant sa phrase d'un court rire, joyeux mais tout légèrement gêné.

♪♫♪
De même, en sentant sa caresse, sa main en vient à se poser contre son torse, à former des arabesques, des cercles contre le tissu de son haut. Elle apprécie ses paroles sages qui lui remontent le moral et sent le poids dans son estomac se dissiper.
— Disons que je suis maintenant soignée et que j'ai appris à prendre sur moi. J'ai dû faire beaucoup d'efforts, tu sais. Mais tu n'apprécierais pas vraiment l'une des raisons pour lesquelles je suis ici...
Elle rit, d'un rire sans joie, presque dépité.

♪♫♪
Une douce chaleur naît des caresses distraites de la blonde, se diffusant du torse du Gallois jusqu'à ses épaules, jusqu'à son ventre qui, bien malgré lui, se serre d'envies bien peu dignes. Mais il n'en laisse rien paraître, gardant son éternel air doux et imperturbable.
La dernière phrase d'Alecia vient cependant lui faire serrer la nuque d'inquiétude, un bref instant. Il prend une autre gorgée de rhum puis, alors qu'il tend la bouteille à son amie, lui demande :
"Ah bon? Tu sais que tu peux tout me dire, n'est-ce pas?"

♪♫♪
Alecia doit bien se donner un minimum de tact avec le rhum, qu'elle reporte à ses lèvres qui rougissent du liquide qui les traversent. Elle n'a pas pour habitude de son confier, mais si elle en vient à avoir des problèmes, c'est bien qu'il soit au courant. Sa main empoigne presque son pull, comme pour le garder contre elle, ou même s'en rapprocher.
— Quelqu'un doit bien mettre Llywelyn en prison pour toutes ses saloperies, non ? Si je deviens Auror, il sera le premier que j'enferme dans une cellule poisseuse.

♪♫♪
L'ombre d'un sourire vient caresser les lèvres du brun. Il fallait bien qu'il s'y attende. Et malgré qu'il ne soit pas d'accord avec l'entreprise de la blonde, il ne peut pas s'empêcher de songer qu'au fond, c'est bien tout ce qu'il mérite. Ian se tourne légèrement sur son flanc, permettant à son autre main de venir effleurer les mèches blondes de son amie puis, la regardant dans les yeux, il dit:
"Faut que j't'avoue que je suis pas fan des vendetta personnelles. Mais si tu veux bien rester sage jusqu'à ce que tu sois Auror, une fois là, franchement je vois rien contre, hm."

♪♫♪
Alecia se sent un peu rassurée, ravie de voir qu'il ne la juge pas plus que ça, au fond c'est vrai, c'est tout ce qu'il mérite et elle ne doit pas avoir été la seule de ses victimes. Le seul soucis c'est qu'elle n'a rien pour prouver que c'était bien lui, mais pour ça, elle lui casera une dose de veritaserum au fond de la gorge. Avec lui, sûr qu'elle sera sans pitié.
— Il ne manquera à personne. Pas comme toi tu m'as manqué, en tout cas.
Elle se rapproche et vient se nicher dans ses bras, parce qu'il ne faut pas mentir, elle en meure d'envie.

♪♫♪
Il ne se permet pas de trop céder à l'étreinte, même si la flamme qu'il avait au creux du ventre gagne en intensité, se transformant peu à peu en brasier. La proximité, l'intimité, son odeur qui perce l'air et ses yeux qui lui percent l'âme. En fait c'était bien simple, il avait beaucoup trop de respect et d'affection pour elle pour pousser les choses sans qu'elle ne l'instigue d'abord.  Le brun se contentait donc de glisser le bout de ses doigts contre ses cheveux et dans le creux de son dos. Sage, au meilleur de ses capacités.
"Tu m'as manqué aussi", dit-il d'un ton chaud avant de venir à son tour reprendre une gorgée du liquide alcoolisé.
Le Gallois garde le silence un instant. Songe, un peu, avant d'attraper le sac de bon qu'il ouvre d'une main distraite. Il prend un ver en gelée au citron et se le fixe aux lèvres
"Tu profites bien de ton célibat, j'espère." ajoute-t-il, joueur, avant de mâchouiller le bonbon.

♪♫♪
La blonde adore tout simplement qu'on caresse ainsi ses cheveux, depuis l'enfance, ça a toujours eu le don de calmer ses angoisses et ses souffrances. Avec Ian, c'est comme s'il la connaissait depuis ce temps-là, il arrive toujours à la mettre dans un état de plénitude complète. Ses doigts, à elle, reforment l'étreinte du café quand sa main glisse dans le dos de Ian. Elle sait qu'elle joue un jeu dangereux, mais qui pourrait lui en vouloir, à présent ? Elle n'a de comptes à rendre à personne et cette liberté lui remplit les poumons de bien-être.
— Même pas, j'ai été sage, en tout cas jusqu'à maintenant. J'ai peut-être oublié comment on fait.

♪♫♪
"J'te montre, si tu veux."
Ah bah bravo, hein, pour la subtilité on repassera. Les dents du Gallois s'accrochent aussitôt à ses propres lèvres; vraiment, c'est sorti tout seul. Le filtre s'est effondré, semble-t-il, terrassé par les gorgées de rhum. Mais son regard est incapable de quitter celui de la blonde. Plongé, vrillé dans le sien, comme s'il attendait une autorisation quelconque de sa part. Faut pas merder. Pas avec elle. Elle est trop précieuse.

♪♫♪
— C'est une invitation ?
Elle ne quitte pas non plus ses yeux, s'y perd, y trouve une grande résolution. Tant de choses ont changé depuis plus de ces six mois, mais pas tout l'amour, différent de tous les autres, qu'elle porte à Ian. C'est un sentiment puissant, mais qui ne comporte aucune contrainte, aucune loi. Sans qu'elle ne cherche vraiment à se trouver une raison, elle se redresse, son bras le poussant légèrement de coté avant qu'elle ne grimpe par dessus lui, se retrouvant assise contre son bassin, sentant bien qu'elle ne le rend pas indifférent et ça aussi lui fait rater un battement en même temps qu'elle a comme des papillonnements dans l'estomac. Ses doigts se posent contre la douce laine recouvrant son abdomen. Elle a perdu son sourire pour une sorte d'expression concentrée et envieuse à la fois.
— Je dois pas avoir tant oublié que ça, j'imagine.

♪♫♪
La surprise et l'envie lui arrachèrent un soupir rauque alors que la chaleur qu'il a au corps lui brûle la peau. Il ne s'y attendait pas mais, au fond, c'était bien plus qu'espéré. Et la retenue dont il était normalement capable semblait bien vouloir foutre le camp. Sage mais tentateur tout à la fois. Ses grandes mains ne se posèrent d'abord que sur ses hanches, mais ses doigts, curieux, s'étiraient jusqu'à lui caresser le haut des fesses et le creux des reins. Et il n'arrive pas à détourner les yeux du visage d'Alecia, dont les traits lui semblent teintés de désir.
"Je t'assure, c'est un très bon début", dit-il, le ton bas, alors que son visage s'éclaire d'un sourire gorgé d'envies non-dites.
"Tu me donnes soif."

♪♫♪
Alecia, qui n'a bu que deux gorgées de rhum, doit avoir déjà les joues bien roses et il ne lui suffit que de ça pour avoir envie de prendre toutes les initiatives du monde, pire, il ne lui en faudrait qu'une troisième pour imploser d'envie, ce qui est fou. Elle se plait même à balancer légèrement le bassin contre celui du grand Gallois à mesure qu'il caresse ses reins, mais pas d'empressement, elle veut sans doute tester leur patience mutuelle et surtout à quel point elle peut avoir d'impact sur lui.
— Je crois que je prendrais bien une dernière gorgée, moi aussi.

♪♫♪
C'est que ça relève presque de la cruauté. Les délicats mouvements du bassin d'Alecia contre le sien le paralysent un instant, lui coupent le souffle. Même à travers les quelques épaisseurs de vêtements qui séparent leurs deux corps, la friction se fait terriblement tentante et agréable, se sentant se tendre peu à peu. Il voudrait faire taire ce réflexe naturel, juste un instant, ne pas sombrer tout de suite dans la débauche, mais son corps ne veut rien entendre.
Cherchant désespérément une distraction, le noiraud lâche l'une des hanches de la Ceart pour venir attraper la bouteille de rhum. Il en prend une bonne rasade, deux gorgées, même, puis s'apprête à tendre la bouteille à Alecia que dans un faible tremblement incontrôlable, il fait basculer la bouteille, se renversant quelques gouttes d'alcool sur le menton.
"Fuck..."
C'est tout ce qu'il trouve à dire. Fébrile.

♪♫♪
Elle le regarde, le sent se durcir à travers ses vêtements, ce qui lui rend les muscles dans le bassin et les jambes plus contractés déjà. Ses doigts agrippent le pull de Ian une nouvelle fois, tremblant d'une incontrôlable envie qui la fait frissonner de la nuque jusqu'aux chevilles. Elle se prive de balancer encore, devant tout le self-control qu'il déploie devant elle, ce qui l'amuse, étrangement, à croire que les rôles sont aujourd'hui inversés, que c'est elle qui doit demander l'autorisation.
— Hmm, Monsieur Bale, puis-je vous faire l'amour ce soir ?
Et le voyant renverser du rhum contre son menton, elle se penche, ses lèvres passant contre celui-ci, sa langue prenant ce qu'il a de rhum sur la peau dans un geste purement désinvolte mais l'heure ne semble plus à la réflexion.

♪♫♪
Il ne lui répond pas. Ça ne sert a rien, de toute façon, elle connait déjà sa réponse. Son corps tout entier parle pour lui, que ce soit son cœur qui bat à tout rompre, ses doigts qui se serrent contre ses fesses, son regard azur embrumé de désir ou son propre bassin qui, peu à peu, se balance également d'envie contre les cuisses offertes de la blonde.
L'une des mains du Gallois vient se perdre dans la chevelure de l'Anglaise, lui fait tanguer la tête vers l'arrière, puis dans un soupir, vient lui attraper les lèvres des siennes. Goûte le sucre de sa peau tachée de rhum alors que ses yeux n'osent pas se fermer entièrement de peur de manquer ne serait-ce une seconde de ce spectacle qui frôle l'érotisme. Son autre main, sans grande subtilité, glisse sous le jupon de sa robe alors que ses doigts trouvent la bordure de son collant. Qu'ils tirent doucement vers le bas, laissant sa fesse pâle en proie à ses ongles. L'agrippe, la masse, la griffe même.
Il est toujours assoiffé.

♪♫♪
La blonde sent tous ses sens s'affoler, les uns après les autres, et la chaleur de l'alcool lui battre les temps tandis que celle du Gallois emprisonne ses cuisses et son ventre. Ses hanches reprennent le petit bal imposé au grand brun, son intimité protégée de presque rien se frotte contre la bosse qu'elle sent se former sous elle, ce qui semble la rendre plus folle encore. Il l'embrasse enfin, ce qui fait comme une délivrance, elle finit par partager le goût du rhum avec lui, sa langue se liant à la sienne dans une ronde passionnée.
Les caresses répétées lui coupent presque le souffle, alors que ses petites mains s'emparent de la nuque de son ami pour le griffer autant que lui sa fesse. De son autre main, elle s'empresse de retrouver le contact de sa peau, sous le pull, contre son nombril et le bas de son ventre, à la limite de son pantalon.

♪♫♪
La brûlure que les ongles d'Alecia imposent à sa nuque lui traverse la colonne vertébrale et chute sans merci jusqu'à son bassin qui, plus que jamais, tressaille et se secoue de l'avidité qui lui dévore le ventre.  Dans un mouvement tout à fait machinal et brusque de l'une de ses mains, le Gallois vient pousser les bonbons et l'alcool plus loin sur le lit - il n'en ont pas besoin pour l'instant.
Suffisamment convaincu qu'il n'y a définitivement plus d'autre issue à cette soirée, Ian se laisse totalement aller. Oublie de s'en faire avec toutes ses choses qui tapissent son quotidien pour se concentrer sur la femme qu'il a dans les bras. Il ne la laisse toutefois pas lui taquiner le ventre trop longtemps que, d'une poussée de son coude, il inverse les rôles. La tête d'Alecia vient retrouver les oreilles et, sans que les lèvres et la langue du brun ne quittent celles de l'Anglaise, il se retrouve à genoux par dessus elle. L'étreinte de leurs corps moins serrée, il prend le temps d'agripper pour de bon le collant de la blonde, l'abaissant le long de ses cuisses puis le lui enlevant totalement. Il lui garde sa petite culotte, pour l'instant.
"C'est à mon tour de te taquiner", souffle-t-il, ardent, contre les lèvres d'Alecia alors que l'une de ses mains chute le long de l'intérieur de sa cuisse.

♪♫♪
Alecia ne sait pas comment elle a pu tenir le premier soir qu'ils se sont revus, déjà là elle aurait voulu fondre d'amour dans ses bras. Lorsqu'il reprend le dessus sur elle, elle sent le sang s'affoler dans ses joues comme un fou furieux et la chaleur de son corps se muer en incendie qui lui ravage son bon sens. Elle s'agrippe aux vêtements du brun, saisie par le fait qu'il lui retire ses collants. Le frisson qu'il lui arrache en se glissant contre l'intérieur de la cuisse fait vibrer toute son échine.
Elle finit par se cambrer contre lui, comme si elle réclamait de nouvelles caresses. Elle prend l'ourlet du pull du grand brun et s'arrange pour le faire remonter le long de sa peau jusqu'à lui enlever. Elle a envie de sentir sa peau brûlante contre la sienne, le plus possible, ressentir ses battements de coeur contre sa propre cage thoracique.

♪♫♪
Le Gallois vient rompre le baiser un instant à peine, le temps de laisser passer le pull qui lui pesait de plus en plus lourd sur la peau. Une fois le vêtement passé et échoué sur le sol, Ian revient à la charge, pressant son corps contre celui de la jeune qui, il le sent à présent, tremble autant d'envie que lui. Et autant chaque fibre de son corps lui crie d'en finir, d'enlever son pantalon, de tasser négligemment la culotte de la belle sur le côté et de la prendre sans plus de cérémonie, il arrive à garder contenance. Convainc son corps que l'attente en sera délicieuse et que lui faire l'amour sera encore meilleur.
Alors que le haut de son corps vient se presser contre celui d'Alecia, que sa main gauche est accrochée au côté de son cou qu'il tient d'une poigne solide mais pas violente et qu'ils s'embrassent, se lèchent et se mordille avec une faim avare, la paume de son autre main se pose sur la croupe brûlante de la blonde. Et bien qu'il reste toujours, pour l'instant, par dessus le mince tissue de sa culotte, son pouce passe déjà sur le tracé de sa féminité fébrile, se presse et insiste sur quelque endroit stratégique. Souhaitant plus que tout entendre un gémissement  se perdre contre sa peau.

♪♫♪
La jeune anglaise sent tout son corps s'électriser à chaque baiser, à chaque caresse qui passe son épiderme, la faisant déjà soupirer d'aise. C'est à la fois une torture et un plaisir que d'attendre ainsi. Elle n'a pas de mal à rendre le baiser plus passionné encore, débordant de l'envie qu'elle veut lui faire comprendre et partager.
Mais ce n'est que lorsqu'elle sent les doigts de Ian s'appuyer contre son intimité qu'elle a vraiment l'impression d'être rendue folle alliée. Elle ne peut que relever le bassin pour s'appuyer plus encore contre lui, et, sa respiration se bloquant l'espace de deux ou trois secondes, ses lèvres délivrent un gémissement que ses poumons gardaient pour elle. Elle saisit le bouton du pantalon du Gallois et le fait sauter pour tenter de l'en délivrer un minimum. Elle qui voulait prendre le dessus, c'est indéniable qu'elle préfère qu'on prenne l'avantage sur elle en général.

♪♫♪
La réponse du corps d'Alecia, qui se presse et insiste contre sa main, a le mérite de le faire sourire légèrement. Et si quelques secondes auparavant le Gallois semblait particulièrement fébrile, de sentir sa partenaire l'être d'autant plus lui redonne un élan de contrôle, un désir du jeu et de la tentation qui l'a toujours excité au plus haut point dans ces situations.
Il laisse sa main s'affairer sur son pantalon, l'en remerciant d'un soupir d'aise lorsqu'il sent son membre emprisonné prendre un peu plus de place, bien qu'il reste toujours captif de son boxer. Il s'en dégage de quelques mouvements de jambe et, sans que ne s'arrêtent ses caresses adroites et de plus en plus appuyées et précises par dessus la culotte humide de l'Anglaise, son autre main trouve la fermeture éclair de sa robe. L'abaisse, malmène le tissu afin d'exposer sa peau prise de frissons. La langue avide de Ian coule des lèvres de la blonde à son menton, de son menton à son cou jusqu'à s'arrêter un instant sur sa clavicule, qu'il mordille, ses yeux bleu fixés sur le visage de la Ceart.
"Je pense qu'on peut l'enlever, hm, qu'est-ce que t'en dis?", gémit-il presque contre la peau d'Alecia alors que sa main repousse le tissu de sa robe de sur sa trajectoire

♪♫♪
La blonde lâche un nouveau soupir, mêlé d'aise et d'envie qu'elle n'arrive plus tant à garder en elle. Le sentant se défaire de son pantalon, ses doigts se rivent contre sa virilité, par dessus le tissu un premier temps jusqu'à effleurer le long de l'élastique de son boxer avant que sa main ne s'y engouffre dedans pour en caresser le membre tendu du Gallois de nouveau, caresses pour caresses, de sorte à ce qu'elle ne demeure pas uniquement passive.
Sentant les doigts de Ian coller doucement contre son sous-vêtement et ses baisers glisser progressivement, elle se mord la lèvre, avide de plus, toujours plus. Elle vient caresser ses cheveux puis lui relever légèrement le menton, oubliant là presque à quel point il est plus grand qu'elle.
— Je pense qu'on peut tout enlever tous les deux, Ian...

♪♫♪
La voix du brun se brise de doux gémissements rauques, lorsqu'il sent les doigts agiles d'Alecia aller et venir contre la brûlante raideur de son sexe. Ondulant malgré lui du bassin, il ne dévie toutefois pas de sa trajectoire. Sans plus hésiter, il enlève à la blonde sa robe puis dégrafe habilement son soutien-gorge, laissant les vêtements tomber négligemment, tour à tour, sur le sol au côté du lit.
À ce qu'elle dit, le Gallois lui adresse un regard malicieux puis secoue légèrement la tête, alors que sa langue affamée s'arrête sur la peau rose et sensible du bout de son sein.
"J'ai bien l'intention de te faire attendre encore un peu... Pauvre de toi."
Puis ses mots s'éteignent comme sa langue taquine la peau durcie d'envie de la poitrine de la blonde. Y passe une longue minute avant de chuter contre son ventre, au fur et à mesure que son corps tout entier glissait vers le bas. Et toujours, il ne la lâchait pas des yeux.

♪♫♪
L'anglaise ne se dérobe pas à ses caresses et ne tient pas à en rester là puisqu'il tient tant à la rendre folle, elle va en faire de même avec lui. Aussi ses caresses se font-elles plus appuyées, plus fermes contre la virilité du géant. Néanmoins les baisers qui se font tout aussi concentrés contre sa peau, contre sa poitrine, la font tressaillir et lui donnent comme un vertige.  Et à ses mots, c'est pire encore.
Les multiples baisers qu'il donne aux boutons de chair de la blonde lui font presque gémir son nom, étouffé parce qu'elle se mord la lèvre inférieure, et le voir descendre achève l'incendie qui prend place dans son bas-ventre. Sa main a quitté le sien et elle ne peut plus à présent que caresser ses cheveux et le suivre des yeux, lui qui n'a de cesse de la regarder.
— Oh Ian...

♪♫♪
Il la découvre de ses baisers, du bout de sa langue. Mordille délicatement la peau de son ventre, effleure son nombril du bout du nez alors que ses deux mains trouvent un instant refuge sur ses hanches. L'entendre souffler son nom n'attise que davantage son désir devenu démesuré, qu'il traduit d'un baiser à l'intérieur de la cuisse droite de la jeune femme. Son tronc trouve sa place entre les jambes écartées de l'Anglaise.
Et même s'il est lui-même affamé, il n'y plonge pas tout de suite. Presse le mont de sa paume, par petits coups, par dessus sa culotte, effleure sa fente toujours couverte d'un passage de son ongle. Il la sent qui frémit d'impatience, et ça le rend dingue.
Mais dans un élan de générosité, le Gallois vient lui enlever sa culotte, qui échoue parmi les autres vêtements. Il ne la taquine plus bien longtemps, toutefois, alors qu'il laisse ses lèvres cueillir sa fleur entrouverte d'envie. La lèche, la goûte avec un plaisir qu'il ne cache pas. Le plat de sa langue s'appuie fermement sur son bouton d'amour, le titille, le frotte. Il suçote sa chair trempée, vorace, alors que ses doigts se plongent d'envie dans la peau de ses cuisses tremblantes.

♪♫♪
Alecia a l'impression de perdre pied, littéralement, tant ses frissons piquent sa peau par accoup. Elle soupire, gémit encore, sans pouvoir rien y faire et sans vouloir non plus se taire. Le sentant descendre encore, elle ne peut s'empêcher de retenir sa respiration, s'attendant à quelque chose qui la faire chavirer plus encore. Alors que les lèvres du Gallois entrent en contact avec son intimité et que ses doigts vont plus loin encore, elle se cambre, comme foudroyée, et lâche une longue plainte d'une voix devenue soudain plus aigue.
L'anglaise attrape l'oreiller sur lequel repose sa tête et le serre entre ses doigts comme jamais. Ce plaisir là, elle l'a rarement connu à un tel degré et l'attente commence à la sidérer, elle le veut tellement que c'en est indécent.

♪♫♪
Il la sent fondre contre sa langue, sa chaleur le brûle presque alors que lui redouble d'ardeur. Les mouvements de ses lèvres et de sa langue sont précis, pesés. Il ne veut pas lui laisser le temps de respirer. Et même s'il tire un plaisir réel à la sentir se tortiller sous les caresses adroites de sa bouche, même s'il sent sa peau mouillée de désir brutal frémir sous sa faim, il n'en sera assouvi qu'une fois qu'elle aura jouit.
Le Gallois persiste donc, suce son bouton de chair entre ses lèvres, laisse ses propres gémissements d'envie vibrer contre elle.  Et alors que toujours, l'un de ses bras reste accroché à  sa cuisse, lui en griffant la peau, le majeur de son autre main se glisse avec aisance en elle, allant et venant avec force, se calquant au rythme profond mais soutenu  de sa bouche avare.

♪♫♪
Le plaisir que la jeune femme ressent en cet instant va comme la mener à sa perte, ses doigts se crispent tant contre l'oreiller qu'ils en deviennent presque douloureux. Comme sa voix ne cesse de grimper dans les aigus et qu'elle ne tient pas à rameuter tout le dortoir, elle se mordille tant bien que mal l'index pour se calmer un minimum, mais c'est chose peu aisée avec tout ce que lui donne Ian en bonheur.
Si bien qu'elle commence à défaillir, au bout de longues minutes durant lesquel lui ne faillit pas et il lui est impossible de plus se cambrer encore. Mais lorsqu'elle sent les limites approcher sans pouvoir les contrôler, la jeune femme agrippe la chevelure bouclée du beau brun, comme si cela pouvait l'aider à l'arrêter pour l'empêcher de crier, bien qu'elle veuille aller jusqu'au bout.
— Oh Ian ! Je t'en prie, je t'en prie...!
Son gémissement perce en écho la pièce, alors que tout son corps se tend sur lui-même, droit, ses poumons refusant de prendre air tant que la vague qui monte en elle n'est pas calmée, ce qui la laisse, en quelques secondes, haletante de bonheur.

♪♫♪
Il pourrait y passer des heures. Sa chair est délicieuse, réceptive, et il n'a aucun mal à suivre les mouvements capricieux et incontrôlables du corps de la blonde. Il gémit de sentir ses doigts lui serrer la chevelure et, lorsqu'il la sent se raidir de plaisir, il laisse ses caresses et prouesses gagner en profondeur bien qu'il n'accélère pas la cadence. La porter jusqu'à la jouissance sans l'y forcer, laisser son corps succomber à son rythme.
Et une fois la vague puissante passée, une fois les cris éteints, le brun ralentit le rythme. Laisse son doigt glisser loin d'elle et ponctue le tout de quelques légers baisers sur sa peau vulnérable.
"Tu ne m'en veux pas trop?", chuchote-t-il alors qu'il se redresse lentement sur ses coudes

♪♫♪
Alecia prend le temps de reprendre un brin de respiration et de juger de ses muscles quelque peu engourdis. Il lui faut davantage de temps pour reprendre ses esprits en réalité. Quand il lui demande si elle lui en veut, elle lui sourit et fait un léger non de la tête, comment le pourrait-elle d'ailleurs, après ce qu'il vient de lui donner ? Elle rougit d'ailleurs, en pensant à la suite.
— Tu veux... Que moi aussi je descende ? ... demande-t-elle en le regardant droit dans les yeux.

♪♫♪
Le Gallois se redresse encore plus, venant s'étendre sur son flanc aux côtés d'Alecia. À ses yeux, elle n'a jamais été aussi belle qu'à cette instant là, les joues rosies et les traits défaits du plaisir qu'il lui a donné. Il étire le bras pour agripper la bouteille de rhum, l'ouvre de deux doigts et en vole une gorgée. Il la referme - faut pas faire de dégât additionnel - et, finalement, se penche vers la blonde pour venir l'embrasser.
"C'est comme tu veux. C'est clair que je ne le refuse pas mais si tu veux passer à autre chose tout de suite, j'assume la position."
Il esquisse l'ombre d'un sourire, sa main venant caresser le ventre de l'Anglaise.

♪♫♪
Les doigts de la blonde viennent palper le torse de son amant de la nuit avant de remonter pour caresser sa joue. Ils savent à quoi s'en tenir, tous les deux, mais elle ne peut le dénier ; elle tient excessivement à lui comme à la prunelle de ses yeux. Son baiser lui redonne un boost d'énergie et cette pause improvisée lui laisse le temps de se remettre.
— C'est que je voudrais tout, tout de suite. Mais je ne veux pas jouer à celle qui prend sans donner en retour non plus.

♪♫♪
"Alors... Je te laisse te repentir deux minutes, et quand tu n'en pourras plus, on passe aux choses sérieuses?" dit-il, le ton toujours bas et chargé d'envie, alors qu'un mince sourire étreint ses lèvres.
Car son désir du corps de la blonde n'a peut-être pas de limite, se traduisant à merveille par l'érection tout juste dissimulée par son boxer, mais la caresse d'une langue a son charme bien à elle. Ses doigts continuent de danser habilement sur le ventre de l'Anglaise, alors que son regard vrille le sien.

♪♫♪
Alecia ne s'estime pas être la demoiselle la plus douée du monde quand il s'agit de prendre des initiatives aussi bas, mais elle se montre souvent si passionnée que ce n'est plus vraiment un problème. Elle sourit et enjambe le Gallois, tandis que ses doigts se posent contre l'élastique de son boxer, afin d'en libérer son sexe. La pauvre rougit tant à ce moment là qu'elle aurait pu cuire des oeufs sur ses joues !
Elle n'en demeure pas moins intimidée pour autant et lâche un sourire malicieux à l'encontre de son ami avant de poser les lèvres contre son bas-ventre, ses doigts se posant à la base de sa virilité pour balancer entre ces caresses et les baisers qui descendent lentement.

♪♫♪
Ce n'est que lorsqu'il sent que la blonde est prête à l'attaque que Ian passe de son flanc à son dos, s'étendant confortablement. Il s'élève toutefois légèrement d'un coude dans le matelas, son regard azur suivant avec une avidité et une curiosité retenue la chute de la blonde.
Du bout des doigts de sa main libre, il caresse la chevelure de la belle, la rassemblant sur un seul côté afin qu'il puisse être témoin de ses gestes, de ses caresses et de ses baiser qui, pour l'instant, le font soupir d'aise et d'envie. Son ventre s'en noue, déjà tellement excité de voir le visage de l'Anglaise aussi près de son membre tendu presque avec arrogance.

♪♫♪
La blonde ne peut s'empêcher de sourire, à présent c'est elle qui a l'avantage sur lui et elle va pouvoir égaliser les points. Il faut dire que la première fois qu'ils ont fait l'amour, il a mené du début à la fin, et même si elle a adoré ça, pour une fois, elle veut voir le grand Ian perdre ses moyens.
Aussi rend-elle ses caresses plus fermes, plus vives alors que déjà ses lèvres se posent contre sa virilité, le bout de sa langue se montrant enfin pour s'appuyer tout contre, glissant irrémédiablement avant de remonter jusqu'en haut, déposant un léger baiser. Le tout histoire de se mettre en confiance et de se dire qu'elle aussi est capable de bien faire. Surtout que ce sont les réactions de Ian qui la motivent le plus.

♪♫♪
La sensation brûlante et humide de la langue délicate de son amante contre son sexe lui fait serrer les dents d'envie, un éclair de désir primal le traversant de la tête aux pieds. Elle sait le faire attendre, elle sait le faire languir et autant ça le rend fou, autant il adore ce petit jeu qui s'est installé entre eux. Tente-moi, et je te tenterai plus fort.
Et même si l'envie de la sentir le prendre en bouche lui gruge le bas-ventre, il ne force rien, la laisse prendre contrôle - pour l'instant - alors qu'il ne cesse de la regarder. Admirant ses beaux yeux verts et ses lèvres roses qu'il rêve de posséder. Toujours haletant d'envie, laissant naître son instinct de voyeur.

♪♫♪
La jeune anglaise continue son petit jeu de tentation et de provocation, sans que ça en devienne malsain. Elle caresse le membre d'Ian de la base jusqu'au bout en de vifs mouvements qui tranchent avec la douceur de la langue, qui se fait plus lascive.
Enfin elle se stoppe à son rythme le plus rapide et lui jette un regard avant de se redresser légèrement et de le prendre en bouche, avec une dextérité qu'elle ne se soupçonnait pas. Elle alterne, entre rapidité et lenteur, entre l'appui de sa langue à travers les mouvements ou pas. Le tout est de le rendre fou, tout en ne paraissant pas ennuyeuse.

♪♫♪
Le brun ne retient pas un gémissement clair et rauque de jaillir de sa gorge lorsqu'il sent finalement la chaleur de la bouche d'Alecia lui enlacer le membre. Les pressions de sa langue contre sa verge bien raide et l'ardeur accueillante de sa gorge lui font serrer les doigts alors qu'il empoigne fermement la nuque de la blonde. Il ne la force à rien, la laisse contrôler la profondeur de ses mouvements mais, malgré lui, son bassin se calque aux gestes de l'Anglaise, motivé par le feu que le Gallois a aux reins.
Il est incapable de regarder ailleurs. Attiré, captivé, attisé par la vision presque obscène des lèvres adroites de son amie.
"Alecia..." souffle-t-il entre deux douces plaintes.

♪♫♪
Alecia tente de nouvelles choses, des caresses en passant aux baisers, du lascif au plus soutenu, elle n'a jamais le même rythme trop longtemps et s'appuie sur les réactions du Gallois pour insister sur ce qu'il semble le plus apprécier. Ses doigts tiennent toujours fermement sa virilité tandis que l'autre main, glissant sur sa cuisse, le griffe légèrement. Elle baisse, relève la tête, lèche le sexe du grand brun afin de recommencer ou d'au contraire le faire quitter sa bouche pour embrasser son membre. Et plus elle insiste, mieux elle s'en sort, sans vouloir s'arrêter avant que lui aussi ne succombe.
♪♫♪
Le Gallois se laisse aller dans le plaisir durant encore quelques longues minutes. Et au fur et à mesure que celles-ci s'écoulent, il se sent devenir plus sensible, plus réceptif, ses soupirs et gémissements de moins en moins subtils, ses doigts se serrant avec plus de fermeté contre la nuque d'Alecia et le tissu de la couette. Même s'il s'abreuve de la langue adroite et gourmande de la blonde contre son sexe, il est obstiné.
"A... Arrête.", peine-t-il à dire alors que, dans un élan de volonté ultime, il redresse le haut de son corps, reculant ainsi son bassin pour qu'il échappe à la bouche de son amie.
D'une main solide à la taille, il l'attire près de lui.
"Je veux te faire l'amour.", souffle-t-il avant que ses lèvres ne viennent cueillir celles humides de salive de la Ceart.

♪♫♪
Sur le moment où il lui demande d'arrêter et se recule, la blonde a peur d'avoir mal fait et le regarde d'un air à la fois interrogateur et gêné, prête à lui demander pardon. Mais lorsqu'il lui lui intime la vouloir et la ramène vers lui, elle a de suite le sourire. Elle prolonge son baiser avec envie et passion, se lovant contre lui, ne désirant pas pour le moment passer dessous lui.
C'est ainsi qu'elle se redresse légèrement, bassin contre bassin, ondulant légèrement des hanches pour le tenter encore un peu jusqu'à ne plus pouvoir tenir elle-même. Elle agrippe la nuque du Gallois, son intimité glissant timidement contre son membre jusqu'à lui arracher un nouveau gémissement court.

♪♫♪
Poussé par le corps fin de son amie, le grand brun reprend appui de son dos sur les coussins derrière lui, alors que leurs lèvres se fusionnent et se goûtent. C'est d'un accord silencieux qu'il la laisse s'installer à califourchon sur son bassin alors que ses grandes mains lui enlacent la taille. Elle le taquine doucement, lui arrachant des lèvres un court soupir de protestation. Mais elle cède vite, au plus grand plaisir du Gallois, et il n'hésite pas à la guider sur lui de pressions possessives sur son bassin.
Ian ne retient pas un gémissement soulagé et fébrile lorsqu'il se sent glisser en elle et, aussitôt, complète les mouvements de la blonde de lents et légers coups de reins. Qu'elle se fasse à sa forme, qu'ils s'apprivoisent. Paumes sur les hanches d'Alecia, ses doigts se serrant contre la chair de ses fesses, le Gallois encourage la cadence alors que, de ses dents, il vient lui mordiller le creux du cou.

♪♫♪
Alecia ne peut s'empêcher de griffer la nuque du brun, avec de tels préliminaires, il lui en faut peu pour rapidement grimper et mieux, se laisser complètement aller. Tant pis pour les voisins, ils doivent avoir l'habitude et elle n'a vraiment pas envie de se priver de faire aller de la voix. Le sentant se mouvoir en elle de plus belle, la tenir ainsi fermement et lui mordiller le cou, l'anglaise a encore plus envie que ces ébats en deviennent sauvages, chose qu'elle aime particulièrement.
Elle ondule davantage du bassin dans des mouvements lascifs et bestiaux à la fois. Plus de place pour la douceur, elle veut se perdre dans les bras de Ian, perdre la raison. Elle se redresse, complètement à la verticale sur lui, prenant appui d'une main contre le matelas pour qu'il vienne au plus profond d'elle, ce qui lui arrache un écho de voix plus fort que les précédents et qui lui fait se mordre la lèvre de plus belle. Il faut aussi dire que Ian a tout ce qu'il faut pour rendre une femme heureuse et que c'en est presque injuste. Tout ce qu'elle espère, c'est qu'il prend autant de plaisir qu'elle.

♪♫♪
La retenue, ça ne lui fait pas. Le grand brun est bien conscient de ses amantes, il suit leur rythme, ne vise qu'à leur apporter le plus de plaisir possible selon ce qu'elles désirent. Mais au fond de lui brûlent ces envies souvent plus brutales qui lui crient de se laisser aller. C'est donc dans un grognement de plaisir qu'il sent la blonde gagner en enthousiasme. Il la voit se redresser, sens son sexe se glisser plus profondément en elle...

"Mmmh mais t'es affamée, dis-donc", gémit-il d'un ton rauque.

Puis il accélère la cadence, approfondit ses coups de reins, son souffle se coupant légèrement à chaque fois qu'il sent son gland la cogner. Il la laisse s'empaler sur lui encore un moment, profitant de chaque seconde pour lui griffer les cuisses et les hanches... Puis soudainement s'arrête. Immobilise le  bassin de la blonde en la tenant de son bras puissant.

Il se dégage de sous elle, la contourne sans manquer de lécher et mordre sa peau puis passe derrière elle, sur ses genoux. Il la place à quatre pattes et, sans grande douceur, dur mais pas violent, lui agrippe la taille d'une main alors que les doigts de l'autre lui empoignent la base du cou, à la jonction de l'épaule. La force à se cambrer alors qu'il la pénètre d'un long et langoureux mouvement de bassin. Les marques rougeâtres qu'il laisse sur sa peau claire prendront du temps à disparaître.

♪♫♪
Alecia n'aurait su dire si elle parviendrait à se calmer après tout cela, mais le principal, était tout le plaisir qu'elle prenait sur l'instant. Elle mène certains coups de butoir de son amant, en subit d'autres, mais se languit de tous sans exception. A sa remarque, elle sourit, consciente qu'il n'a jamais eu l'occasion de la voir ainsi.

— J'ai toujours été comme ça... Je n'ai juste pas eu l'occasion de te le montrer avant aujourd'hui.

Son appui lui, revient contre l'abdomen du géant quand il se décide à jouer entièrement de son jeu. Elle le sent, cogner tout au fond d'elle, et chaque fois, cela lui arrache un cri qui peine à mourir en gémissement tant il sait comment s'y prendre. Mais lorsqu'il s'arrête, son cœur manque un battement, et le fait de se retrouver ainsi devant lui, à quatre pattes, manque de l'achever. C'est de très loin la position qu'elle préfère. La blonde le sent se tenir, se placer, marquer sa peau, et cette nouvelle pénétration lui coupe le souffle, presque autant que tous les mouvements qui suivent.

Elle doute de tenir aussi longtemps que lui, mais n'en déroge pas, il lui fait tellement de bien qu'elle n'a pas envie que ça s'arrête, pis, elle réclame encore.

— Oh Ian...! Plus fort... Vas-y plus fort...! ... soupire-t-elle, à bout de souffle et sur le point de défaillir.

♪♫♪
Il ne se fait pas prier bien plus longtemps. Les supplications de la blonde le mènent, joueur, à changer la cadence pour un temps. Pour la tenter, la rendre folle, qu'elle lui montre encore plus à quel point elle le désire. D'entendre son nom ainsi gémi est toujours un aphrodisiaque incomparable... Mais il reprend bien vite un rythme profond et rapide, laissant sa verge se faire avaler, à chaque coup de reins solide, par le corps brûlant de l'Anglaise.

Leurs ébats sont sauvages, frôlant la limite du déchaîné. Assourdis par le bruit de leurs peaux qui s'entrechoquent, de leurs respirations haletantes et chaotiques, de leurs gémissements qui passent aux cris. Une bouffée de chaleur tord le ventre du Gallois mais il se contient, déterminé à la sentir céder avant lui. La martelant sans merci, doigts et ongles toujours calés dans sa peau, jusqu'à ce que la jouissance la possède une seconde fois.

♪♫♪
Ale sent ses genoux se rendre fébriles sous les coups de reins et le plaisir qui la possèdent, sa voix demeure incontrôlable, sa respiration saccadée au possible, et c'est tout juste si elle a encore la force de se raccrocher aux draps qui se mêlent en pagaille sous leurs deux poids. Ce qu'elle ressent est indécent, indescriptible et le jeu que Ian mène contre elle achève de la rendre folle.

Le sentant tenir bon encore, elle finit par céder, exténuée, tenue par l'envie de s'abandonner à l'orgasme, de nouveau, qui semble bien plus puissant que le précédent et avale ses forces. Ses muscles se figent et se tendent, sentant même son intimité se resserrer brutalement contre le sexe du Gallois, si bien que cela en prolonge le paroxysme des ébats de son côté. Elle ne crie même pas, la gorge bloquée par son souffle bloqué et ses lèvres tremblantes, qui ne lui permettent qu'un long soupir comblé.

♪♫♪
C'est suffisant pour le faire chavirer à son tour. Il la sent se raidir toute entière sous lui, la vague de l'orgasme assaillant son corps menu de tremblements qui viennent s'attaquer ensuite à celui du Gallois. Il résiste et persévère encore quelques longues secondes, durant lesquelles son corps vient qu'à se tendre et se voûter vers celui de son amante, ses doigts solides à présent chevrotant et pris de sursauts.

La jouissance lui vient dans un cri à la fois rauque et intense, mon membre frémissant et crachant ses efforts à l'intérieur du corps toujours offert de la blonde. Yeux clos, traits défaits de plaisir, il ponctue l'ébat de deux derniers légers coups de reins avant que finalement se fasse sentir l'assouvissement. Le Gallois en soupire  tout bas, son dos cambré vers l'avant lui permettant d'embrasser la peau de l'Anglaise avant qu'il ne se retire lentement d'elle, se posant à ses côtés et s'essuyant machinalement le front du revers de la main.

♪♫♪
La jeune femme n'en peut plus et peine encore à tenir sur ses quatre membres, et, sentant Ian arriver à la fin également, elle lâche un petit gémissement sur les derniers mouvements. L'entendre pousser des soupirs rauques de la sorte la font frémir comme jamais et, tandis qu'il se retire et se pose, elle se laisse retomber péniblement sur le ventre, la joue plaquée contre l'oreiller, les yeux mi-clos, ses cheveux lui collant à la peau, sur la joue, sur les épaules et dans le dos.

Elle prend deux bonnes minutes pour respirer, pour laisser s'enfuir les arcs électriques qui lui emprisonne le bassin et pour se dégager de ses cheveux mouillés. Elle regarde un instant le Gallois avec des yeux remplis de tendresse et d'une envie comblée, avant de sourire de toutes ses dents et de se hisser jusqu'à lui pour lui voler un baiser. Elle aura rarement été si heureuse.

♪♫♪
L'une des grandes mains du Gallois vient trouver le dos moite d'Alecia, le caressant avec une tendresse sincère alors que, de l'autre, il vient chercher la bouteille de rhum. Une demi gorgée, tout juste, pour s'hydrater le gosier, puis il la pose à nouveau, profitant à fond de ce pur moment de paix. Le silence, tout juste brisé de leurs respirations qui, peu à peu, retrouvent un rythme normal.

Ian n'ouvre les yeux que lorsqu'Alecia vient se lover contre lui. Il lui sourit également, les yeux pétillants de bien-être, et lui rend volontiers son baiser, sa paume recueillant doucement la mâchoire de la jeune femme.

"Alors, ces retrouvailles?" demande-t-il, joueur, alors que son nez effleure toujours celui de l'Anglaise.

♪♫♪
Alecia sourit de plus belle quand il reste contre elle ainsi, elle adore ces moments, tendres après des ébats plutôt furieux. Taquine, elle fait la moue, amusée.

— Hmm, je suis sûre que tu peux mieux faire !

♪♫♪
Ian ne retient pas un rire franc à l'entendre le taquiner et, terrible vengeur qu'il est, il incline la tête afin de capturer entre ses lèvres le lobe d'oreille de la blonde. Il le mordille du bout des dents puis, se redressant un peu par la suite, passe son bras autour du corps nu d'Alecia. Ses doigts suivent le tracé des marques rouges qu'il a laissé sur sa hanche.

"En fait tu la méritais bien, cette raclée.", ajoute-t-il du même ton joueur.

♪♫♪
Elle sourit plus nettement encore, alors qu'il rit et entoure son bras autour de sa peau qu'elle sent gentiment meurtrie quand il s'est tenu à elle.

— C'est vrai, mais je l'ai bien cherché. Je suis marquée, non ? Quoi que tu dois avoir de sacrées traces de griffes dans le cou et sur le ventre... Oh que oui !

Elle baisse la tête et effleure une marque d'ongle à la limite entre l'abdomen et le ventre du Gallois, partant dans un petit rire. Elle ne quitte pas sa peau et remonte jusqu'à ses clavicules.

— Non pas que je veuille te garder pour moi et je n'en ai absolument pas l'intention, mais il faut vraiment qu'on remette ça.
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[S -18 ; Insta-RP] This is your arms I like the best ft Ian/Alecia

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